Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
15 octobre 2008 3 15 /10 /octobre /2008 11:28

      Sur l'article "je ricoche", j'avais, suivant la règle expliquée par Marc, proposé un extrait de texte découvert à la 5ème ligne de la page 123 d'un ouvrage.
     Avant de trouver une 5ème ligne à ma convenance, j'avais feuilleté 4 ou 5 pages 123 de ma bibliothèque mais, mis à part le 1er extrait qui se tenait si ce n'est qu'il était peu de circonstances,  les autres passages, hors leur contexte,  manquaient de cohérence.
Aujourd'hui je ne peux résister au plaisir de vous parler du 1er extrait :
J'avais choisi pour ouvrage : l'Evangile
Et page 123 de mon volume, 5ème ligne : c'était la parabole des petits pains et des poissons en quantité totalement insuffisante pour nourrir la foule.
Jésus les a multipliés, comme la plupart d'entre vous l'ont lu, et chacun a pu être rassasié.

Cette leçon symbolique je ne l'ai comprise qu'à travers les textes auxquels je me suis interessée suite à la crise financière.  "Le Saint Esprit ne souffle pas systématiquement dans les tuyeaux qu'on lui présente" avait dit un prêtre de mes connaissances. Je me suis souvenue de sa remarque.

  L'Etat, notre Nous collectif, peut multiplier les ressources nécessaires pour assouvir notre faim légitime.
  Ne lui en demandons pas plus, mais exigeons cela. 
  Des boulimiques se sont gavés pendant que certains devaient se rassasier de leurs miettes.
  La crise c'est encore ces boulimiques qui nous menacent en affirmant: "Si nous ne nous gavons plus vous n'aurez même plus nos miettes et Votre faim sera le début de Notre fin (à tous).

  Nous ne voulons pas d'une redistribution à l'ancienne, mais à l'antique.
  Puisque c'est l'instant T de la redistribution, que les ex-boulimiques soient accompagnés pendant leur traitement mais que les petits pains et les poissons soient offerts à la foule entière.

  Ce sera imparfait, il n'y a qu'UN Jésus. Mais on sera sur la bonne voie.

 Voilà. Je n'ai pas d'autres pages 123 ligne 5 à commenter. 
  
         F-L  A-M

Partager cet article
Repost0
11 octobre 2008 6 11 /10 /octobre /2008 10:10
Chers amis,

C'est le moment de sortir de vos piscine, l'océan vous attend.
Ce n'est plus le temps des jeux olympiques mais celui des manoeuvres politiques.
Ils se préparent a faire la planche...
à billets.
Vu la quantité qui va être créée, et vu qu'ils souhaitent un "étalon" nouveau, et non plus le vieux canasson "or" retenu pour BRETTON-WOODS, à mon avis, ils risquent de choisir la mer. 
Vous imaginez, dans ces conditions, les effets de la moindre fausse note. Il faut veiller, si ce n'est au blé, du moins au son.
En effet, puisque le monde entier est endetté qui pourrait prêter à qui ? 
Alors, voyez-vous, moi je ne suis pas contre le fait de créer de la monnaie pour que les endettés remboursent leurs dettes, les ex-prêteurs encaisseraient leurs créances et retrouveraient ainsi leur bonne santé économique.
Ayant retenu la leçon,  ce qui serait la moindre des choses, vu le prix,  les gestionnaires du futur seraient choisis en fonction de leurs compétences plus que de leurs appétences.
Il ne resterait plus qu'à  instaurer, parmi les facteurs-clés de succès de l'entreprise, les valeurs spirituelles dont je vous ai déjà parlé et dont je vous parlerai encore.
Ainsi, nous pourrions brasser et embrasser joyeusement, à nouveau.
Mais ne vendons pas la charrue en gardant les boeufs!
Surveillons attentivement nos vilainsplanchistes qui pourraient bien avoir tendance à créer des réserves du genre : 1 pour tous, 3 pour moi. 
C'est pour cela que je vous invite à sortir de vos piscines et, puisque vous n'avez plus que le maillot sur la peau, à vous jeter dans l'océan et non dans la mare de TOUTSA.

Si vous avez souri, vous êtes sur la bonne voie mais ce n'est pas une raison pour y camper.
A vos bouées, prêts, plongez!

Amitié

         Françoise-L   A-M 
Partager cet article
Repost0
8 octobre 2008 3 08 /10 /octobre /2008 10:25

Je vais vous raconter 2 histoires.

Si je n'ai su vous convaincre, vous pourrez toujours vous rendre sur mon blog "controledegestion", en lien, pour trouver un développement plus mathématique (tout demeurant très relatif).

1ère histoire :
   Une personne, qui vous est chère, est malade, un truc sournois qui ne se voit pas vraiment de l'extérieur.  Comme  sa valeur fondamentale est son look, elle refuse un traitement, dont les premiers effets affecteraient  celui-ci,  mais qui pourrait la soigner, la guérir, et lui permettrait même d'obtenir ensuite, aussi, l'apparence qui lui est si chère.
   Un jour, parce que la dégradation de son état  influence son teint, elle décide de se  soigner.
   N'auriez vous pas tendance à dire : Enfin !
   Enfin une chance (même si ce n'est une certitude) pour qu'elle retrouve la santé.

2ème histoire :
   C'est une mère de famille qui tient très propre son appartement à un détail près : Après avoir balayé le sol, elle met la poussière sous le tapis (sur lequel elle passe l'aspirateur régulièrement).
   Evidemment, les microbes se développent sous le tapis et la santé des habitants se détèriore car, tout le monde sait bien que les microbes sont assez petits pour passer à travers les mailles du meilleur tapis qui soit.
   Les habitants incriminent leur nourriture, puis leur manque de sportivité. Ils réagissent et leurs efforts augmentant leur résistance, les microbes augmentent leur artillerie.
   les habitants prennent alors des médicaments mais les microbes s'en vaccinent et l'aggression se poursuit.
   Jusqu'à ce que le tapis commence à s'effilocher, l'attaque apparaissant en surface.
   Alors, la cause de tous ces désagréments se révèle avec évidence. La solution aussi.
   Enfin!
   Et tout le monde se portant bien, chacun se met à travailler avec enthousiasme et gagne plein de sous ce qui permet d'acheter un beau tapis, nettement mieux que le précédent et de ne plus renouveller l'erreur de jadis.

   Cher Marc, ce n'est pas de l'optimisme, c'est de la lucidité.

   Si les 2 "enfins" de mes histoires vous paraissent justifiés, celui du titre vous le paraitra aussi.
    Amicalement

   A bientôt
   Françoise-Louise A-M
  
 

Partager cet article
Repost0
6 octobre 2008 1 06 /10 /octobre /2008 11:08

     Etre entendu, au sens d'écouté et de compris, nécessite d'abord de se rendre sur le lieu où se trouvent les correspondants auxquels on veut s'adresser et, ensuite, de s'exprimer en un langage qui leur est familier, ou, du moins, accessible.
     Les barrières du vocabulaire ne sont pas les plus infranchissables. Avec un bon outil de traduction !!! Et il y en a.
     Celles du mental sont  subtiles, parfois invisibles, mais encore plus incontournables. Heureusement, en cherchant bien, on trouve toujours une entrée. En cherchant quoi ? Le mot de passe.  
Lettres ? Chiffres ? Parfois les deux, parfois juste un signe que l'intuition et les hasards (manifestations de notre partenaire "la Vie"), assistés de nos propres facultés de raisonnement, nous permettent d'interpréter. 

A titre d'exemple, je peux citer le prix d'un objet.
Pour un connaisseur, il n'aura aucune influence.
Mais je ne m'adresse pas à des connaisseurs de ce que je souhaite enseigner.
Prenons donc le cas des non-connaisseurs : Une minorité pourrait parier qu' il n'y a pas, obligatoirement, corrélation entre le tarif et la qualité et s'y intéresser.
Mais j'aimerais bien ne pas me limiter à une minorité et puis j'aimerais aussi qu'être écoutée ne soit pas l'effet d' un pari mais d' une manifestation de confiance.

    J'ai la conviction, et je l'ai déjà affirmée sur ce blog, que la spiritualité doit être une valeur fondamentale dans l'entreprise, entité nourricière de notre monde contemporain.
    L'actualité confirme que chaque jour aggrave l'urgence de la prise en compte de cette composante.

    Alors, chers amis, j'ai pris une grande décision : J'aborderai ce sujet sur un blog à l'attention des entrepreneurs, et encadreurs divers, d'aujourd'hui et de demain. La spiritualité laique y aura sa place au sein des autres facteurs-clés de succès car, comme l'évoquait mon dernier article, le courant n'a pas besoin d'être visible pour révéler ses effets.
    Nous n'évoluons pas dans le monde de l'absurde mais du paradoxal, n'en déplaise à EINSTEIN* aussi, et les valeurs spirituelles sont des courants de pensées dont les effets peuvent être tout à fait compatibles avec les objectifs économiques, qu'écris-je, même mieux, leur être favorables.
    C'est ce que je crois et ce que je souhaite prouver.

    Vous, que je rencontre du côté de ce blog, je vous y rejoindrai encore car je me ressource en mélangeant mes idées aux vôtres auxquelles elles s'accordent si bien.
Si vous voulez participer ou suivre mon expérience, je vous invite à voyager épisodiquement du côté de:
http://controledegestion.over-blog.com/

* "Si le départ n'est pas absurde, il n'y a pas d'espoir"  EINSTEIN
    Le point commun entre "absurde " et "paradoxal" c'est que, dans les deux cas, on est incapable de concevoir de relation de causes à effets au niveau d'un enchainement de faits.
   Simplement, si on retient le terme paradoxal, on considère que c'est parce qu'on n'a pas encore atteint le niveau de compétence qui nous le permettra et qui, parce que l'on croit à son existence, nous deviendra accessible.
   
   A très bientôt, ici, ou là, ou du côté de chez vous.
   Amicalement
   Françoise-Louise

Partager cet article
Repost0
27 septembre 2008 6 27 /09 /septembre /2008 17:49
Marc a été, dit-il,  tagué,
Ce fut vraisemblablement fulgurant.
Par ricochet, je me suis retrouvée sur l'image
Alors, puisque j'y suis, je dessine.
    Voici les ingrédients : Ouvrir un livre page 123, sauter le chiffre 4 et aboutir à la 5ème ligne.
     A partir de là, rédiger les 5 lignes qui suivent ... et partager l'instant.
     Les guillemets ne suffisent pas, il convient d'identifier le titre de l'ouvrage, le nom de l'auteur, l'édition ...
     Et puis, choisir 4 autres participants et leur proposer d'en faire tout autant.
Eh bien voici ma proposition :
 
  "Il (l'enfant) accepta que les prises électriques soient des objets qu'il doive contourner dans la trajectoire des jeux où, à quattre pattes, il arpentait l'espace. Mais l'interdit, pour être admis, n'en restait pas moins un lieu de fascination, puisqu'il détourna ses explorations sur les objets reliés à ce jeu interdit. Ses parents le laissèrent jouer avec le poste de radio dont il explora tout le fonctionnement.  
  Références : L'Ange et le fantôme, de Didier DUMAS, Editions de minuit, 1985 
                  Note de la bloggueuse
Nous qui sommes grands, nous avons gardé ce comportement mais nous ne sommes plus frustrés car nous avons compris que le courant ne nous intéresse que par ses effets. Que nous importe qu'il soit visible ou pas. L'important c'est qu'il soit. 

 A présent il me reste à désigner 4 bloggueurs 
 Marie-Anne (Didascalie- cercle littéraire d'étudiants) Thierry (La réussite au quotidien) Annette et Jacques ( La spiritualité au quotidien) et Adam qui m'a permis de vous rencontrer en m'accueillant dans la communauté du "monde spirituel " d'over-blog
Cette liste est conforme au règlement, en vertu des grands principes,  
En vertu des grands sentiments, que celui qui passe par ici, au-delà de sa sur-prise, puisqu'il est au courant, en profite pour aller fouiller dans les pages 123 de ses livres.
Amicalement  

     Françoise - Louise A-M
Partager cet article
Repost0
25 septembre 2008 4 25 /09 /septembre /2008 11:05

          Il suffit de le savoir et de réaliser que cette période, qui n'est qu'une étape, est un signe qui nous confirme que nous sommes sur le  chemin  de notre épanouissement personnel.
         Ce serait un peu comme un examen qui santionnerait une première formation, un niveau préalable acquis, et nous conduirait vers le parcours suivant.

         Parfois, nous avons l'impression d'avoir été précipité dans le désert, comme dans un puits, ou d'y être arrivé sans l'avoir désiré. C'est simplement parce qu'il est temps pour nous d'interrompre des rôles, auxquels nous aurions tendance à nous identifier, pour retrouver notre authenticité, seule compatible avec l'exercice de notre véritable mission.
         Dans les religions monothéïstes, le désert représente à la fois le lieu des tentations (même pour le Christ! C'est dire ! ) mais aussi celui des révélations. C'est également celui où est située l'arche dite d'Alliance.
         Il est vrai que pendant cette période on peut ressentir  du découragement, de l'incompréhension, de la solitude et même pire, ne plus croire en soi et en son implication dans le mystère de la vie.
        Ce n'est que l'expression de la tentation , du doute, dont le contraire est  confiance et amour.
        Alors choisissons de considérer que nous passons un moment en "retaite" pour laisser à notre partenaire la Vie le temps de préparer le terrain de notre futur.  Nous pourrons ainsi constater, après une pause réenergisante, que nous sommes dans les conditions nécessaires pour découvrir en nous ce qui s'y trouve  depuis toujours et dont, dans le désert, on ne peut trouver d'ersatz ou d'illusion plus facile d'accès, au dehors.
          Une fois prêts, le désert s'effacera de façon tout aussi soudaine que ce qu'il s'était imposé, pour nous permettre de poursuivre la mission qui est la nôtre et dont les signes révélateurs, pour l'humain(e) que nous sommes, sont les ressentis de joie que nous partageons avec les semblables qui nous rejoignent pour un instant, une heure, une vie ou une éternité.

          Vous traversez le désert?  Réjouissez-vous. Faîtes ce que vous n'auriez pas pu réaliser sous la pression sociale, et retenez que c'est bon signe et transitoire.

            Amicalement
            françoise A-M
          

Partager cet article
Repost0
15 septembre 2008 1 15 /09 /septembre /2008 15:48
Je n'ai pas écrit CE Pape.  J'ai écrit Le Pape. 

Lequel ?  Celui qui saura traduire le langage de Téminik et de son régiment, qui n'est jamais régi et ne ment pas (ou sans faire exprès), de Slammeurs des Cités. 

Benoit ?  Pourquoi pas?  Il parle déjà couramment le latin et tout plein d'autres langages.  Il pourrait appendre un jour le Téminikien qui  est assez proche du Marseillais mais en plus rapide.

J'ai évoqué, à ma manière, ce que m'apportent les prières.
Mais certains font la confusion "Prières" et "Religions"
Puis ils moissonnent à profusion dans les vignes de la colère.
Cher Téminik, le vin est bon 
Remplis ton verre de ma chanson

                  Plaidoyer Pour les Religions

           Cher TEMINIK
              C'que tu dis là
              C'est vach'ment bien je n'en dout(e) pas 
              Cher TEMINIK
              Ce s'rait très chouette
              D'êtr(e) généreux sans étiquette
              Cher TEMINIK
               Pour dans 100 ans 
               On peut l'rêver mais à présent
               On fait comment 
               Pour ceux qui ont mal
               Qui sont déjà dans l'infernal ?
                           Il est certain que l'abbé PIERRE
                           Seul, aurait pu s'rouler par-terre
                           Pleurer tout(e)s les larmes de son corps
                           Sans que ça n'modifie l'décor.                            
                           C'est vrai aussi
                           Qu'mère Thérésa
                           Dans les ghettos de CALCUTTA
                           Si elle n'avait porté le voile
                           N'aurait pu qu'trainer ses sandales.
                                                 Et des comme, ça t'en a légion
                                                 A qui ça sert les religions

               Cher TEMINIK
               Je sais qu'tu penses               
               Athé, sacré, quelle importance                            
               Cher TEMINIK
               T'es mon prochain
               Bible ou pas bible, je t'aime bien              
               Mais le clochard
               Si misérable
               Je n'lai jamais reçu à table
               Y a pas à dire
               Pour les paumés
               Nous les brav(es) gens on n'est pas prêts
                                                  Il faut que tu t'fasses une raison
                                                  Ils ont besoin des religions


               Cher TEMINIK
               Les  religieux          
               Ce s'rait comm(e) les flics du bon Dieu                         
               Certains oublient 
               La prévention
               Sont fanas des contraventions 
               D'autres ne pensent
               Qu'à enrôler
               Ils veulent du monde au défilé               
               Sans cet uniforme pourtant
               Ceux qui aim(ent) trop seraient déments
                                                  S'il leur faut vraiment une prison
                                                  C'est la plus douce, leur religion

               Cher TEMINIK
               Tout noir, tout blanc     
               Comme un pingouin sur l'océan
               T'as déjà su
               Eclater l'gris                                
               Qui est notr' couleur d'aujourd'hui
               Garde ton pas
               Reste en avant
               Nous te suivons mais doucement                
               Prier standard n'est pas une fuite
               Mais, en cas de fatigue, un gîte.
                                                                   
                                                  Pour qui n'a pas l'coeur marathon
                                                  C'est un peu d'souffle, sa religion

                                Françoise A-MARTIN
                                            
                                track-back artisanal : un clic sur http://lesamisdespoetes;over-blog.com/ 
                                Pour une autre vision.

                               Et, avis aux curieux : pour rencontrer TEMINIK chez lui, 
                                  RV sur http://www.teminik.com./
Partager cet article
Repost0
13 septembre 2008 6 13 /09 /septembre /2008 08:33
Où ?  Quand ?  Pourquoi ?

Réponses d'un clic sur 
http://lesamisdespoetes.over-blog.com/

"Dépêche-toi, dépêche-toi...."
Amicalement à toi, qui que tu sois

Françoise A-M

Partager cet article
Repost0
12 septembre 2008 5 12 /09 /septembre /2008 16:13

 Après avoir rangé dans leur tiroir, où ils attendront demain, les soucis de la journée écoulée... je prie comme d'autres rejoindraient des amis au café, juste pour le plaisir d'un instant partagé.
 Parfois, c'est une tasse de sérénité avant de m'endormir, d'autres fois c'est un bref encouragement au réveil.
 Ce n'est ni systématique ni un engagement.

 Par contre, quand une situation me parait bloquée ou évoluer de façon indésirable (de moi), si j'ai le sentiment que tout ce qui était à ma portée, je l'ai entrepris (j'ai OSE l'entreprendre) et que je n'ai plus d'autre ressource à mettre en oeuvre, je confie à mon partenaire, La Vie, la responsabilité des évènements à venir.

 Ma prière est alors une réunion de travail avec mon partenaire : 
  
"Je ne sais plus faire, je te laisse le gouvernail. .. et je te fais confiance.
   Je veux bien croire que l'état présent est celui qui convient le mieux à nos projets communs et à notre             épanouissement harmonieux, même si je ne comprends pas en quoi. 
  Je te laisse le soin de veiller à nos intérêts et de créer la conjoncture et les coïncidences qui, indirectement, provoqueront les effets désirés.
   J'abandonne mes inquiétudes stériles et je garde l'énergie que tu me communiques pour ce qui est de mon domaine d'intervention.
   On trinque? On trinque" : Jus de fruit, eau, pourquoi pas UNE bière ou UN verre de Vin.
   
   Vous ressentirez alors le réconfort résultant de votre initiative et ne créerez pas d'ancrage négatif qui vous retiendrait amarré(e) à votre tristesse, si ce n'est désespérance, du moment.

   Des exemples : Mon fils souhaite prendre telle initiative et je pense que c'est une erreur (ou pire, une bêtise).
                                 J'ai essayé de le lui démontrer, etc.  insuccès total.
                                 Ma prière =
Réunion de travail avec mon partenaire la Vie, qui est représentée par le Saint ou l'Ange gardien, mon interlocuteur habituel.  
                                  Effet immédiat : Je retrouve mon énergie et ma bonne humeur
                                  Effet différé : Je remarquerai surement que : soit la conjoncture l'obligera à modifier sa trajectoire, soit que les effets induits de l'initiative, dont je regrette les objectifs, sont des sources de joie qui compensent amplement les inconvénients redoutés

                                 Mon employeur choisit une stratégie que je pense inutilement risquée et improductive.
                                 J'ai eu le courage de lui communiquer mon opinion, il préfère maintenir ses décisions.
                                 Ma prière =
Réunion de travail avec mon partenaire la Vie, qui est représentée par le Saint ou l'Ange gardien, mon interlocuteur habituel.  
                                  Effet immédiat : Je retrouve mon énergie et mes motivations
                                  Effet différé : Soit la conjoncture lui donnera raison et je me réjouirai des fruits de sa décision pour la collectivité à laquelle j'appartiens, soit, ici encore, je constaterai un effet induit, imprévisible (de nous) qui répondra tout à fait  à mes attentes personnelles.

                                Mon état de santé m'oblige à modifier mon planning. 
                                Ma prière =
Réunion de travail avec mon partenaire la Vie, qui est représentée par le Saint ou l'Ange gardien, mon interlocuteur habituel.  
                                 Effet immédiat : Je retrouve mon énergie et mes espérances

                                 Effet différé : Je ne tarderai pas à observer les effets positifs résultant de cette situation que je n'aurais certainement pas choisie.   

   Ce n'est pas en compliquant les choses simples que l'on démontre son intelligence.

     A bientôt

    Françoise

 
                                    
Partager cet article
Repost0
9 septembre 2008 2 09 /09 /septembre /2008 10:52

Lors de la 1ère étape nous avons évoqué 3 projets qui servaient à la fois notre intérêt personnel et l’intérêt de tous ces autres que la Vie représente AUSSI.

       Ensuite, la  2ème étape nous a permis de choisir, parmi nos qualités, celles à utiliser pour atteindre les buts, désormais précisés. 

 Enfin la 3ème étape, qui se poursuit, est une étape de transition et de médiation. Elle nous engage dans des stratégies d’actions.
 
 

       La 4ème  étape  a pour finalité de réconcilier : Intuition et Raisonnement, Instant et Durée, Spontanéité et Patience, Principe de plaisir immédiat et Principe de Réalité, Actions programmées et Flexibilité aux imprévus et circonstances.

       En effet, « choisir la confiance » ne consiste pas à abandonner ses propres responsabilités mais, au contraire, à acquérir la certitude que sortir de l’inertie nous emmène sur le chemin au cours duquel nous recevrons les ressources nécessaires à la réussite de notre entreprise, à condition que nos objectifs  dépassent notre seul intérêt personnel tout en ne le méprisant pas.

      « Tu aimeras ton prochain comme toi-même » ni moins, ni plus.

      Ou encore : « Aie soif de justice ».

      Nous allons donc  poser les bases de notre liberté et de nos responsabilités :

- Notre Liberté, en vérifiant que les objectifs que nous avons définis correspondent effectivement à des désirs personnels authentiques.

- Notre Responsabilité en définissant les choix qui nous incombent et ceux qui reviennent à notre partenaire la Vie.

 

       Je partage la conviction des « existentialistes » quand ils expriment que, sans engagements personnels et sans les actions correspondantes, nous gaspillerions notre temps, celui qui nous a été donné (car nous ne nous sommes pas créés nous-mêmes), pour participer à la destinée de l’humanité. Toutefois, alors qu’ils pensent que l’être humain ne dispose que de ses propres moyens, j’affirme que nous avons un partenaire, «  la Vie », qui apportera, au moment opportun, les ressources nécessaires, dont nous ne disposons pas aujourd’hui, ainsi que la conjoncture favorable. 

       En effet, il n’est pas cohérent de considérer que l’homme, parce qu’il est libre de ses propres choix, est le seul responsable du sort de l’humanité, dans la mesure où l’univers n’est pas contraint à lui obéir. Par exemple, le meilleur des agriculteurs ne pourra qu’optimiser sa récolte dont le volume dépendra aussi du climat, paramètre sur lequel il n’est pas en mesure d’intervenir.

      Ce serait effectivement un partenariat absurde, donc voué à l’échec, celui qui attribuerait les devoirs à l’un, ici l’homme, et les droits à l’autre (le monde). 

A mon avis, ou bien il s’agit d’une provocation du genre : « Si tu veux que je croie en ta présence, montre-toi », ou bien, la peur de l’inconnu rend déraisonnable donc« déraisonneur ».

      La finalité de cette 4ème séance est de déterminer la contribution de chacun des partenaires à la réussite de notre parcours de Vie. 

 

Nous allons, pour ce faire, établir un programme qui prendra en considération nos exigences de « plaisirs immédiats », afin de conforter le bien-fondé de nos projets.

La Vie aura pour rôle de rendre conciliables nos désirs avec le respect des principes de réalité ce qui est une condition indispensable pour concrétiser nos réalisations, initialement imaginaires, parfois appelées « rêves ». 

Ensuite, nous nous engagerons en confiance, c’est à dire en refusant d’attendre d’être en mesure de tout contrôler personnellement, car cette fonction ne nous est pas confiée.

 

Par le raisonnement, nous allons définir 2 initiatives immédiates, qui nous procurent du plaisir, en fixant une durée minimum d’engagement. Nous ne préciserons pas de durée maximum afin de ne pas laisser au doute la place qui revient à la confiance.

Ceci nous permettra de constater qu’il n’y a pas d’incompatibilité à réagir spontanément, dans le cadre d’objectifs qui exigent patience et détermination, car l’action spontanée est une forme de pilotage pour adapter son allure au chemin qui mène à destination.

 

Nous reconnaîtrons la contribution de notre partenaire la Vie, sous forme d’évènements qualifiés d’imprévus (sous-entendu, par nous-mêmes) et dont la fonction est

     - soit de développer en nous des compétences nécessaires pour la suite

     - soit de nous guider vers des stratégies adaptées à une situation future qui se prépare et que nos limites nous empêchent de concevoir 

     - soit de nous repositionner sur la bonne trajectoire dont nous nous serions éloignés sans ce signal.

     Le constat du soutien pour lequel nous reconnaissons la responsabilité de notre allié,    implique qu’il nous revient, tout autant, de tenir nos propres engagements.

   

En effet notre alliance avec la Vie, à l’origine de notre existence même,  génère deux conséquences essentielles :

-   la Vie compte sur nous, et exigera que nous accomplissions notre mission définie dans un partenariat dont nous avons fixé conjointement les modalités.

-   nous serons invités à partager la joie inhérente à la réussite de nos projets, aux effets tout autant individuels que collectifs.                                                                           

 

Sur un plan pratique voici comment va se dérouler cette 4ème étape : Pour chaque projet, on déterminera  4 phases successives mais que nous ne pourrons définir qu’en suivant l’ordre indiqué ci-dessous :

1ère phase, 4ème phase, 2ème  phase et 3ème  phase.

 

1ère phase : Expression (et rédaction) de 3  Plaisirs déjà ressentis, par projet,  et qui confortent l’authenticité de nos aspirations.  Par exemples :

 

- Le projet d’être un auteur reconnu est bien le vôtre si vous ressentez  déjà du plaisir à écrire et à offrir à d’autres la lecture de vos essais.

Si tel n’est pas le cas, ce projet n’est pas le Vôtre, du moins, aujourd’hui. 

En fait vous l’avez retenu  pour, à votre avis, ressembler ou faire plaisir à un(e) autre.  Votre véritable Projet, plus ou moins inconscient, est que cette (ces) personne(s) vous manifeste(nt)  plus d’intérêt ou d’affection.

 

- Plus facile à concevoir : celui qui n’éprouve pas de plaisir à écouter de la musique formulera rarement  le projet de devenir un compositeur.  Si c’est, cependant, le cas, il sera opportun qu’il vérifie, d’après ses motivations  authentiques, la nature exacte de ses attentes et, éventuellement, redéfinisse son objectif fondamental.

Accepter de reconnaître ce que nous souhaitons vraiment, grâce à la notion de plaisir,  confirme que nous sommes libérés des influences et des croyances qui nous ont été enseignées avec sincérité, du genre hiérarchie des valeurs et des talents, mais qui ne sont pas les nôtres, intrinsèquement.

La notion de plaisir, dans le cadre de l’expression de notre alliance avec la vie, est le contraire de l’égoïsme ou de l’égocentrisme : sa finalité est de nous aider à reconnaître quels sont nos comportements les plus utiles à l’humanité.

      Il est normal que ce soient, aussi, ceux qui nous sont les plus agréables car la Vie, manager par excellence, ne concevrait pas de distribuer des rôles non adaptés aux acteurs.

      Par attribution, un jardinier aime s’occuper des plantations.

Les plaisirs individuels ou collectifs, nocifs pour la société, ne sont que des disfonctionnements, parfois pathologies, générés par manque(s) de confiance.

 

Vous pourrez en retrouver mon interprétation dans le 3ème chapitre des Prolégomènes de cet ouvrage.

 

A l’écoute de notre identité, nous vérifierons que nous sommes bien sur la piste de notre épanouissement personnel, seul compatible avec notre mission de vie qui est notre participation à une réussite collective.

 

4ème phase : Expression (et rédaction) de 3 à 5 Plaisirs futurs, par projet, une fois ceux-ci réussis. 

Lors de la 1ère étape nous avions déterminé des observations constituant des critères de l’aboutissement des projets.

A ce niveau nous nous plaçons sur un autre plan : Non plus sur celui de l’observation objective mais sur celui des ressentis subjectifs.

 

Pour reprendre un exemple qui m’est familier,  le projet de devenir un auteur reconnu :

Je peux prendre comme un des critères de réussite : mon activité d’auteur est suffisamment lucrative pour être aussi qualifiée de professionnelle.

Et je prendrai comme un des plaisirs imaginés : La joie de recevoir une rémunération conséquente comme preuve de ma communion effective avec mes lecteurs.

 

Quels auront été les plaisirs du chemin, menant de la phase 1 à la phase 4, de nos trois projets :

Les nôtres (ceci constituera la phase 2)

Ceux de notre partenaire la Vie (ceci constituera la phase 3)

 

La phase 1 sollicite surtout nos facultés d’observation.

Les autres phases sollicitent essentiellement notre imagination orientée et révélée. 

Pour discerner le But, il faut avancer, si ce n’est dans la lumière, du moins dans la clarté.

Le mystère nous est offert par l’inconnu qui caractérise les lendemains. Il est de la compétence de notre partenaire « La Vie », pas de la nôtre. 

 

 

2ème phase : Les Plaisirs de mon chemin :

       Ceci consiste à définir comment je reconnais la case « départ » et mon équipement pour la route, c’est à dire à  déterminer 2 engagements personnels opérationnels et générateurs de plaisirs.

Je continue sur mon exemple, qui correspondra peut-être aussi à un de tes projets :

 

Mon but : être un auteur reconnu :

 

            Voici 2 engagements personnels possibles :

- Avoir accès à l’outil (ordinateur) nécessaire à cette activité et je constaterai le plaisir de ce moyen, à ma disposition, dès le réveil.

- Programmer des créneaux horaires dédiés à cette activité « mission» ou même accepter d’interrompre ou de différer l’exécution de travaux nécessaires mais non prioritaires par rapport aux exigences de mon inspiration. 

Je reconnaîtrai ensuite avec plaisir que cette désorganisation ponctuelle faisait  bien partie d’une organisation générale car finalement l’ensemble obtenu me satisfait.

 

Un autre exemple : Mon but est de rencontrer l’âme sœur :

(Vous apprécierez, je l’espère, la diversité de mes exemples.)

            Voici 2 engagements personnels possibles :

 Avoir accès à un outil qui me procurera du plaisir en soi :

- J’aime danser : Aller danser soit dans une école soit dans un établissement soit dans les deux.

- J’aime marcher : M’inscrire à un club de marche et m’informer, avant, que celui-ci est fréquenté par des célibataires.   

       Petit clin d’œil à certains, célibataires hétéro pour les uns, célibataires homo pour d’autres. La caractéristique « hétéro » ne sera pas mentionnée mais comme celle « homo » le sera, vous serez fixés soit par information directe soit par information indirecte ou, par raisonnement récurrent (autrefois nommé : raisonnement par l’absurde), si votre vocabulaire favori s’inspire des mathématiques. 

Ayant déjà parcouru les 1ères étapes, vous saurez reconnaître ce qui correspond à vos goûts personnels et ceci vous permettra de trouver ces deux engagements sans difficulté.  

Si je vous suggère de vous limiter, en matière d’engagements, à 2 initiatives, c’est parce que vous devrez ensuite les tenir, au moins jusqu’à la 5ème étape.

Le feed-back ne pourra être réalisé avant et la remise en cause de vos décisions, tant que vos objectifs n’auront pas été atteints, devra être motivée par de contre-propositions et non par des réflexions stériles : Vous n’êtes pas seul dans votre démarche.

Votre partenaire et allié, la Vie,  compte sur votre participation effective et adaptera sa conduite en fonction de la vôtre : « Aide toi, le ciel t’aidera »

Toutefois, vous pouvez choisir tout plein d’actions hors engagements,  non pas à la place des premières mais en PLUS. Ces dernières, vous ne les poursuivrez que pendant une durée qui ne regarde que vous, elles sont « hors contrat ».

 

Je vous invite également à définir certains de vos plaisirs, qui paraissent  incompatibles avec vos projets. Ensuite, pour affirmer que vos choix sont affirmations et non renonciations, vous définirez comment, paradoxalement, vous les intègrerez dans votre quotidien aussi longtemps que vous le souhaiterez.

 

Par exemple : Etre un auteur reconnu : Je m’accorde d’écrire chaque jour quelques lignes à mon attention exclusive (journal-programme- citations…)

                       Rencontrer l’âme sœur : Je m’accorde de refuser une invitation parmi d’autres

                       Obtenir la silhouette qui me convient : Je m’accorde de manger 100grammes de spaghettis les mercredis et les samedis…ou 1 chocolat et demi 1 jour sur 2…

                        Arrêter de fumer : Je m’accorde de fumer une cigarette un quart d’heure après l’instant où j’en aurai éprouvé le besoin

                          En fait, votre partenaire la Vie  comprendra l’opportunité  de vous laisser vos « occasions » tant que vous n’aurez pas maitrisé l’utilisation des « nouveautés »

 

3ème phase : Mon partenaire la Vie : Les plaisirs de son chemin

       C’est sans doute la phase qui vous demandera le plus de réflexion-intuition.

       - La Vie a aussi ses attentes – relisez votre première étape pour vous les rappeler, si nécessaire. En quoi la réussite de votre projet participera-t-elle au service d’intérêts collectifs ?

      - Quels sont les outils qui ne seront jamais qu’à la portée de votre partenaire ? Quelques réponses : La conjoncture, les rencontres opportunes, les intuitions impératives qui vous font instinctivement préférer une action à une autre, des disfonctionnements généraux qui vous conduisent à des actions spécifiques :

Une panne d’électricité, par exemple : Vous allez croire à un disfonctionnement de votre téléviseur qui vous fera sortir sur le palier où se trouve, en cet instant, votre voisine préférée et célibataire. Vous n’auriez jamais osé l’aborder et voilà qu’elle vous supplie de la délivrer car elle est enfermée dans l’ascenseur… Pourquoi pas !

N’hésitez pas, toutes les hypothèses vous sont accessibles.  Evitez cependant trop de précisions car votre partenaire garde, comme vous, le choix de ses initiatives précises.

Alors, reprenons mes deux exemples afin de finaliser la présentation de cette étape :

 

Etre un auteur reconnu : Plaisir du Chemin pour mon partenaire la Vie :

N’écrivez pas : Elle met sur mon chemin un ami ou un parent qui dispose de l’outil dont j’ai besoin et qui me l’offre car celui-ci est devenu un objet encombrant pour lui-même. Toutefois y étant affectivement attaché il aimerait le savoir en des mains amies…

Mais écrivez simplement : L’outil dont j’ai besoin sera mis  à ma portée car la Vie me procurera les ressources  nécessaires pour me permettre son acquisition prochaine. (Augmentation zéro pour un cadeau, augmentation sensible pour un achat)

 

Rencontrer l’âme sœur : Plaisir du Chemin pour mon partenaire la Vie :

N’écrivez pas : Ma voiture ne veut pas démarrer, il pleut et je suis suffisamment en retard pour exprimer ma colère ce qui amuse  un inconnu qui me demande dans quelle direction je dois aller. Alors, il me propose de m’accompagner soit parce qu’il me trouve vraiment drôle et veut assister au spectacle intégral soit parce qu’il va dans la même direction soit parce qu’il fait semblant d’aller dans la même direction pour partager ma compagnie…

Mais écrivez simplement : La conjoncture choisie par la vie,  qui s’en amuse, me placera sur le chemin imprévisible  où je rencontrerai celui que j’attends et qui me reconnaîtra inévitablement.

Vous procédez ainsi pour vos 3 projets et vous obtenez pour chacun 1/3 de page – comme lors des étapes 1 et 2.

Pendant la semaine qui vous conduit à la 5ème étape, plus longtemps si cette dernière doit être différée, vous suivrez le mode d’emploi préconisé pour les 2 premières étapes afin que l’acquis correspondant à cette séance retrouve aussi son brin de place au sein de votre identité innée.

A savoir :

1er jour      lire au moins 3 fois EXCLUSIVEMENT la partie relative au 1er projet

2ème jour lire au moins 3 fois EXCLUSIVEMENT la partie relative au 2ème projet

3ème  jour  lire au moins 3 fois EXCLUSIVEMENT la partie relative au 3ème projet

Autres jours : lire au moins 2 fois l’ensemble qui couvre les 3 projets.

 

N’oubliez pas cependant de continuer, jusqu’à la 9ème étape si nécessaire, les travaux pratiques déterminés lors de la 3ème étape.

 

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de Françoise-Louise A - M
  • : Méthode ACC = Apprendre à Choisir la Confiance. Epanouissement personnel et des collectivités où nous intervenons (familiales, sociales, professionnelles)
  • Contact

Profil

  • Psychologie et Communication
  • Me Praticien en PNL. Parce que le défaut de communication est à l'origine de la plupart des conflits, y compris avec soi-même, J'ai conçu la méthode ACC = Apprendre à Choisir la Confiance

Texte Libre

Recherche