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20 mars 2009 5 20 /03 /mars /2009 09:31
Cette fois-ci, lâchez crise et offrez-vous, il suffit d'un CLIC, le spectacle qu'un ami m'a adressé par mail et que vous découvrirez, en empruntant le chemin des Amis des Poètes que je vous prête bien volontiers.

Laissez vos marques ! installez-vous confortablement pour optimiser le plaisir de vos sens de l'Ouïe, de la vision (de l'âme) et acceptez vos émotions. Aucun danger. Près !   TOP !


http://lesamisdespoetes.over-blog.com/article-29245970.html



Amitié

Françoise-L.
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19 mars 2009 4 19 /03 /mars /2009 13:50

Celui qui a peur de la solitude peut souhaiter ête emprisonné pour être certain que tous les jours, on viendra le voir. Et, tant pis si c'est la visite du géôlier.
Cette crainte date de celle de l'enfant qui a un besoin vital d'un entourage adulte et qui, instinctivement, va chercher à attirer l'attention, (être reconnu présent et indispensable). Pour se sentir protégé il a besoin de ressentir l'approbation de son entourage qu'il assimile à son affection.

Suivant l'attitude de ses parents, il adaptera la sienne afin de les "séduire" ou de se protéger ou de s'imposer.
Il va alors expérimenter, comme tout animal, les stratégies réactives de "Victime, Sauveur, Bourreau", qu'il utilisera ensuite chaque fois qu'il se sentira menacé soit d'étouffement, soit d'abandon.

Et ceci tant qu'il n'aura pas pris conscience que, désormais adulte, il est en mesure de considérer tout autre tel un partenaire, et leur relation, comme une personne morale à part entière, ce qui explique mathématiquement l'axiome :
1+1 = 3 
C'est dans ces conditions qu'il pourra s'épanouir dans les différents contextes où il évoluera, que ce soit la famille, le travail,
la vie sociale.
Car ayant compris le mécanisme, et étant sorti de cet étau, il saura s'adapter à l'évolution de l'autre, quel qu'il soit  - comme le Professeur sait communiquer avec ses étudiants - et, lui apporter des ressources sans se démunir lui-même, au contraire (la comparaison Prof/Etudiant demeure valable).

Prenons un exemple classique de l'installation du mécanisme :

- Le bébé a faim, il pleure : positionnement "victime" qui impose ses exigences au parent sauveur.
Ensuite, pour attirer l'attention, il peut continuer la procédure qui marche.
Admettons qu'elle ne marche plus : Les parents répondent matériellement mais pas affectivement.
- Il va tenter la séduction par une opération, que lui, interprètera comme un sauvetage : Je te rends service, je te souris pour te montrer combien je t'aime (lui, ça lui plairait), ...Il prend donc le positionnement
"sauveur"
- Il est plus encombrant qu'utile et on le lui fait sentir.
  Il peut effectuer une autre tentative "victime" (passage non obligé) mais si elle aboutit à la qualification "caprice", avec correction à l'appuie, il changera de technique et pourra adopter la stratégie "bourreau" dont la manifestation serait la culpabilisation de ces parents, les siens, qui ne font pas leur devoir...

Suivant son interprétation des comportements de ses parents, (quels qu'ils soient, en réalité) il utilisera de plus en plus une des 3 stratégies énoncées dans laquelle il sera de plus en plus efficace, conscient, ou non, de l'être.
- Parents "bourreaux" (cris, violence, punitions) par imitation ("tiens ça marche") il peut avoir tendance à en modéliser les moyens ou, au contraire, se positionner en "victime" quand ce n'est en "sauveur" de l'un, du pouvoir de l'autre, si les parents lui apparaissent en conflit.
- Parents "sauveurs" ( surprotection se manifestant par des questionnements, des interdictions surjustifiées...)
L'enfant peut alors expérimenter soit la stratégie de victime comme une fin en soi, soit celle de victime comme chemin ( parfois très bref) pour acceder à celle de bourreau ( je vais vous "user" jusqu'à ce que j'obtienne compensation)
- Parents "victimes" : ("Tu ne peux pas agir ainsi ça nous fait trop de mal ") sans qu'il y ait parfois de corrélation entre l'effet et la cause comme : "tu ne peux pas avoir de pareils résultats scolaires alors que l'on avait tant espéré ton passage dans la classe supérieure". Alors, l'enfant adoptera l'attitude sauveur (surtout s'il se voit en partie récompensé pour son comportement) ou "bourreau" s'il veut neutraliser les velleïtés de répétitions "reproches-chantage".

C'est donc ainsi que l'on se retrouve dans un système où on ne dispose que de 3 stratégies, l'une nous étant plus coutûmière que les autres même si elle ne les exclue pas tout à fait, non plus.
Nos relations se conjuguent alors sous 2 régistres essentiels : soit tu es moi (fusion) soit tu es contre moi (compétition).
Si tu es moi, soit tu m'étouffes, soit tu m'abandonnes
Si tu es contre moi, soit tu es le gagnant et moi le perdant, soit tu es l'agresseur et moi l'agressé, ou réciproquement.
Bienvenue en Enfer !

On veut sortir
Mais où est la porte ? Où est la clef ? 
 
Pour situer la porte, il faut d'abord conscientiser la situation : Vous avez l'impression d'évoluer en circuit fermé, de ne plus savoir ce que vous voulez vraiment, d'être confus ou en colère ou de ne cesser de chercher à justifier vos intentions ou vos comportements : Ca y est ! 
Vous prenez conscience de votre positionnement dans ce triangle et vous pouvez même situer votre sommet de prédilection
(celui adopté en 1er choix).
Vous devriez également pouvoir situer celui occupé par l'autre, qu'il soit là par réaction ou pour avoir induit le phénomène de crise qui présente l'avantage de zoomer sur l'emplacement
"porte".

Reste à trouver la clef et à l'utiliser.
Ne craignez rien, une fois dehors ce sera nettement mieux pour respirer et vous pourrez même y "emmener qui vous voulez" 

-L'ex-bourreau (chronique) pourra s'épanouïr dans des activités de manager. Il ouvrira le chemin, pilotera l'équipe et donnera à chaque partenaire le rôle qu'il préfère et où il se sent reconnu.

-l'ex-sauveur (chronique) pourra s'épanouïr dans des activités de médiation, d'harmonisation du milieu dans lequel il évolue avec ses partenaires

-l'ex-victime (chronique) saura apporter le soutien opportun, qu'il soit physique ou moral, sous forme d'encouragements et d'incitation à la solidarité et à la créativité
(mise en oeuvre de solutions personnalisées n'oubliant aucun des acteurs de l'équipe)

Ce n'est pas plus compliqué que cela... 

Si tu as des difficultés à te situer, commence par trouver cet autre qui, bien que jamais le même, te met toujours dans des situations désagréables équivalentes (c'est plus facile de le trouver lui).
Après, tu relis ce texte, que tu auras eu soin d'imprimer avant, et il ne te restera plus qu'à essayer les hypothèses des alter-égo les plus probables...

Eh bien voilà. 

Dernières recommandations : Ce n'est pas parce que l'on dispose d'une recette que l'on confectionne, dès le 1er essai, un plat réussi (j'en sais quelque chose !!!) l'important c'est de progresser et surtout de s'amuser soi-même, parfois avec un petit décalage temporel, de ses propres trébuchages.
Affection et Humour sont des ingrédients indispensables. A avoir en permanence dans ses placards.
Le respect, quant à lui, est une excellente habitude...
Mais une habitude, ça peut prendre un certain temps... comme "le fût du canon pour refroidir".

A bientôt

Françoise-L.

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14 mars 2009 6 14 /03 /mars /2009 13:58

J'essaierai sans doute d'utiliser les 500€ pour éviter toutes les places de seconde qui se présentent
Et le plus simple serait d'accumuler les situations me positionnant en tant que "Première".
En effet, le positionnement en tant que dernière est plus risqué car si on n'est que deux !

     L'imagination au pouvoir ! Vive la créativité....

Je sens que ma taggueuse va être frustrée...
Revenons à ses moutons, si j'avais  la connaissance de ce devenir proche, tout d'abord je voudrais m'assurer de la fiabilité de l'information. (controledegestion oblige !)
Ce pourrait être un néo-voyant qui compte sur la peur pour me provoquer, par cette annonce, une crise cardiaque qui démontrerait son talent.
A moins que l'on ne m'ait jugée coupable dans un pays lointain corrompu, auquel cas j'essaierai d'acheter le géolier avec mes 500 euros.
Car, même si je suis croyante, j'imagine difficilement qu'un ange, seule entité crédible, en la matière,  me serait envoyé pour m'annoncer un départ imminent afin d' assurer une urgence de l'autre côté.
J'ai un Ego quelque peu surdéveloppé, comme l'évoquent certains, mais y a des limites !

En résumé, je ne le croirais pas : 
La pensée étant créatrice, ce à quoi on ne croit pas n'a que très peu de probabilité de se produire.
Toutefois, 2 précautions valant mieux qu'Une, je demanderais à mon amie Ste Rita, de m'aider à maintenir cet état d'esprit  pendant encore 501 secondes,
 le temps que ma croyance devienne certitude.

Evidemment cela ne m'empêcherait pas d'accepter les 500 euros !

La problématique revient donc à me demander comment j'utiliserais ces 500 euros si gentiment offerts.

Je crois que je les mettrais de côté et que j'attendrais d'autres challenges du même ordre pour arriver à la somme nécessaire me permettant d' éditer mon premier livre qui le sera à compte d'auteur.
(Ce fut aussi le cas de la première édition de la "Prophétie des Andes" , comme je ne cesse de me le répéter pour m'encourager)

Mais tout ceci n'est que rêverie... Il faudra que je trouve une autre source de ressource...
Et là, je dois avouer que, si ce n'est déjà fait, ce n'est pas faute de l'avoir désiré..... sans aucun jugement de quelque forme que ce soit...Ce n'est pas suffisant.
Mes désirs sont désordres mais pas des ordres. Un article peut en cacher un autre... n'est-ce pas JL

Je sais que "Céli-battante", à qui je dois l'inspiration de cet article, partage aussi avec moi le projet d'écrire et d'éditer.
La première qui trouve un chemin, taggue l'autre, OK ?

Avant de vous dire à bientôt,
je dois proposer à 5 d'entre-vous de se porter volontaires pour traiter ce sujet.
Et si ce n'est que la réponse à la question qui vous manque, ce n'est pas grave.
Faites comme moi, ou comme tous nos politiciens dont je viens de "modéliser" la façon de traiter une problématique, 
dont on ne soupçonne même pas, un instant, l'ombre d'une réponse.
Je l'ai écrit en petit pour que ça se voit moins.

C'est une technique que je tiens de ma fille qui, vers 7 ans,  m'avait laissé un mot  où elle avait écrit en grand : "Maman je suis chez la voisine"
et en tout petit : "les clefs sont sous le paillasson" ... Bien sûr le mot était posé SUR le paillasson

A présent, je vous souhaite un agréable week-end 
Et vous dis à bientôt

Françoise

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12 mars 2009 4 12 /03 /mars /2009 16:39
L'article précédent évoquait un exemple dans le contexte Entreprise... Si c'est un contexte que vous aimez aussi explorer je vous invite sur mon autre blog
http://controledegestion.over-blog;com/
Car, en ce moment, l'actualité saturerait le potentiel de cet espace....

Je souhaiterais à présent aborder le sujet dans l'environnement délicat de la famille car il représente le terreau qui a nourri nos premières feuilles (au figuré mais tout autant au propre).

Exemple simple que je choisis du même type que celui évoqué précedemment :
une préférence insupportable :

Mon père préférait ma soeur : La preuve : il ne s'interessait qu'à ses résultats ...
ou
Mon père préférait ma mère : La preuve : A chacune de mes demandes, c'était : "Si ta mère est d'accord".
ou
 ...
Nous sommes là en présence de ce que certains appelleraient "Equivalences Complexes" et qui ne sont, en fait, que l'expression d'explications hypothétiques qui ne couvrent pas l'ensemble des possibilités, loin s'en faut :
Prenons la première affirmation :
   
    Si mon père ne s'interessait qu'aux résultats de ma soeur, il est aussi possible que ce soit parce que :
       - Il avait confiance en mon potentiel et il mobilisait son attention sur le cas (non pas préféré) mais critique.
       - Il ne savait pas comment s'y prendre avec moi et il sauvait son statut (de père), y compris vis à vis de moi, en se montrant au niveau, au moins dans un contexte (celui qu'il savait assurer)
       - Il pensait ainsi mobiliser mon attention pour que je modifie mon comportement en souhaitant être tout autant dépendante que ma soeur, donc moins indépendante...
       - etc.
      Il n'existe pas un mode d'emploi détaillé du comportement optimum d'un père, ni d'une mère, ni d'un enfant...
      Chacun réagit avec ses ressources les plus disponibles du moment et, parfois, il n'en reste plus beaucoup pour l'instant présent après le service, en urgence, des stratégies de survie. 

                  
Je change de sujet pour retrouver la question en "out of émotion" ou presque...
      
Mon ami était en train de traverser la rue quand un inconnu le pousse brusquement en arrière - ce qui le fait trébucher mais empêche un vehicule, qui arrivait à vive allure, de l'écraser -
      Ensuite, l'inconnu poursuit sa route et quand mon ami s'approche pour le remercier il lui répond : C'était normal, j'aurais agi de la même manière pour toute autre personne.
      Mon ami insiste : raison de plus pour vous exprimer ma gratitude. Vous m'avez sauvé la Vie. j'aimerais vous connaitre mieux.
      "Le sauveur" : Je n'étais que de passage, en France. Je repars demain. Je suis enchanté de vous avoir rendu ce service pendant mon court séjour.
       Mon ami : Alors, merci encore. Bon voyage.

     
          J'ai demandé à mon ami : Aujourd'hui, quand tu penses à ce "sauveur", qu'éprouves-tu ?
      Mon ami : De la reconnaissance. 
      J'insiste :  Ne ressens-tu pas de rancoeur en te rappelant qu'il n'a pas donné de suite à cette rencontre ?
      Mon ami : Pas du tout. Un regrêt, peut-être, mais pas de rancoeur, au contraire. Sans lui, aujourd'hui, je ne partagerais pas la joie d'être en ta compagnie. Je n'oublierai jamais son acte.
      J'aggrave mon cas : alors le seul fait que tu sois encore en Vie te permet de penser à cette personne avec reconnaissance ?
       Mon ami (surpris) : Mais oui !  je ne le connaissais pas, je ne lui avais rien demandé, rien donné, et pourtant je lui dois la vie. 
              J'espère que cette petite histoire n'a pas perturbé le cours de mon exposé....

       Revenons donc à la problématique initiale..
 
        Ce père, connu ou inconnu de vous, avec évidence vous lui devez la Vie.... donc au minimum, si - en out of émotion - vous avez partagé le point de vue de mon ami, vous pouvez éprouver une reconnaissance équivalente à celle qu'il ressent pour son "sauveur".
        S'il est uniquement  "père nourricier", c'est quand même un "sauveur" lui aussi
        La démonstration marcherait pareil avec une mère...

       
Et si l'émotion pénible éprouvée avait tout simplement pour cause la solution que vous avez retenue pour résoudre un problème dont vous ne disposiez que d'une partie de l'énoncé.
       
Car dans le cadre de l' interprétation d'une relation, on ne dispose JAMAIS de tous les éléments, même si on est partie de celle-ci.

        Choisir la confiance c'est : Présumer que mieux connaitre cet autre qui, aussi proche soit-il, sera toujours pour moi (et parfois pour lui) en partie, inconnu, -  ne peut avoir d'influence négative sur la gratitude que je ressens  à son égard, pour la seule raison qu'il a sauvé ma Vie, même si ce n'est qu'instinctivement.  

        Pour en revenir à l'histoire de mon ami, comment auriez-vous interprété une autre réaction de sa part ?

       
C'est confus ?     Parfait !   Voici la preuve que l'ancienne croyance, celle qui fait mal et qui limite, est entrain de se désintégrer... Vive la nouvelle !

        Françoise - L.      
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8 mars 2009 7 08 /03 /mars /2009 13:49

Nous ne pouvons plus compter sur les "confessions" pour se sentir libérés de la culpabilité des comportements que l'on regrette.
C'était pratique. On obtenait la punition adéquate et on savait que faire pour réparer.

Nouvelle ère, nouvelles attitudes.
Aujourd'hui pour pardonner, à soi ou à l'autre, nous devons faire l'effort de comprendre mais c'est
parce que nous en sommes capables.
A condition de suivre la bonne piste qui est, non pas de rechercher l'intention négative nourrie contre l'autre, mais l'intention positive de survie, parfois réflexe, choisie par l'un - qui plus est, souvent en situation d'urgence.

Exemple simple : Pourrais-je en vouloir à celui qui, en reculant brusquement, m'a marché sur les pieds, si son intention était de ne pas être écrasé par le véhicule qui arrivait brusquement et en zigzagant ?
                                 L'écraseur de vos pieds, pourrait-il s'en vouloir lui-même ?
                                 Et le conducteur du véhicule qui a tenté de piloter un engin qui ne répondait plus normalement aux commandes ?

Cela me rappelle certaines situations en Entreprise...(W)
Cela me rappelle aussi certaines situations familiales (M)

Que convient-il de faire, une fois la colère réflexe passée, quand on a le sentiment d'avoir été agresseur ou agressé ?
Voici un mode d'emploi :
1) Prendre un minimum de recul avec l'évènement et pour cela respirer profondément par 3 fois.
2) Se demander quelle était l'intention d'équilibre du comportement de chacun des protagonistes 
3) De quelles ressources auraient-ils eu besoin pour éviter l'agression
4) Quelle est la conséquence positive pour chacun de l'expérience.
5) Si la situation se reproduit, avec le recul et les ressources évoquées en (3), quels seraient les nouveaux comportements adoptés
6) Quels résultats supplémentaires permettraient-ils d'obtenir
7) Aurait-on pu, dans le contexte initial, apprendre autrement que par la contrariété provoquée, l'enseignement reçu ?

  
Des exemples ! des exemples !
   
I ) un exemple : Au travail (abréviation W) :
     
"Je méritais une augmentation de salaire et je ne l'ai pas obtenue. Mon collègue de travail, pas plus performant que moi, l'a reçue".
      1) On respire
      2) Intentions d'équilibre du Chef de Service : (possibilités)
             - Economies budgétaires (une année l'un, une année l'autre)
             - Affirmer sa position de décideur (a besoin de renforcer son autorité) en diminuant la force de résistance de l'équipe, dont il espère affaiblir ainsi la cohésion 
             - Exprimer, indirectement, que le départ de l'agent est souhaité (volume de travail insuffisant pour deux)
             - Manifeste que le comportement de l'agent ne correspond pas à ses attentes (plus ou moins louables)
      3) Ressources dont il aurait eu besoin pour éviter l'agression
            - Compétences en communication pour expliquer ses motivations
            - Assurance dans son positionnement de Décideur (car sera le payeur si le service ne donne pas satisfaction)
      4) Ici, la conséquence positive est à rechercher pour la personne lésée :
           - Lui donne l'opportunité de défendre son positionnement et de développer une argûmentation lui permettant d'être reconnue, y compris d'elle-même, et éventuellement de voir ses fonctions révisées 
           - Lui permet d'affirmer que sa volonté ne lui sera pas dictée et que rester ou partir ne dépendra que des opportunités de la conjoncture et de son choix personnel
           - Négocier la révision de la décision prise puisqu'elle est personnellement concernée
           - Observer avec objectivité sa propre compétence, refuser toute influence ou manipulation pouvant porter atteinte à sa propre estime, parfois prendre conscience de ses lacunes pour évoquer une formation si cela lui parait opportun ( autofinancée, ou non)  en gardant confiance en son potentiel.      
       5) Si la situation se reproduit : Déjà ce sera avec une justification dès l'observation du phénomène et, si l'explication ne satisfait pas mise en place, faute de régularisation amiable, d'une régularisation légale.
       6) Résultats supplémentaires : La personne inspire le respect (y compris à elle-même)   
       7) Apprendre autrement que par la contrariété est possible si on retient immédiatement que le préjudice ressenti n'est pas l'objectif recherché mais la conséquence d'un faiblesse, à corriger, d'un des protagonistes.                

II ) En famille (M)
           Tel sera le thème du prochain article, où seront  évoquées les  positions "parent" et  "enfant" 
          
 Quel suspense !!!
            A demain.
   

       Françoise-L.

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26 février 2009 4 26 /02 /février /2009 15:09
    Certains ont peut -être feuilleté ce livre puis, voyant l'épaisseur de l'ouvrage et observant qu'il est rédigé en vers et non en prose, ont été découragés avant d'en entreprendre la lecture.
   Je le sais, je l'ai eue.... cette impression.
   Et puis, un jour ... j'ai commencé. Amie des Poètes, oblige... au niveau des premières pages. 
   Mais une fois dans le véhicule, non seulement j'ai souhaité poursuivre le voyage mais encore j'ai créé un cahier où j'ai relevé les phrases qui m'avaient interpellée à chaque chapître.
   Ecrites dans les années 40, elles semblent parfois à l'avant garde de notre XXIème siècle, tellement les Vérités Spirituelles demeurent toujours d'Actualité.

Je vous offre un condensé de mes préférences :

1) La matière n'est capable ni de bien ni de mal car son essence est l'inertie...
( si l'homme ne la trafique pas, cela va s'en dire et mieux en le disant)

2) Le mensonge est Peur

3) Pureté signifie "à sa place". L'acte qui n'est pas à sa place est impur.

4) L'eau (ou le vin) n'est pas pour la coupe mais pour ceux qui ont soif.

5) Vivez la Vie au lieu d'imaginer que vous la vivez.

6) Sache d'abord embrasser, après tu pourras voler 
    
7) La grandeur de l'obstacle n'est pas punition mais confiance

8) Ne faites pas de projet avec la tête. Avec la tête, exécutez.

9) Votre chemin n'est pas d'améliorer, il est ce qui n'a pas encore existé

10) L'impossible est la Loi du Nouveau

11) Il n'y a qu'un seul manque. Si tu en trouves beaucoup, tu te trompes.

12) La création est projection. Le corps est donc l'amour devenu matière.

13) L'Obscurité ne résiste pas à la Lumière

14) Dans un gain de blé habitent le Nouveau et l'Ancien. Ne coupez pas. Semez !

 
Et pour ceux qui s'interrogent sur les motifs de notre imperfection humaine intrinsèque et sur les phénomènes conjoncturels qui dérangent notre sérénité :

15) la "voie" est tellement étroite que ce qui est né fini ne peut y entrer

16) Oiseaux engourdis je vous effraie afin que vous voliez

   Enfin celle que je préfère

17) Seule la Joie est sûre. Pour tout il y a une explication, pour la Joie, il n'y en a pas.
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20 février 2009 5 20 /02 /février /2009 07:19

La forme choisie - poésie slamée - a pour finalité de ne pas être arrêtée, par votre conscient, au seuil de votre inconscient. 
 "Tchut, tchut-tchut, tchut-tchut, tchut-tchut"  est votre réplique... 

           Naissance et  Enfance

  Tchut, tchut-tchut, tchut-tchut, tchut-tchut" 
   Faut pas rater les rails. Aie, aie.
   Tchut, tchut-tchut, tchut-tchut, tchut-tchut" 
   Hier j'étais dans la gare. peinard.
   Tchut, tchut-tchut, tchut-tchut, tchut-tchut" 
   Où serai-je demain ? Dans l'bain
   Tchut, tchut-tchut, tchut-tchut, tchut-tchut" 
    Bain d'foule qui se défoule. Ca roule

    J'suis une locomotive
    Y a tout qui me motive
    Les mots mis sur ma route
    Faut pas que je les shoote
    J'écrase, j'écrase
    J'ne dis pas tout
    Pas tout de suite
    Que les toutous
    Se prennent une cuite
    Un bon litron d'télévision
    Et puis s'effritent sur l'paillasson
    J'ne dis pas tout
    Pas tout de suite
    Si j'suis pas crue
    Ne s'rai pas cuite
    Tuyeaux perçus
    J'passe par une fuite.

              Adolescence

    Tchut, tchut-tchut, tchut-tchut, tchut-tchut" 

    J'ai du rater un rail. Aie, aie.

    Tchut, tchut-tchut, tchut-tchut, tchut-tchut" 
    J'me sens à demi libre. Je vibre
    Tchut, tchut-tchut, tchut-tchut, tchut-tchut" 
     Qui a  changé le décor? Dehors
     Tchut, tchut-tchut, tchut-tchut, tchut-tchut" 
     Il faut que j'accélère. Sévère.

     J'suis une locomotive
     Faut pas que je dérive
     Les mots mis sont derrière
     S'accrochent à ma bannière
     J'avance, j'avance
     J'révèle pas tout
     Pas tout de suite
     Que les toutous
     Se prennent une cuite
     Un bon litron d'télévision
     Et puis s'effritent, sur l'paillasson
     J'révèle pas tout
     Pas tout de suite
     Ne m'ont pas crue
     M'auront pas cuite
     Tuyeaux perçus
     J'passe par une fuite.
     
               Maturité

    Tchut, tchut-tchut, tchut-tchut, tchut-tchut" 
    Je suis sortie des rails. aie, aie
    Tchut, tchut-tchut, tchut-tchut, tchut-tchut" 
    Je vais me ramasser. Cassée
    Tchut, tchut-tchut, tchut-tchut, tchut-tchut" 
     Voilà que j'monte en l'air. Super
    Tchut, tchut-tchut, tchut-tchut, tchut-tchut" 
     Je chante comme un oiseau. D'là-haut

      J'suis une locomotive
      Qui sait planer me suive
      Les mots mis en turban
      C'est l'arc-en-ciel devant
      Je vole, je vole
      J'me sers de tout
      Chez les toutous

      Toutous s'affolent

      Aucun rigole. 
      Plus de litron.  Z'ont des visions 
      D'apocalypse
      Faut qu'ils s'éclipsent
     J'me sers de tout
     Chez les toutous

     Toutous s'affolent

      Aucun rigole. 
      Plus de litron. Z'ont des visions 
      D'apocalypse
      Et ils s'éclipsent

                  Tuyeaux poreux
                  L'eau se répand
                  Et nage qui peut
                  Seul un mot ment
                  
                  Z'ont tout planté
                  On a poussé
                  Se sont barrés
                  Avec notr' blé
                  Mais pas l'terrrain
                  Ni le bon grain
                  Le plus que rien
                  A s'partager.

                  Le plus que rien !!!
                  A s'partager.
                  
          Françoise -L.
 
          En fait, ce texte a initialement été composé pour participer à une soirée Slam organisée par Max au Paradox (Un nom qui me convient parfaitement) Le thème était "Locomotive".

       Et j'étais bien loin d'avoir pensé consciemment à ce que le miroir de la crise m'a fait percevoir :
La seule alternative au capitalisme, autre que le communisme  (Marx ne l'avait pas expérimenté, c'est son excuse) :     
Le SOLIDARISME       
    
   

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17 février 2009 2 17 /02 /février /2009 11:48

En commençant par cette histoire vraie où j'ai participé, d'ailleurs bien malgré moi, mais qui reste un souvenir, tout autant ordinaire qu'inoubliable.

C'était en 1999, j'étais hospitalisée et mon moral n'était pas au beau fixe. 
Quelqu'un frappe à ma porte. C'était un monsieur âgé qui venait me rendre visite.
Il se présente, ce qui me permet de constater qu'il ne s'est pas trompé de chambre : Il est prêtre (retraité +++) et vient rendre visite aux personnes hospitalisées de cet hôpital.
Il avait l'air tellement gentil et tellement certain qu'il était réconfortant pour les patients que, pour ne pas le décevoir, j'ai eu envie de le recevoir agréablement et que nous avons bavardé un moment.
A vrai dire, nous avons parlé de la vie quotidienne, de mes craintes qu'il a balayées en me disant que
"lui-même avait été très malade à une époque et que ce n'était qu'un souvenir lointain... Puis qu'à présent il me disait aurevoir car il se rendait en gérontologie, au chevet d'une arrière grand-mère qui dormait presque toute la journée."
Je lui réponds alors spontanément - et ceci n'avait de question que l'allure car j'avais le sentiment d'avoir déjà la réponse -:
A quoi ça sert de vivre ainsi, en dormant sans arrêt dans un hôpital !

Il me dit : "Elle est heureuse de vivre car, lorsqu'elle ne dort pas elle prie pour ses proches, ses moins proches et même la terre entière.
Et quand je lui rends visite, nous prions ensemble."

Cette répartie a marqué ma mémoire.

Cette femme avait trouvé sa raison de vivre ... le plus longtemps possible. Pas pour elle. Pour les autres,  Par elle.

Je n'ai pas retenu le nom de ce Prêtre, il ne me l'a dit que pour se présenter et je l'ai oublié sur l'instant.  Néanmoins, aujourd'hui je me demande si cette raison - que certains appeleraient "déraison" - qu'elle avait su voir au coeur de son brouillard, ne lui était pas apparue grâce à la lumière apportée par cet homme, aux allures si laïques, dont le regard était si lumineux.

 Je me souviens de ce moment quand j'entends évoquer la possibilité de légaliser l'euthanasie - ce qui était le cas, sur les ondes, ce matin.
Alors, je crains que certains la souhaitent  parce qu'ils se voient écrasés dans le miroir du regard de l'autre. inutiles, pire, pesants : plus assez dignes pour vivre.
    
Faut-il être valide pour être "digne" ? Je connais des valides dont  je trouve les comportements indignes.

Pour ces raisons, si je ne peux  accepter que des personnes ne soient pas soulagées de leurs souffrances,  je ne peux pas accepter, non plus, que d'autres ne soient pas encouragées dans la mission de Vie si difficile qui est la leur, difficile à concevoir d'abord, puis à mener à bien, ensuite.

Mais celui qui, lui-même, ne croit pas au sens de chaque instant de la Vie, comment pourrait-il communiquer cette certitude en soutien ? Comment pourrait-il la recevoir ?
Et celui que n'a pas cette croyance, comment pourrait-il l'acquérir ?

Pas par le raisonnement purement "céphalique". Il n'est pas fait pour ça.
Par le dépassement de celui-ci :
          Même s'il ne comprend pas pourquoi - de toute façon il ne sait pas démontrer non plus pourquoi il   présumerait le contraire - qu'il choisisse la confiance.

Alors, le ressenti de joie éprouvée - totalement inexplicable, car out of nos limites structurelles présentes,  sera le "signe" qui lui montrera que, s'il ne voit pas encore la Vérité perchée au sommet, il est au moins sur un chemin qui y conduit :
 puisqu'Il en entend déjà l'écho.


Amicalement

Françoise-L.

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13 février 2009 5 13 /02 /février /2009 11:53

Ou comment passer de la Volonté à l'Action efficace.

Mais que je vous présente d'abord les 3 cabotins qui nous animent :

Le Créateur : Il conçoit, prend les initiatives et lance les opérations
Le Régulateur : Il organise et prend en charge la suite jusqu'à son aboutissement
Le Censeur naturel : Il détourne toutes les pensées qui nous éloignent de nos objectifs.

En fait, j'ai employé le terme "cabotin" parce qu'il y en a toujours un, plus extraverti (si on peut dire) que les autres, qui aimerait bien occuper la scène à lui tout seul.

Si on n'intervient pas avec l'autorité bienveillante d'un chef d'orchestre avisé, voici ce qu'il peut se produire.
- Le Créateur monopolisant toutes nos ressources, on commence tout et on ne finit rien.
- Le Régulateur s'imposant en toutes circonstances : On n'est pas capable de sortir des rails d'un train-train même si celui-ci emmène vers une voie de garage.
Un peu comme des débutants en skis hors pistes. Seule la chûte leur permet de changer d'orientation (je le sais, je l'ai expérimenté). 
-
Le Censeur naturel : Celui-ci chasse absolument toute pensée qui pourrait permettre aux deux autres de l'interrompre, du genre :
ce n'est pas la peine, tu perds ton temps, à quoi ça sert, tu n'y arriveras pas, tu n'as pas le temps...

Donc, si on considère que vos projets sont les mélodies de ce moment de votre vie, afin de les mener à bien donc d'apporter des modifications souhaitées à votre état présent (voir article précédent) il conviendra d'abord de définir avec chacun de vos musiciens leur propre partition sans oublier les silences des uns pendant les interventions des autres.

je vous recommande, en particulier, de surveiller très attentivement le 3ème qui aurait tendance à essayer d'intervenir quand ce n'est pas son tour. Faîtes le taire.
Exemples de ses parasitages :
   Au moment de la conception : "
Tu vas perdre ton temps"
   Au moment du déroulement : " Si ça marchait, tu le saurais déjà" 
   Alors qu'il devrait ponctuellement intervenir pour exprimer :
"chassons les doutes" "Le temps nous est donné pour faire et seule l'inaction stérile (autre que le repos) le gaspille."

 Dernière recommandation de cet article : Prévoyez systématiquement 1 projet et 2 sous-projets, ou 3 projets.
 En effet, se monopoliser sur un seul objectif présente l' inconvénient suivant : Vos deux "musiciens" qui ne sont pas mobilisés 
   - soit se distraient et créent des "parasites" qui perturbent celui qui tient la scène
   - soit s'endorment et oublient qu'il y a un chef d'orchestre à observer car ce sera bientôt leur tour, ce qui en langage courant signifie
qu'ils ne perçoivent pas des informations externes indirectement utiles car la concentration absolue sur un seul projet ne permet de retenir que ce qui s'y rapporte directement

  Alors: A vos Marques, Prêts, Jouez !

   Françoise-L. A-M
   
 

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12 février 2009 4 12 /02 /février /2009 14:57

En fait, la question pourrait être plus précise :

   1) Est-ce du domaine de votre environnement - ou de l'environnement ( ailleurs, les autres)
   2) Est-ce un comportement personnel que vous aimeriez corriger ou améliorer
   3) Est-ce en relation avec vos capacités, qu'elles soient intrinsèques ou dépendantes de moyens disponibles
   4) Est-ce une croyance qui vous limite
   5) Est-ce lié à l'expression de votre identité
   6) Est-ce pour servir des valeurs fondamentales qui vous motivent ?

Je viens d'évoquer les différents niveaux logiques que nous parcourons et qui, contrairement à l'échelle des besoins de Maslow*, se parcourent en fonction des circonstances du 1 vers le 6 et inversement.

    Une fois situé le niveau du changement souhaité, il convient de retenir que les ressources nécessaires devront être prises au niveau supérieur.
    Evidemment, il est nécessaire de préciser le contexte précis spécifique à une problématique évoquée.

    Néanmoins, nous ne pourrons agir sur notre environnement qu'en modifiant notre comportement
    Nous ne pourrons modifier un comportement qu'en mobilisant les capacités dont nous avons besoin
    Nous ne pourrons disposer de capacités souhaitées qu'en sollicitant des croyances encourageantes
    Nous ne pourrons élargir le domaine de nos croyances qu'en affirmant notre besoin identitaire
    Nous ne pourrons exprimer notre identité qu'en demeurant en accord avec nos valeurs fondamentales.  

  Des exemples ! des exemples ! Pas des faciles, des missions impossibles de préférence :
  Remarque préalable : Cette démarche prendra plus ou moins de temps suivant l'ancienneté du problème que vous voulez résoudre.
                 En fait, il s'agit de créer des égrégores alliés plus fort que ceux qui vous dominent afin que ces derniers s'effacent comme l'obscurité est neutralisée par la lumière.
                 Mais le sujet qui vous enferme est entouré de murs d'autant plus épais qu'ils ont été constitués en plusieurs couches (sur la durée). Il faudra alors plus de temps pour accéder à l'éclairage du jour "J".

     Imaginons un projet qui vous tient à coeur et que vous n'arrivez pas à concrétiser, même pas à démarrer.
      Faites le diagnostic de l'état présent puis surtout celui de l'état désiré puis

     6)  Quelles sont les valeurs de niveau 6 que servirait AUSSI ce projet 
     5)  Comment votre identité pourra-t-elle s'exprimer à travers la réalisation envisagée
     4)  Considérez que si ce projet n'était pas à votre portée, vous n'auriez même pas pu l'envisager.
          
 Le seul fait de l'avoir évoqué le fait sortir de l'impossible.
           
 -  je ne concevrai jamais (à titre personnel) le projet de devenir parachutiste puisque je n'aime même pas prendre l'avion et encore moins les manèges de voltige). 
             - Je ne concevrai pas non plus d'arrêter de fumer puisque je ne suis pas fumeur
    3) Quelles sont les capacités indispensables à sa réalisation : Celles dont vous disposez, celles qu'il vous faut vous procurer et, pour ces dernières, différentes pistes vous permettant - à plus ou moins long terme - de les obtenir.
   2)  En déduire des comportements, adaptés à la situation, vous permettant d'obtenir les capacités qu'il vous manque et, éventuellement, de convaincre ceux de qui dépend aussi la réalisation qui vous tient à coeur.
   1) Vous constaterez que l'environnement, peu à peu, n'est plus un handicap jusqu'à ce qu'il s'avère favorable.

           A présent, commencez et notez ce que vous faites au fur et à mesure car les petites avancées se perçoivent difficilement or il faut les garder en mémoire papier (plus fidèle que la mémoire humaine puisqu' elle n'a pas d'inconscient où basculeraient des observations) .
           Souvent, consultez-les (à chaque mise à jour) pour que l'évolution constatée soit un encouragement à la poursuite de la démarche.

        Ce n'était pas si difficile !

         A bientôt
    
         Françoise-L.

Nb : *Hiérarchie des besoins de Maslow : sur blog :
http://controledegestion./over-blog.com/ 
        
A consulter pour se situer et situer aussi nos partenaires. S'ils sont plus haut, mettez -vous en mesure de grimper pour faciliter votre communication. S'ils sont plus bas, tendez-leur une perche plutôt que de vous épuiser à crier en vain. Ils ne vous entendront pas. 

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