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8 février 2009 7 08 /02 /février /2009 06:20
 "Le modérantisme est à la modération ce que l'impuissance est à la chasteté"

 Traductions : 
L'addiction  est à l'Affection ce que l'indifférence est à l'Indépendance
La pitié est au Respect ce que la soumission est à la Compassion 

Référence
Un révolutionnaire de 1793, reprise, en l'état et pour l'Etat, par l'abbé Pierre en 1949 et
traduite par votre correspondante d'aujourd'hui en 2009.

       
Que votre Journée soit ensoleillée d'Amour en toute Liberté 
   

         Françoise-L.

NB : Ma traduction économique de cette citation est sur : http://controledegestion.over-blog.com/
        Et ma traduction Poétique sur :
http://lesamisdespoetes.over-blog.com/
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6 février 2009 5 06 /02 /février /2009 13:38
Parce que la Stratégie Politique me concerne, et qu'en cette période elle fait partie des urgences.
      La société est malade d'elle même mais la société malade d'elle m'aime et réciproquement.

Alors, je vous invite à me rejoindre, le temps d'un article, sur l'autre blog que j'anime en corrélation avec mes expériences professionnelles.
L'article concerné est : "
A lire avant le 18 Février 2009"
le blog est :
http://controledegestion.over-blog.com/

A très bientôt

Amicalement vôtre

Françoise-L. A-M
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26 janvier 2009 1 26 /01 /janvier /2009 11:18

En effet, la maladie a souvent son origine - c'est devenu un grand classique - dans "le mal à dire" .
Or "ce qui se conçoit bien s'énonce clairement"
Mais, on a du mal à dire ce que l'on conçoit mal.
Et ce que l'on conçoit mal c'est la souffrance, et, encore plus mal, la souffrance qui nous parait injuste, à la limite, injustifiée.

Et si, on acceptait de ne pas tout comprendre.
Et si on acceptait d'aimer, sans comprendre, ce qui dépasse notre entendement ?

"Ma mère aurait du" "Mon père aurait du" ... "Mon enfant devrait" et j'en passe un maximum sur les devoirs présumés de ces autres dont les comportements n'ont pas été, ou ne sont pas, ce qu'ils "auraient du"  ou "devraient" être. 
L'affection est un sentiment indépendant qui apporte d'abord de la joie à celui qui l'éprouve.
L'autre est ce qu'il est, ce qu'il est capable d'être à l'instant "t". C'est vrai pour nous aussi...
Mais ce n'est pas pour ses capacités que j'aime quelqu'un. Heureusement, pour les nouveaux -nés.

 - Celui-ci m'a déçu(e) !
 - Désolée, on ne peut se décevoir que soi-même. La déception résulte d'une opinion que l'on s'était faite et qui s'avère injustifiée.

Si on veut bien concevoir notre imperfection structurelle, on aura de l'indulgence pour notre erreur dont le constat est simplement une voie d'apprentissage.

 

Il est une parabole, sur ce thème : Le retour de l'enfant prodige :

    En résumé, un homme partage une partie de ses biens entre ses deux fils. L'un des deux reste près de son père et fait prospérer sa part, l'autre va gaspiller son bien et, une fois ruiné, retourne au foyer paternel pour demander asile.

   Le père, heureux de revoir son enfant, qu'il avait cru perdu, le reçoit avec joie et organise une fête pour célébrer ce retour.
   Le frère, fidèle aux valeurs familiales, en est blessé et reproche à son père cette attitude aussi accueillante dont il estime n'avoir jamais bénéficié malgré son bon comportement.

   N'est-ce pas du même ordre que celui qui se réjouit d'être guéri alors qu'il n'avait même pas conscience du privilège de son état d'être en "bonne santé" avant d'avoir été confronté à la maladie.
   Et qui, dès l'année suivante peut-être, aura oublié de chanter à son réveil, au moins, la joie de sa vitalité retrouvée.
   Il en est de même du pardon :  
       Celui qui a fait la faute à droit à sa "correction" (voir article antérieur "la punition est un droit pour le coupable")comme le malade a droit aux médicaments dont il a besoin.
       Mais une fois que ce devoir est rempli, l'essentiel est de  permettre le retour à la normalité de la personne qui s'en est éloignée, que ce soit volontairement et consciemment ou involontairement et inconsciemment.

      - Que le coupable retienne la leçon et la mette en pratique par des applications utiles et valorisantes tout autant pour lui que pour ceux qui l'entourent.
      - Que l'offensé(e), après avoir exprimé la souffrance ressentie en tant qu'affirmation de son identité, reconnaisse que ce souvenir de son passé, éventuellement proche, ne présente d'intérêt que par les qualités qu'il lui a permis de développer :  auto-contrôle,  générosité, persévérance, ouverture d'esprit, connaissances, capacité à  communiquer en situations critiques et même créativité, ...
Je n'en dis pas plus car ce n'est plus, alors, du pardon dont il serait question et le thème de l'article deviendrait "Témoigner sa reconnaissance" .

 Ce qui n'était pas mon propos...d'aujourd'hui.

   Pardonner, c'est se décharger d'un lourd sac à dos qui nous empêche d'avancer alertement.
   Cette étape ne comprend pas l'ouverture du sac enfin déposé et le repas préparé à partir de son contenu.
   
    Amicalement 

    Françoise -L.

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23 janvier 2009 5 23 /01 /janvier /2009 15:50

            N'avez-vous pas remarqué que des situations qui vous avaient paru très dérangeantes sur l'instant, deviennent parfois des souvenirs très amusants.

            Dommage d'avoir été contarié par un évènement qui, avec du recul, s'avère si divertissant.

            En effet, en prenant du recul immédiatement, on aurait pu en sourire beaucoup plus tôt, donc être dérangé, ou en colère, beaucoup moins longtemps, ce qui n'aurait eu aucun effet néfaste sur la situation...et, de temps en temps, au contraire.

             Au travail : Un imprévu perturbe votre emploi du temps. Décidez de l'accueillir comme un visiteur venant à l'improviste, porteur d'informations étonnantes, souvent saugrenues ( puisque inattendues), et souriez... 

             A la maison : Vous avez cassé un objet de valeur
    Faute d'inattention, le plus souvent. De vous ou de vos enfants.
    Appliquez dans les deux cas la même sanction - pour fixer le souvenir de la "correction" qui vaccinera de velléités de récidives - puis évoquez l'inventaire des objets encore intacts que vous venez de protéger.
    Enfin, peut-être trouverez-vous une raison valable inconsciente à ce geste que vous n'auriez pas eu l'audace d'effectuer volontairement, vos propres besoins étant en contradiction avec des valeurs normatives que vous subissiez.
  
           Evidemment , si l'incident, ou même l'accident, est plus grave, vous pourrez - dès que vous aurez "amorti" le choc - évoquer que ce fut peut-être l'arbre qui vous a évité le précipice. 
           Et, il est fort probable que vous sachiez identifier l'autre (précipice) tout autant que l'un.

           Si une pensée agréable peut générer l'acte de sourire, la réciproque est vrai aussi.
           Simplement, la réaction physique induite est involontaire tandis que la réaction physique choisie est
inductrice.

Amicalement vôtre,
A très bientôt

Mes pensées les plus amusantes vous ont accompagné(e)  pendant votre lecture.... Vous n'étiez donc pas seul(e)
L'aviez-vous présumé ?  

Sourire.

 

Françoise

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18 janvier 2009 7 18 /01 /janvier /2009 10:35
En commençant par le mot "merci" que je vous adresse, à "vous qui passez" pour "me voir ".

Ces guillemets font allusion "à un temps que les moins de 20 ans peuvent ne pas connaître" (car "ne peuvent pas connaitre" est une affirmation généraliste donc parfois fausse ).
En ce temps là, Elle chantait : "Vous, qui passez sans me voir".

Je doublerai le "merci" à l'attention de  Marc, qui se reconnaitra s'il vient en ballade "du côté de chez" moi car je lui dois de connaitre la technique pour vous permettre de me retrouver sur un "article commun".
En effet, j'estime que ce sujet a sa place tout autant dans le blog "des amis des poètes" où il a été rédigé en 1ère diffusion, que dans celui-ci, que dans le blog "contrôle de gestion" à l'attention des entrepreneurs en herbe ou en fleurs ou en fruits, dont un des facteurs-clés de succès réside en leur capacité de communiquer.

Mais je bavarde et vous languissez ( on peut rêver !!!)
A vos marques, prêts, cliquez !
Embrassez qui vous voudrez
 
      Bises d' à bientôt

      Et toc !

                
http://lesamisdespoetes.over-blog.com/article-26891438.html


      Françoise - L.
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7 janvier 2009 3 07 /01 /janvier /2009 09:03

 En fait, nos vérités non tangibles - soit les plus nombreuses - résultent de nos croyances.

 - Si une plaque est brulante, élément tangible (façon de parler), toute personne qui la touche fera la même constatation au détail près de l'intensité de la douleur ressentie où demeurent, le plus souvent, des traces de subjectivité.
- Par contre, les interprétations des effets observés, qui plus est des effets redoutés, dépendent de notre système personnel de perception, de notre classement hiérarchique de nos propres croyances.

  
Eduquer la perception reviendrait donc à enseigner des critères permettant à chacun d'établir le classement  ordonné (croissant ou décroissant) des valeurs fondamentales auxquelles il rattache ses croyances.
  
  Par la force de la nature, (si on peut l'exprimer ainsi) notre naissance nous place déjà dans un milieu culturel qui n'est pas neutre.
  Par osmose, nous serons donc inévitablement "éduqués", dès notre "arrivée"  suivant les critères subjectifs de notre entourage immédiat puis relationnel. 
  Ensuite, nous développerons ce que nous estimons être nos propres croyances, résultant de nos apprentissages.
   Il est toutefois nécessaire d'être conscients que nous avons tendance à privilégier, quand ce n'est filtrer, la perception des informations qui confirment nos croyances acquises. ( Qui n'a jamais "généralisé" ... un jour )
   
  C'est la rencontre avec les autres et leurs propres croyances, qui nous permet l'élargissement de notre
capacité de perception et, par voie de conséquences, l'acquisition de croyances nouvelles.
Ces dernières pourront, si ce n'est remettre en cause les anciennes, du moins les supplanter au niveau hiérachique ce qui modifiera nos comportements.
     
Cas simpliste basique juste pour illustrer la démonstration:  
        Je déjeune le midi dans ce restaurant car les repas sont bons et à un tarif attractif

        J'apprends que la cuisine est sale au point que les service d 'hygiène ont déjà formulé un avertissement :
        Je change de "crèmerie".
        En fait, je crois encore que les repas sont bons et que le tarif est attractif mais mon critère de valeur "propreté" est dominant par rapport à celui "confort" qui motivait mon choix antérieur.

         C'est également par la rencontre avec d'autres et par l'échange que je peux être informé de croyances dont je ne connaissais même pas l'existence.  Et les apprécier au point de modifier mes comportements.
Evidemment, le phénomène est  réciproque

         Toutefois pour que la rencontre et l'échange puissent  avoir lieu ( rencontre physique, épistolaire, ou par les différents modes de communication qui évoluent sans cesse),  il me semble que doivent être réunies 3 conditions préalables :
     - Attitude humble - qui n'exclue pas nos exigences de respect -  : reconnaitre que l'on ne sait pas tout et que, même ceci étant admis, on n'a pas le privilège d'être le plus favorisé en ce domaine et de détenir l'essentiel
    - Attitude solidaire - qui n'exclue pas la prise en compte de nos propres intérêts - : reconnaitre que les autres sont nos partenaires et que nous portons chacun une partie de ce qui est indispensable à tous
   - Attitude confiante - qui n'exclue pas le sens de nos propres responsabilités - donc par choix et non par laxisme.

            Apprendre à Choisir la Confiance  pour ne pas se laisser enfermer par peurs ni dériver par naïveté...
            Et admettre que tout apprentissage résulte à la fois des enseignements directs et indirects (erreurs corrigées).

       Ma conclusion :   La perception peut s'éduquer, et ce,  jusqu'à ... toujours.

       Françoise-L.  A-M 

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4 janvier 2009 7 04 /01 /janvier /2009 07:31

    La Vie (ensemble intergénérationnel des Autres) est notre partenaire.
    Dans les termes de cette alliance, il nous revient la mise en route du "Bien" et il lui appartient l'initiative du "Mieux".
    Celui qui croit ne pouvoir s'engager et entreprendre qu'une fois réunies les conditions idéales d'un succès déterminé, pense à l'envers. Comme dirait, presque, un de mes amis paysan,
"il met la charrue DEVANT les boeufs".

    La Nature, et spécifiquement la nature humaine, nous donne pourtant l'exemple, dès notre venue au monde :
    Le bébé naît, tout plein de fontanelle, car ses os ne sont pas encore définitivement soudés. Aucune mère ne s'en plaindra.
    Il en est de même pour toute création.
    C'est le commencement qui génère l'existence de la suite et la concrétisation accomplie n'est jamais totalement prévisible.
    La personne, qui impose un cadre strict à ses résultats, fige ses ressources.  

   
Le mieux n'est pas l'ennemi du bien, il en est le prolongement 
    C'est le désordre qui est l'ennemi du tout. Que chacun soit à sa place :
         - Au niveau du concept : le Bien
         - Au niveau de l'entreprise : l'Au mieux
         - Au niveau du Résultat : le Satisfaisant
         - Au niveau des effets du résultat : le Mieux 

   Mais non, vous ne lisez pas mon blog "controledegestion".
  
Je reconnais que ce qui est bien pour ici serait peut-être mieux pour là-bas...
  
 En alliance avec la Vie, puisque l'auteur navigue de l'un à l'autre, que les lecteurs "qui l'aiment la suivent".(lien)

   A tous, Amitié (nouvelle puisque de l'an NEUF).    Ca, c'est de la logique "AmisdesPoetes" (lien)

  A très bientôt, sur mes résidences secondaires d'over-blog.com  qui s'avèrent paradoxalement ( signe de l'alliance) toutes principales .

   Avec une pensée reconnaissante pour cet opérateur (OVER-BLOG) 


        Françoise-L.

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2 janvier 2009 5 02 /01 /janvier /2009 10:28
Marc a évoqué ces 3 paramêtres et il m'a semblé utile d'en approfondir le sens et la portée :

    Intention
=  Etat d'esprit, de l'ordre du souhait. C'est l'objectif qui est visé, les moyens restant à définir et à programmer.
   Désir        = Expression d'un besoin non assouvi.
   Volonté   = Préalable incontournable à l'action qui, inévitablement, ne peut en être que le prolongement.

   Tant que la Volonté n'a pas été activée, L'Action librement choisie ne pourra être exécutée.

   Les meilleures intentions peuvent s'avérer stériles, ou pire, à l'origine de moyens dont les effets néfastes se situent aux antipodes des objectifs formulés.
   J'ai déjà lu :" L'enfer est souvent pavé de bonnes intentions"
   J'ose vous réconforter : Le chemin du Paradis est aussi, parfois pavé, de mauvaises intentions"

   Les Désirs, avouables ou inavouables, sont des indicateurs d'impuissance ponctuelle, de manques plus ou moins douloureux et temporaires. Ils s'avèrent le plus souvent substituables et n'impliquent aucun changement tant qu'ils ne sont pas soutenus par l'émergence d'une volonté qui prendra leur relai.

  La Volonté est l'engagement irréversible de l'individu sur la route de l'action. Elle, seule, permet la réalisation ou le renoncement définitif lequel s'apparente à la destruction tout autant du projet que de celui qui le porte.
  La Volonté a la force d'un réflexe de Survie dont l'efficacité est multipliée par la réflexion préalable, ce qui n'est pas le cas de la réaction exclusivement instinctive. 
Elle est la supériorité de l'esprit humain sur l'esprit animal.

 Si le rire est le propre de l'homme, la volonté est sa compagne.

 Alors, amusons-nous et n'ayons aucune crainte, il n'est nul besoin d'être triste pour être volontaire.
 Au contraire.
 La joie éprouvée est un signe  d'efficacité constatée. La volonté n'exige pas de s'imposer avec brutalité. Elle se suffit car son autorité n'a pas de concurrence.

  Je vous souhaite une excellente année (telle est mon intention)
  Remplie de Bonheur (selon vos désirs compatibles avec ceux de vos compagnons de route)
  Et de Réalisations qui vous sont chères : qu'il en soit fait selon vos volontés, en accord avec la volonté Universelle ( puisque volonté = survie)

  Vive l'an NEUF de 2000, appelé , cette année là : 2009
   Bises à tous

   Françoise -L. A-M
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29 décembre 2008 1 29 /12 /décembre /2008 07:20

Noël, anniversaire de l'Etre, reconnu de lumière et de chair, miroir de notre dualité. 

Etre de lumière (notre identité divine) et Etre de matière ( part de nous-même appelée Ego) dont l'union s'appelle Vie. 
Le Christ est appelé "sauveur" car sa mission est de nous apprendre cette vérité par l'exemple, par l'observation de ce miracle incontestable que nous évoquons, sans même y penser,  tous les jours :
la date des journées d'un calendrier déjà universellement utilisé de façon quotidienne.

Notre Etre de Lumière est intemporel et son objectif est l'Unité Universelle par l'Amour
Au service de l'Etre de Lumière, l'Ego est temporel. Ses besoins de connaissances et de reconnaissance sont à la fois ses outils et ses faiblesses.
Vivre dans la Joie et l'harmonie nécessite :
- La prise de conscience de notre dualité
- La confiance en L' Etre de Lumière, en ses stratégies, en son lien affectif à l'Ego qui est son compagnon temporel.
- Le respect de l'Ego, que l'Etre de lumière protège, instruit, récompense et autorise à ne progresser qu'au rythme de sa croissance.

  Parfois, notre "Ego" oublie l'existence de notre "Etre de Lumière", alors nous éprouvons des ressentis désagréables ou douloureux : La Peur ( L'Ego se croit le décideur et, à juste titre, s'en sait incapable) et la Solitude qui incite à s'attacher à d'autre Egos par des attitudes de Pouvoir (domination et (ou) soumission), Possession, ou Dépendances qui ne sont que maquillages éphémères, plus ou moins réussis.
  En reconnaissant notre dualité, nous éprouvons la Joie de la re-union dont le ressenti s'apparente à l'état amoureux : Union d'abord intérieure, ensuite avec ces autres qui nous ressemblent et enfin avec l'univers tout entier.
   
   Fêtons en Noël une naissance aux allures de reconnaissance (à tous les sens du terme)

   A très bientôt

  Françoise-L. A-M

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23 décembre 2008 2 23 /12 /décembre /2008 15:14
Jean-Pascal DEBAILLEUL, conteur et thérapeute, est l’auteur d’une méthode de transformation de soi en suivant les enseignements symboliques des contes de fées.

Il évoque, en particulier, une hiérarchie des mémoires auxquelles nous faisons appel (élaboration du concept) avant de prendre une décision (volonté) génératrice de l'action ( entreprise) indispensable à la création.

  - Le 1er niveau, mémoire instantanée ou mémoire personnelle, est constituée et actualisée par nos propres expériences dont l'apprentissage. C'est elle, par exemple, qui nous dicte de tourner le volant pour aborder un virage puis de le repositionner pour la suite du parcours.

- Le 2ème niveau est notre mémoire familiale. Celle-ci n'est pas immuable non plus mais son accès, et éventuellement sa révision ou actualisation, nécessite le passage préalable par le 1er niveau.
 
- Le 3ème niveau est la Mémoire Universelle, dont les pouvoirs sont illimités mais qui n'interviendra que si elle est sollicitée directement (créativité) ou si le 2ème niveau se reconnaît dépassé et lui confie l'initiative.

"
Il s’agit alors de s'initier à la pratique de l’intelligence collective", de faire émerger des projets de société et de les mettre en œuvre.
  C'est ce que l'on observe souvent au niveau de la recherche : Bien qu'éloignés, parfois isolés dans leur laboratoire, les "trouveurs" semblent puiser leurs découvertes dans de mêmes courants  novateurs sous-jacents.

   L'application permet de parfaire le 1er niveau.
   L'analyse et la compassion permettent de réviser et actualiser le 2ème.
   L'imagination, la solidarité et la solidité des niveaux précédents favorisent l'accès au 3ème niveau et l'émergence des solutions indispensables à l'existence des lendemains 

   A propos de demain
   Joyeuse fêtes

         Françoise-L.  A-M
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Présentation

  • : Le blog de Françoise-Louise A - M
  • : Méthode ACC = Apprendre à Choisir la Confiance. Epanouissement personnel et des collectivités où nous intervenons (familiales, sociales, professionnelles)
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Profil

  • Psychologie et Communication
  • Me Praticien en PNL. Parce que le défaut de communication est à l'origine de la plupart des conflits, y compris avec soi-même, J'ai conçu la méthode ACC = Apprendre à Choisir la Confiance

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