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20 novembre 2008 4 20 /11 /novembre /2008 15:32

Aujourd'hui grand-père, il n'a cessé de s'intéresser à l'être humain afin de définir comment se combinent, en nous, le biologique et le psychique, ou le corps et l'âme.

Sa préoccupation essentielle est encore de démontrer nos capacités de résilience qui nous permettent de réagir à des situations très difficiles et de trouver, ou retrouver, la force du désir de vivre.

 

En fait, il a fait son propre apprentissage sur le terrain avant même d'explorer la nature humaine de façon plus abstraite.

Né en 1937 dans une famille juive, son père, légionnaire Ukrainien ne reviendra pas du front et sa mère Polonaise sera déportée en 1940. Orphelin à 3 ans, Il est  placé à l'Assistance Publique.

Une dame le sort de l'assistance et le cache chez elle sous le prénom de Jean. Il est dénoncé et arrêté le 12 janvier 1944 à 6,5 ans.

dans la synagogue de Bordeaux, il profite de la bousculade pour se cacher. Quand il ressort, les camions sont partis et il se retrouve seul dans la rue. Il est sauvé par une infirmière, sera repris, évadé de nouveau puis placé à la campagne comme garçon de ferme jusqu'en 1948 où, retrouvé par sa tante qui vit à Paris, il est inscrit à l'ecole pour la première fois.

15 ans plus tard, il sera neuro-psychiatre et prouvera ainsi qu'un être, à l'enfance saccagée, n'est pas condamné par sa mémoire.

Il s'intéresse à toutes les sciences relatives à l'évolution de la Vie qu'elles concernent le corps ( Anatomie, Biologie...) ou l'esprit ( Psychologie, Philosophie...) toujours à l'affût des dernières découvertes.

 

Voici un extrait de 7 observations fondamentales qu'il a "vulgarisées" :

 

1) Le façonnement du cerveau est un phénomène continu. 

       Il est en permanence remanié en fonction des émotions et des stress résultant de nos rencontres, des évènements vécus, et même de l'évolution de notre environnement social et culturel.

       L'Amour, les expériences sensorielles influencent non seulement le tempérament mais aussi le développement anatomique du cerveau ( testé et vérifié expérimentalement)

     Cette notion de plasticité cérébrale fait partie des grandes découvertes de notre siècle.

 

2) Les 2 conditions Avoir peur et, simultanément, avoir une base de sécurité. sont nécessaires pour développer un attachement  qui soit également  "sécure":

       Cet état paradoxal favorise un équilibre épanouissant où la recherche de stimulations induites par le monde est compatible avec le besoin de sécurité assuré par sa propre base      

- C'est l'association de ce couple d'opposés qui va attacher l'enfant à sa mère, puis l'adulte à l'autre, en confiance.

- En l'absence de base de sécurité intégrée, l'attachement, soit ne se produira pas et on observera un comportement "évitant" (l'autre me fait peur, donc je garde mes distances), soit il s'exprimera sous forme de possessivité.

- L'effet psychoaffectif des croyances peut s'observer cliniquement. Les religions, en offrant une représentation dilatée du temps, constituent une base sécurisante interne.

- Ne pas avoir de base de sécurité, génère de l'anxiété chronique. Rester en permanence auprès de sa base de sécurité, engourdit. 

       

3) La sérotonine, neuromédiateur naturel, est un déterminant génique de notre organisation personnelle et de notre façon de concevoir le Bonheur.

 - Les petits transporteurs de sérotonine : Vulnérables, ils adoptent des stratégies d'existences adaptées à leur fragilité. La routine les protègent des angoisses existentielles.

   Les évènements qui les poussent en dehors de leurs repères les déstabilisent et leur sont, au minimum,  désagréables. Ils trouvent leur bonheur à travers l'action mesurée et l'affection réconfortante.

- Les grands transporteurs de sérotonine : Ont besoin de hauts niveaux de stimulation. recherchent l'aventure, les situations extrêmes, développent des poly-attachements. Ils trouvent un sain épanouissement dans la prise de risques encadrés.

            Dans tous les cas, se raconter à un autre stimule la zone des émotions et, en permettant de se décentrer de soi-même, provoque un soulagement (à l'inverse de ruminer, enfermé dans son propre récit)

 

4) Les voies de la douleur et du bonheur sont très voisines, et les souffrances morales sont traitées par la même zone du cerveau que les souffrances physiques.

    Conséquence du fait que les centres du bien-être et du mal-être sont adjacents, le fait de stimuler très fortement l'un finit par provoquer une réponse de l'autre. (pleurer de joie)

 

5) L'effet d'une croyance, d'un ensemble de mots, de sons, d'images : stimule  notre cerveau entrainant la secrétion de substances qui font que, dans notre corps, on ressent soit de la joie, soit de la souffrance (penser à la vision d'un film). L'effet est amplifié quand le phénomène est partagé (supporters d'un match de foot).

     Celui, pour qui le monde intime des représentations est intense ( imaginatifs), dispose d'une base de sécurité interne lui permettant d'être moins tributaire du contexte.

 

6) L'importance du modèle:

- N'avoir qu'un seul modèle sécurise mais emprisonne. Je ne m'exprime plus, je récite.

- Ne pas avoir de modèle, rend confus. Je vais dans tous les sens, gaspille mon énergie et, même, me blesse

- On a besoin d'un système de pensées de référence, d'une culture, auxquels on se refère et dont on critique ce qui ne nous correspond pas. Ceci permet de se sentir sécurisé sans être enfermé, d'exister.

 

 7) reminiscences et reviviscences :

      Une blessure, quelle qu'elle soit, déniée ou non exprimée, empêche d'effectuer le travail de résilience qui redonne l'énergie et la volonté de poursuivre joyeusement sa vie, au-delà de l'obstacle dépassé.

     La douleur correspondante ressurgit alors ponctuellement, non pas sous forme de réminiscences ( rappels volontaires) mais sous forme de reviviscences ( un passé qui s'impose dans le présent)

 

           J'ai retenu ces 7 paramètres qui confortent l'intérêt du déroulement de la méthode ACC - Apprendre à Choisir la Confiance - dont le principe offre l'ancrage d'une base sécurisante forte ( Alliance avec la Vie) - tout en permettant de retrouver ses désirs authentiques, moteurs de nos actions, et de reconsidérer les évènements passés, en utilisant un nouvel éclairage, afin de les décharger de leur potentiel agressif.

 

           A bientôt

 

          Françoise-L  A-M

  

    

 

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15 novembre 2008 6 15 /11 /novembre /2008 09:36

 Le Lieutenant-Colonel Driant 
Un officier « courage », témoin de son temps 

     Le 23 décembre 1905, Malgré une longue série d'appréciations élogieuses décernées par ses supérieurs,  il ose formuler cet adieu de l'armée avant d’entrer dans le combat politique :
« 
J'appris qu'on allait m'envoyer dans un régiment  sous les ordres d'un colonel qui avait reçu mission de m'achever. » 
   On retrouve cette attitude, adaptée à la société de ce début de siècle, par des observations très audacieuses même s’il ne s’en veut que le porte-parole et les présente comme des arguments opposées par d’autres (Il eut fait un bon modèle pour nos concepteurs de la PNL) : 
En fait,s’il n'avait pas su les exprimer ainsi, personne n’aurait pu l’entendre, et cette affirmation ne serait même pas parvenue jusqu’à nous : « 
Je dis que le soldat français, le premier du monde, … commence à douter … ce petit soldat se demande s'il ne moud pas à vide dans cette grande machine où il est engrené et s'ils n'ont pas raison, les tentateurs qui lui soufflent à l'oreille : " …   Tous les peuples sont frères et si l'on te commande de marcher à la frontière, rappelle-toi que l'ennemi, c'est l'officier qui te montre la route ! »  
Ce commandant « courage », puisqu’il ne pouvait leur éviter l’épreuve, a cependant choisi de reprendre du service, a préparé son Grand départ (protection de ses papiers, de ses chevaux..) et s’est retrouvé le temps d’un souffle sur le front de VERDUN. 
Au niveau de la « mondialisation » voilà ce qu’il écrit : 
1)Politique extérieure : -  Evoquant les propos des Musulmans aux fins de convertir les Africains et de les rattacher à leur cause contre les colonialistes de tout bord :"Au nom de l'humanité, vous supprimez l'esclavage chez les Noirs, mais vous leur apportez l'alcool, qui décime la tribu en deux générations. Au nom de la civilisation, vous construisez des chemins de fer, vous entreprenez de grands travaux, mais c'est pour engraisser des actionnaires qui habitent Londres ou Berlin,
(n’oublions pas qu’il est lui-même Français et doit témoigner, indirectement, de son patriotisme) non pour améliorer les conditions de notre existence.
D'ailleurs, ces conditions, nous ne tenons pas à ce qu'elles changent; nous sommes heureux sous la tente, avec nos troupeaux, ayant devant nous les vastes espaces et la liberté. Nous sommes sans besoins et nous ne voulons pas de votre civilisation étriquée et accapareuse."
Et ils concluent logiquement, "Restez chez vous !"  
Qui pourrait les en blâmer ? […]
                 
-
Evoquant les entretiens de ClEMENCEAU avec le gouvernement Marocain, il écrit :En un mot, là comme dans toutes les grandes pensées du régime, nous sentons la corruption et la vénalité : on ne fait plus de la politique française, on fait des affaires.   

2) Politique intérieure :
  Il écrit : l'égalité absolue des conditions sociales n'est pas compatible avec le fonctionnement d'une société organisée, ( le mot équivalence n'était pas de son temps) mais atténuer l’inégalité dans une large mesure, en élevant ceux qui ne possèdent pas, en leur facilitant l'accession à la propriété et au capital.  Mon but est que cette évolution s'accomplisse sans guerre de classes, sans expropriation, sans violence, par l'éducation des forces sociales en présence, par leur collaboration intelligente et féconde aux réformes que réclament les idées supérieures de justice et de progrès   « Tant qu'il y aura des écoles officielles, j'y réclamerai la sincère observation de la neutralité, car je trouve intolérable qu'on impose aux enfants une éducation morale contraire aux croyances et aux traditions de leur famille. »

Enfin, Particulièrement  visionnaire, le roman social de DANRIT ( alias DRIANT) : « La Révolution de demain » . Il fut publié en 1910 avec la collaboration d'Arnould Galopin :  C'est la grève générale et insurrectionnelle, le rôle néfaste des financiers apatrides, l'emploi de l'armée contre l'émeute. Adversaires d'un moment, mais Français d'abord, tous se retrouveront finalement unis pour s'opposer à l'invasion allemande. ( Un ennemi fort à propos mais un dénouement inconcevable, aujourd’hui)

Pour en savoir un peu plus sur ce colonel  :  http://controledegestion.over-blog.com/   
Et pour en savoir beaucoup plus, sur ce même site, en fin d’article, vous trouverez mes sources sur le Net.

A bientôt.
J'ai réglé mes comptes avec ce 11/11 qui, plus que la Paix, me rappelle tant de sacrifices humains 

 

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10 novembre 2008 1 10 /11 /novembre /2008 13:44
Programmation  =  Utilisation consciente de stratégies
Neuro                 = Liées aux perceptions sensorielles de chacun (ressentis subjectifs activant des réactions)
Linguistique      =  moyens de communication humains, langage et comportement.

"Nous avons le devoir de nous faire comprendre"
   
  Nous choisirons donc la stratégie de communication (choix des mots et de la gestuelle) donnant à nos auditeurs le désir d'écouter nos paroles, de croire en leur bien-fondé, de les retenir pour références, et d'adopter le comportement qui en résulte.

       L'origine de la PNL est située en 1972. Elle résulte de l'étude menée en concertation par Richard BANDLER, informaticien, et John GRINDLER, psychologue et linguiste, qui ont eu l'idée de recenser les éléments constants apparaissant dans toute communication efficace. 
Ils ont ensuite modélisé les attitudes des orateurs convaincants.
La première condition est d'avoir une gestuelle cohérente avec les paroles prononcées. 

      Initialement, communiquer efficacement signifie "atteindre l'objectif que l'on s'est fixé". 
     A ce titre, cette technique, utilisée en entreprise par les commerciaux, a été qualifiée de manipulatrice.
     Cet effet, au service de l'intérêt du vendeur (orateur) plus que de celui de l'acheteur (auditeur), n'a pas la solidité d'un partenariat et n'est donc pas garanti sur la durée.
Ceci explique les délais de réflexion prévus par la loi pour certains achats ou souscriptions d'emprunts, d'assurances...

    En fait, l'utilisation positive de la PNL enseigne la capacité d'être attentif à l'autre (et à soi-même), d'identifier ses(nos) attentes, de lui (nous) permettre de trouver et mettre en oeuvre les changements qui lui (nous) seront favorables. 

     Les principales caractéristiques que j'en ai retenues sont les suivantes :

1) Chacun de nous a une préférence sensorielle, en matière de communication :
      - La vue ( il retiendra mieux ce qu'il aura eu l'occasion de 
lire )
      -
L'ouïe il retiendra mieux ce qu'il aura eu l'occasion d'entendre)
      - Le mouvement - kynestésie - ( il retiendra mieux si l'expression est accompagnée de gestes appropriés ou de termes en relation avec le "toucher" ou la proximité physique)
     Pour connaître la préférence de votre interlocuteur (qui n'en n'est pas toujours conscient) vous repèrerez les mots qu'il emploie dans son langage courant
"Tu vois ce que je veux dire?"  "bien entendu"  "j'ai saisi la portée de tes paroles".
  * Et vous utiliserez le vocabulaire qui vous placera sur la même longueur d'ondes. 
  *
En présence de plusieurs auditeurs, il sera opportun de s'exprimer de façon à ce que chaque type de sensorialité puisse trouver des repères de sa catégorie.

2) De la pensée à l'action
     Nos croyances constituent nos vérités (au moins, ponctuelle) et sont à l'origine de nos comportements et de nos ressentis.
    Une croyance résulte de critères de valeurs que nous avons reçus et acceptés ou bien
établis d'après nos expériences.
    Ces critères sont hiérarchisés et l'adoption de nouveaux critères dominants (par rapport aux anciens) modifiera nos croyances et nos comportements.  
    Lui faire reconnaitre les critères qui ont un impact sur ses croyances peut permettre à une personne d' acquérir les motivations nécessaires qui l'inciteront à choisir de modifier son comportement.

3) Les obstacles aux changements
      - Il est impératif de tenir compte que le comportement de chacun, aussi pénible soit-il, sert une intention d'adaptation au contexte, tel qu'il se le représente, une exigence pour assurer sa survie.
     - Une des propriétés les plus remarquables des croyances c'est leur aptitude à générer les filtres nécessaires à leur entretien. La personne est attentive à tous les signes qui vont conforter sa croyance et ne perçoit pas ceux qui pourraient l'infirmer ou ne leur accorde aucune valeur significative.
       
4) Modifier les croyances et induire le changement  
   -
Déterminer, l'intention positive poursuivie par un individu dont le comportement est indésirable (que ce soit pour lui ou pour le contexte social) - de préférence, l'aider à la trouver lui-même -

  - Déterminer les critères qui sont à la base de ses croyances - de préférence l'aider à les qualifier lui-même -
    Ayant conscientisé ses motivations, dont le bien-fondé n'est pas à contester, évoquer avec la personne quels seraient des critères majeurs qui pourraient l'emmener à modifier ses croyances et ses comportements.
            
Par exemple :  - Je ne lui téléphone pas pour ne pas la déranger 
                                   - Préfères-tu prendre le risque de la déranger ou celui qu'elle te croit indifférente ? (autre critère)
             surtout que pour neutraliser le 1er tu peux toujours commencer la conversation par "je ne veux pas te déranger, juste prendre de tes nouvelles, si tu es occupée je rappellerai". (élimine le 1er critère déjà affaibli)

  - Examiner avec elle les habitudes qu'elle a prises et qui, révisées, pourraient l'emmener à revoir ses propres conclusions :
      * Sélections :  " Je n'ai que ceci ou cela"...Elles limitent ses perceptions à ses besoins immédiats, à conforter ses craintes : Suggestion: "Observe la situation dans son ensemble et fais la liste des points qui te conviennent"
     * Généralisations : 
" C'est toujours pareil" "Les chefs ne font que ce qu'ils veulent"..
 Elles enferment dans un processus.
                                 Suggestion : "Que pourrais-tu déjà modifier dans ta situation personnelle, ou bien que pourrais-tu faire, en plus, pour explorer aussi d'autres pistes d'activités.
     * Distorsions :  " S'il a agi ainsi c'est qu'il ne m'aime pas " liées à des interprétations de relations de causes à effets qui sont en fait l'expression des craintes de ce que pourrait penser l'autre  
    : " A la façon dont il me regarde je pense que je l'ai contrarié"  Ce qui est différent de : "A la façon dont il me regarde, il semble contrarié" 
    * Présuppositions : Elle :
" Il ne m'a pas demandé mon avis car ce que je pense ne l'intéresse pas"
                                  Lui  : "Je ne lui demande pas son avis car elle a assez de soucis sans celui-là"
En choissant la confiance cela aurait donné
           Elle :
" Veux-tu que je te donne un avis, en fonction de ce que j'ai compris de la situation ?"
           Lui  :
" Tu as assez de soucis sans celui-ci, offre moi plutôt le plaisir de passer un agréable moment sans y penser"
               Elle:
"Comme tu voudras mais tu as le droit de changer d'opinion"

5) Verifier que le nouveau comportement est conforme à l'écologie de la personne
          Ecologie interne : respecte son identité et les "bénéfices secondaires"  liés à la situation antérieure 
          Ecologie externe : optimise ses relations dans son cadre de vie familial et professionnel.
          Elle aura réalisé précedemment l'intérêt de  prendre le recul nécessaire pour choisir, de plus en plus souvent,  un comportement actif et non réactif.

     Cet exposé n'était pas exhaustif mais souhaite vous avoir sensibilisé à une technique de communication qui n'est qu'un outil performant quand il est bien utilisé et au service de bonnes intentions .

        Françoise L. A-M

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1 novembre 2008 6 01 /11 /novembre /2008 13:33

La Calomnie n'est pas une discipline nouvelle. Ce qui est moderne c'est son utilisation opérationnelle à fins non agressives mais fonctionnelles.
Par exemple: Pour orienter le comportement d'une personne ou d'un groupe de personnes, sans intention prioritaire de nuire, la souffrance créée n'étant qu'un effet secondaire que le stratège aurait même évité s'il n'y avait pas eu incompatibilité au niveau des résulats attendus. 

On en trouve, dans la littérature, une définition qui me parait tout à fait fidèle.
Je l'ai retrouvée en "commentaires" sur le blog de David Cabas (over-blog.fr) et extraite de son contexte théâtral, elle m'est apparue dans toute sa valeur. Je la transcris :

Barbier de Séville de Beaumarchais :

 

     « La calomnie, Monsieur ? Vous ne savez guère ce que vous dédaignez ; j’ai vu les plus honnêtes gens prêts d’en être accablés. D’abord un bruit léger, rasant le sol comme hirondelle avant l’orage, pianissimo murmure et file, et sème, en courant, le trait empoisonné. Telle bouche le recueille, et piano, piano vous le glisse en l’oreille adroitement. Le mal est fait, il germe, il rampe, il chemine, et rinforzando de bouche en bouche, il va le diable.

       Puis tout à coup, on ne sait comment, vous voyez  Calomnie  se dresser, siffler, s’enfler, grandir à vue d’œil. Elle s’élance, étend son vol, tourbillonne, enveloppe, arrache, entraîne, éclate et tonne, et devient, …, un cri général, un crescendo public, un chorus universel … de proscription. "
Qui diable y résisterait ? »

       En fait,  Celui qui est la cible doit réaliser qu'il est face à un égrégore construit -voir articles sur égrégores - 

et adopter l'attitude lui donnant le temps et la force de déstabiliser cet ennemi automate.
       - Tout d'abord, reconnaître le processus pour prendre les mesures nécessaires permettant de se protéger  de la contagion. (prendre du recul pour que les coups ne frappent que l'air)
* Si l'agression est une stratégie de dévalorisation, trouver des domaines et un entourage qui neutralisent cette croyance avant qu'elle ne s'insinue dans l'esprit de celui qui est visé. (actions valorisantes, tests ...)          
* Si l'agression est une stratégie d'incitation à la violence orientée, au gré des manipulateurs, s'engager dans des actions qui transforment en force l'énergie de la colère initiale (sports...) 
      
       - Ensuite, une fois à l'abri, il convient d'identifier le but poursuivi par la méthode employée, et,
* s'il ne vous parait pas incompatible avec votre bonne conscience, créer et faire adopter d'autres solutions permettant de l'obtenir car, une fois l'objectif atteint, les stratégies qui le servaient, devenues inutiles, se neutraliseront d'elles-même.
  
* S'il vous parait incompatible avec vos références morales, vous situerez avec précision la nature du mal à combattre et, le diagnostic étant établi, vous pourrez alors choisir la médication appropriée ( ou faire appel à un soutien choisi en fonction des besoins).

        Ainsi, en décidant de garder un esprit positif, entretenu par votre conscience de ne pas démériter suivant vos propres critères d'estime personnelle, vous entretiendrez votre énergie. 
        En apprenant à la canaliser afin qu'elle ne soit pas dispersée par des sollicitations extérieures stériles, (éventuellement par la méthode ACC - je fais ma pub -) Votre détermination se reflètera peu à peu sur votre entourage qui ne pourra éviter de devenir votre reflet puisque vous n'êtes pas devenu le sien.

        "Nous ne sommes pas ce que nous faisons". L'autre, non plus.
        Un comportement est une adaptation possible à un contexte. Ce n'est pas la seule alternative. 
         Augmentez votre résistance et le chauffage aura pour effet de faire disjoncter le système, pas de vous griller.
   
       La PNL est bien un outil aux multiples usages. 

       Françoise-L.  A-M
 

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30 octobre 2008 4 30 /10 /octobre /2008 14:27
    L'Analyse transactionnelle est une discipline du domaine de la psychologie appliquée, qui évoque que notre personnalité et nos comportements sont la résultante des 3 composantes suivantes de notre identité :
Le Parent, L'Adulte et l'Enfant.

Le Parent : Se construit à partir de nos expériences, notre savoir, notre culture, il établit nos repères, nos valeurs, notre sens de la bienveillance et de l'autorité.

L'Adulte : C'est notre capacité à adopter une attitude objective, neutre, raisonnée.  Cette caractéristique  intervient quand nous évaluons une situation et assumons la responsabilité de mettre en oeuvre la décision que nous estimons la meilleure.

L'Enfant : Représente nos facultés d'imagination, de créativité, de spontanéité

   le portrait serait idyllique si nous savions évoluer, au gré des situations, en faisant appel à la facette la mieux adaptée de notre individu. 
   En fait, non seulement ce n'est pas systématiquement le cas mais
encore les 3 paramètres ci-dessus peuvent, en quelque sorte, dysfonctionner
On observe alors les effets suivants :

     -"Parent critique" : l'autorité (parent normatif) vire à l'autoritarisme avec ses effets inhibiteurs et répressifs : tendances à juger, à critiquer, à menacer...

     -"Parent sauveur": la bienveillance (parent nourricier) devient excessive et on remarque une tendance à la surprotection, étouffement..

      -"Enfant soumis"  quand notre mode "enfant libre", sensible et sensitif, est soumis à une autorité qui brime, au lieu de réguler, ses manifestations excessives, il peut choisir l'obéissance systématique et, à la limite, l'effacement. 
Dans ce cas, le respect de règles préétablies sans reflexion critique, le rend influençable et peu autonome.

      -"Enfant rebelle", à l'opposé du mode "enfant soumis", s'avère souvent une attitude réactionnelle à la précédente. Après avoir adhéré à tout, par principe il conteste tout. Ce comportement est souvent dominant en période d'adolescence. 

       - Niveau "adulte", l'excès se révèle par la difficulté à lâcher prise, à exprimer ses émotions et à s'amuser.

      Nous savons que la même personne peut osciller d'un mode à un autre, en fonction de la situation où elle est amenée à intervenir et que ceci est vrai, lors d'un échange, pour l'ensemble des interlocuteurs concernés.
      Si nous sommes l'un des partenaires impliqués dans un entretien, quand nous nous exprimerons, 
"nous aurons la responsabilité de nous faire comprendre".

     
Pour communiquer avec l'autre dans son état "adulte", nous présenterons une argumentation détaillée et cohérente. Pour ne pas heurter "le parent", nous veillerons à ce que nos propos soient situés dans ses repères. Enfin, pour être entendu de l'enfant nous veillerons à ce que nos paroles soient teintées d'humour et sachent faire apparaitre les limites au-delà desquelles la contradiction trouverait sa place.

         J'espère que cet article aura su utiliser les ingrédients nécessaires à notre échange.
         Il est plus facile d'en écrire la recette que de préparer le repas

     Bon appétit et à bientôt    
      Françoise-L.   A-M   
   
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28 octobre 2008 2 28 /10 /octobre /2008 14:45
La tradition toltèque est millénaire et amérindienne. On situe son origine au niveau d'une des civilisations préhispaniques résidant sur le territoire appelé, de nos jours,  Mexique.

Don Miguel RUIZ a écrit plusieurs ouvrages relatifs aux enseignements transmis par cette philosophie, ou théologie, suivant les croyances de chacun.
Le plus célèbre étant : Les 4 accords Toltèques dont l'expression résumée suit (en bleu) :

1) Que votre parole soit impeccable
    
 Parlez avec intégrité, ne dites que ce que vous pensez.
     N'utilisez pas la parole contre vous-même, ni pour médire sur autrui.
     
Il n'est pas recommandé de dire TOUT ce que l'on pense mais uniquement de ne pas dire ce que l'on ne pense pas ce qui permet, sans doute, à la recommandation complémentaire de ne pas être contradictoire.

2) Ne réagissez à rien de façon personnelle
    Ce que les autres disent et font n'est qu'une projection de leur propre réalité, de leur rêve. 
    Lorsque vous êtes immunisé contre cela, vous n'êtes plus victime de souffrances inutiles.
         
 La façon dont les autres vous perçoivent leur appartient. Ce qui demeure essentiel c'est la façon dont vous-même vous percevez. Vous êtes la personne la mieux placée pour apprécier vos intentions.
         Si une personne n'a ni les paroles ni le comportement que vous auriez espéré, accordez-lui le droit d'être différente ou moins performante que ce que vous le pensiez. Votre déception résulte de votre propre erreur  d'estimation. Que votre tristesse (vis à vis de vous) devienne compassion (vis à vis d'elle). 
    

3) Ne faites aucune supposition
     Ayez le courage de poser des questions et d'exprimer vos vrais désirs. 
    Ne pensez pas, à la place de l'autre, sa réponse et acceptez que, si vous avez la liberté de l'interroger, il a celle de vous répondre ou non, ou même d'accepter de vous écouter ou non. 
    
Communiquez clairement avec les autres pour éviter tristesse, malentendus et drames.
     Vérifiez que ce que vous avez voulu communiquer est bien ce qui a été entendu, surtout si vous observez une réaction émotionnelle qui vous surprend 
 
     A lui seul cet accord peut transformer votre vie.

 
3) Faites toujours de votre mieux
      
Votre "mieux" change d'instants en instants, quelles que soient les circonstances, faites simplement de votre mieux et vous éviterez de vous juger, de vous culpabiliser et d'avoir des regrêts. 
      Soyez humble et acceptez que "votre mieux" ne soit jamais la perfection absolue mais, au plus, une perfection relative en fonction de vos compétences du moment, des moyens (durée, espace, finances...) dont vous disposez et de la conjoncture. 

En fait, les Toltèques, enseignent la maîtrise de leur vie par
 -  La maîtrise de l'Attention (être présent, conscient, en quête de vérité)
 -  La maîtrise de la transformation (actualiser - donc corriger - ses croyances, pardonner)
 -  La maîtrise de l'Intention, de la Foi, de la Volonté, de l'Amour dont l'Amour de soi
        
Don Miguel RUIZ écrit : "L'Amour de Soi commence par le respect de Soi" 
         J'aurais plutôt tendance à écrire que "l'Amour est indissociable du respect qui est ,quant à lui, indissociable de toute forme de relation et de communication. Il en est de même pour la bienveillance."

         Je remarque que ces recommandations se retrouvent, en grande partie, dans la technique de communication appelée P.N.L. qui est qualifiée de découverte contemporaine.
         
    "j'ai voulu faire du nouveau et j'ai fait comme les autres"   j'ai oublié le nom du peintre qui a écrit cette phrase.
                 
      Françoise-L  A-M            

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26 octobre 2008 7 26 /10 /octobre /2008 07:37
              Voici une histoire vraie afin que ceci vous rassure de cela :

Pauvre Pommier

Dans un jardin potager, il n'y a pas d'arbre fruitier
Pourtant,  un jour , j'ai rencontré
En cet endroit là, un pommier :
                           Que fais-tu, te caches-tu?
                           Raconte-nous tout ça, veux-tu ?


Dans ce jardin potager, je suis venu me réfugier
Nul ne saura m'y reprocher
D'avoir incité au péché:
                           Que dis-tu, pourquoi crois-tu?
                           Que la mémoire, ici, s'est tue ?

Dans les jardins potagers, le labeur, seul, peut s'exprimer  
Les historiettes du passé
Par là, tous les ont oubliées.
                           Penses-tu que la vertu, 
                           Dans le travail, est superflue ?

Laisse moi donc m'isoler. Poète tu m'as dérangé
Surtout ne sois pas désolé
Je ne suis qu'un pauvre pommier . 

                            Mon ami, je t'en supplie, 
                            Cesse de vouloir expier
                            Car c'est la Vie qui t'a choisi 
                            Pour écraser la vanité
                            
                            Mon ami, c'est bien ton fruit 
                            Qui a cassé l'Eternité
                            Mais a jailli, dans ses débris,
                            L'Etincelante Egalité

    Françoise-L. A-M
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21 octobre 2008 2 21 /10 /octobre /2008 08:20
Dimanche,
Quand je vous ai proposé de partager "L'Eveil de l'Ame" , en écrivant les dernières lignes je n'ai pas pu m'empécher de penser que l'âme libérée représentait aussi le grand départ ou grand retour aux sources de la Vie.
Et je me suis alors posé la question, à laquelle je n'attendais pas de réponse : l'Ame de qui ?

Lundi,  j'ai compris.
Bon voyage, soeur Emmanuelle !
Sois heureuse et que ton Bonheur se déverse sur tes frères et soeurs humains,
telle une pluie bienfaisante qui rendra fertiles tous les coeurs, qu'ils soient exposés en plein air, sans abri, ou
enfermés dans des murs virtuels ou réels dont tu trouveras bien les failles.

     Françoise -L.  A-M
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20 octobre 2008 1 20 /10 /octobre /2008 11:50
D'après SCHOPENHAUER, " toute grande vérité passe par 3 phases :
Elle est d'abord ridiculisée, puis violemment combattue, avant d'être acceptée comme une évidence."

Ceci explique que le créateur ait d'abord à affronter les railleries de ses interlocuteurs, puis à protéger et défendre son argumentation et, enfin, à demeurer confiant, et si possible vivant , jusqu'à ce que la reconnaissance de la valeur de son oeuvre soit universellement admise.

Peu d'artistes ont su franchir ces 3 caps.
Quelques chercheurs y sont déjà arrivés et, comme dans les autres domaines, le phénomène s'accélère.

Quel est donc le comportement du créateur qui arrive à relever ce défi et à réussir ?
D'abord, il est curieux : On ne peut découvrir que si l'on cherche.
Ensuite, il est audacieux : Il ose ouvrir des portes en ne sachant pas ce qu'il trouvera dans les lieux que l'on tenait peut-être fermés par mesure de prudence, éventuellement de tranquillité.
Simultanément, il est persévérant et n'acceptera de remettre en cause son avancée - souvent solitaire - que lorsqu'il aura des preuves tangibles qu'il se trouve sur une voie sans issue mais aussi sans traverse. 
Enfin, il choisira la Confiance
  - En lui-même (et arrachera les doutes plantés dans son camp, comme des mauvaises herbes, ou - suivant l'exemple de la parabole (s'il la connait)- ne sélectionnera le blé qu'au moment de la moisson pour ne pas nuire à ses conditions de croissance.
En la Vie, son partenaire, qui a en charge les apports, parfois paradoxaux, de la conjoncture

Il est évident que les premiers pas sont les plus difficiles (Souviens- t'en... ) 
Un découvreur "débutant" devra affronter les 3 phases du trajet, au maximum de leur résistance, car une fois sa première "création" acceptée, même s'il n'est pas rapidement entendu (au sens de compréhension), il sera au moins écouté.  

Les ressources d'aujourd'hui paraissent parfois insuffisantes pour la satiété de notre monde contemporain.
Mon avis est qu'il s'agit plus d'un problème de répartition que d'un problème d'ordre quantitatif.
Cependant, j'ai tout autant la certitude qu'il nous faudra découvrir de nouveaux moyens pour les besoins des générations à venir, notre univers étant en expansion, ne serait-ce que sur le plan démographique.

On ne peut découvrir que ce qui est couvert !  Si c'est couvert c'est que cela existe déjà !
Sous quelle forme ? où ? Comment s'en servir ? 
Notre partenaire "la Vie" connait les réponses et les délivrera au moment opportun à ceux qui seront venus les chercher et auront les capacités, physiques, intellectuelles et psychologiques, de les révéler.
Pourquoi ceux? Ce pluriel peut vous apparaitre singulier. En fait c'est un pluriel paradoxal ou effet "egrégore". - voir articles précédents à ce sujet -
C'est quand l'effectif des chercheurs isolés atteint un certain seuil que l'égrégore, généré par le collectif dubitatif et moqueur qui bloque la situation en phase 1, peut être repoussé.
La conjoncture estime alors que le moment est arrivé tandis que tous les "trouveurs" ont le sentiment d'inventer simultanément ce qu'ils ne font que découvrir .

                      Françoise - L  A-M
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19 octobre 2008 7 19 /10 /octobre /2008 07:36
    Je vous propose ce conte que j'ai créé pour résumer le mythe d'EROS (Dieu Amour) et de Psyché (Ame) dont l'emblème est le papillon
    En fait, quand j'ai écrit ce texte c'était simplement pour répondre aux exigences du thème d'un atelier d'écriture, afin de surprendre notre  "moniteur" qui avait choisi " en tenant la chandelle"  et dont l'intention me paraissait , en cette circonstance,  aux antipodes d'une réflexion théosophique.
   Aujourd'hui  je pense que cette histoire représente assez bien le parcours d'une Ame jeune et insouciante qui, par Amour, accepte de Deviner, et c'est alors qu'elle Apprend.
           Je vous invite à la partager.   La Poésie est un enseignement bien étrange.

C'est une femme d'une étrange beauté
Encore enfant, déjà grande prétresse
Quand elle marche elle parait voler
Mais son regard est rempli de tristesse
Jusqu'à la nuit tombée
      Quand elle ôte ses voiles
      S'éteignent les étoiles
      Car son amant, son Dieu, l'a décidé
      Est-ce par désespoir
      Qu'il repart dans le noir
      Résistera-t-il longtemps à ce chant
      Qui émeut les passants
                                                           EROS, pourquoi
                                                           Ne veux-tu pas que je te voie
                                                           EROS c'est toi
                                                           Mon grand amour, quel que tu sois

Elle aimerait si fort se souvenir
De ce matin où dans les fleurs sauvages
Elle s'était allongée pour dormir
Tel un trésor gardé par les nuages
Qui la voyaient sourire
      Dans son rêve une escorte
      La soulève et l'emporte
      Aux ordres d'EROS, Maitre de Palais
      L'amoureux surprenant
      Murmurait gentiment
      Psyché tu vas t'éveiller dans mes bras
      Ne me regarde pas 
                                        
                   EROS, pourquoi
                                                           Ne veux-tu pas que je te voie
                                                           EROS c'est toi
                                                           Mon grand amour, quel que tu sois

Influencée par ses soeurs qui l'appellent
Et la supplient de voir cette entité
Elle a pensé qu'une pauvre chandelle
Pourrait mieux que son corps la renseigner
EROS s'est réveillé
     Pourrait on sans souffrance
     Apprendre? Est-ce un non sens
     Même un Dieu n'a pu le lui éviter
     EROS l'aime et soupire
     Mais Zeus vient pour lui dire
     Qu'il doit d'abord laisser agir le temps
     Leur meilleur enseignant
                                                          EROS, pourquoi
                                                           Ne veux-tu pas que je te voie
                                                           EROS c'est toi
                                                           Mon grand amour, quel que tu sois

Douleurs, langueurs et missions impossibles
Déserts, enfers, elle a tout affronté
Elle implorait, il restait invisible
Comprendrait-elle enfin qu'il demeurait
Fidèle à ses côtés
       Par l'ultime blessure
       S'est déchirée l'armure
       Qui l'enfermait pour mieux la protéger
       Puis son carcan brisé
       S'étant évaporé
       EROS l'embrasse, elle sait DEVINER

       En Déesse elle est changée


             Françoise-L   A-M 

Note de l'auteur : L'Amour ne peut demeurer en dehors de la Confiance
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