Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
20 juin 2008 5 20 /06 /juin /2008 10:06
         Telle est la condition pour que se perpétue, non seulement l'Entreprise, mais encore  notre civilisation.       
         Aujourd'hui, très peu d'entrepreneurs en sont conscients et les seules formes de spiritualité, que l'on peut trouver, sont de nature essentiellement religieuses, quand ce n'est extrémistes, et confortent un système hiérachisé archaïque.
         Persévérer sur cette lancée créerait, pour la génération future, des équipes où on ne distinguerait, à terme - moins d'un "petit siècle" -  que 2 types de situations :
- Bergers et Moutons (de plus en plus de Panurge)
- Dompteurs et Fauves se transformant peu à peu en Toréadors et Taureaux.
L'entreprise se présentant alors soit comme une "vaste et morne plaine" soit comme une arène... avant de disparaître, faute de participants.

         Actuellement, l'individualisme caractérise de plus en plus les populations de notre ère, celles que la misère ne relie plus.  S' est installée la culture du "chacun pour soi". 
         Paradoxe, c'est le goût d'exercer un pouvoir, qui demeure la motivation essentielle de l'ersatz de "solidarité" entre les commandants et les commandés, les électeurs et les élus, aussi bien sur le plan politique qu'au niveau des relations dans l'entreprise.
         Or, ce critère ne peut perdurer car il n'est plus soutenu par les cellules familiales qui en étaient les modèles, par excellence. L'autorité, induite exclusivement par le positionnement de l'individu au sein du groupe, ne marche plus.
         Les parents affaiblis par le chomage, leurs conditions de vie professionnelle, ou leurs désaccords affichés, n'offrent plus l'exemple d'une corrélation entre "effort et réconfort", entre "qualité et récompense", entre "respect et respectable".
        On n'apprend plus la prudence, la persévérance et la patience.
        Les guerres, que l'on ne regrette pas, étaient une incitation à stocker et à ne pas consommer immédiatement tout ce dont on disposait.
        Dans notre société contemporaine, on achète dès l'apparition du désir et on utilise simultanément (même si on ne dispose des moyens qu'après) ou on renonce. Rares sont les projets planifiés car nous avons perdu la faculté d'imaginer, avec joie, la perspective de réalisations différées.
        La myopie est notre nouvelle vision intellectuelle.

        Aujourd'hui, il est grand temps de réaliser que nous devons modifier nos comportements  pour éviter l"implosion". 
        Les vieilles recettes ( Naissance, connaissances, argent) ne suffisent plus.  
        Les facultés d'imagination, d'intuition, de communication, doivent nous permettre de trouver, dans des joies immatérielles, les motivations pour entreprendre des actions solidaires.
        La Spiritualité laïque, ce qui ne signifie pas seulement athée ou agnostique mais compatible avec tous les idéaux, favorisera l'expression des talents individuels. Ceux-ci, par leur organisation concertée, serviront simultanément l'épanouissement de chacun et la cohésion harmonieuse de la collectivité.
        Comment?  Tel sera le sujet du prochain article et, d'ores et déjà, si vous le souhaitez, de vos commentaires.

  A bientôt

  Françoise  

 
Partager cet article
Repost0
16 juin 2008 1 16 /06 /juin /2008 12:48
         Nous ne pouvons choisir la spiritualité pour fuir la réalité. Au contraire.
       Je vous invite à retrouver, sur le blog des Amis des Poètes, l'article que j'ai reporté et qui vous convaincra de relayer cette action, de la déployer, de participer à la sauvegarde des générations futures et cela, pas seulement parce que nombreux sont ceux qui ont la conviction qu'ils en seront AUSSI et que leurs enfants en sont DEJA, mais parce que notre démarche est incompatible avec une indifférence provisoirement confortable.

Je ne sais pas faire l'opération dite trackback alors je procède en artisanal.

RVs sur
http://lesamisdespoetes.over-blog.com/

       Amitié

       Françoise
Partager cet article
Repost0
13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 10:43
        Punitions, pénitences, peuvent apaiser l'esprit de ceux qui ont été blessés, les aider à pardonner, mais la raison d'être essentielle de ces mesures est de permettre aux coupables de sortir de l'impasse "remords" afin d'intégrer le champ des regrets qui, lui, peut être constructif.
       J'ai souvent observé une confusion entre "vengeance" et "punition".
       En particulier, au niveau de l'éducation des enfants, par ceux qui prônent que plutôt que de punir, il faudrait expliquer. Comme si l'alternative était obligatoire.
       Expliquer n'exclue pas punir. D'ailleurs, parfois, l'enfant a très bien compris qu'il faisait une bêtise et son action a pu être la résultante de son choix.
       D'autres fois, et cette excuse perdure, le fautif affirme : "Je ne l'ai pas fait exprès". 
       Je lui réponds: Heureusement! Si non ce serait une manifestation pathologique.
       Alors, dans un contexte social où l'indulgence a parfois tendance à s'érriger en qualité de l'indulgent, en sa capacité à garder son sang froid, à pardonner, je souhaite exprimer que l'indulgence est aussi une solution de facilité.
       Parfois, je reconnais que j'ai du mal à en adopter une autre. Le désagrément que je lui impose, en punissant l'enfant, je le subis également. Mais dois-je sacrifier ses droits à mon confort ?
       Ses droits? Oui. Ses droits à recevoir une punition qui lui permet 
       - d'évaluer le malaise ou traumatisme généré par son initiative
       - de créer une corrélation entre l'intérêt personnel et l'intérêt collectif 
       - de créer un ancrage d'expérience
       - de se pardonner lui-même en accomplissant sa punition.
       Et, effet induit, d'être fier de lui quand il a accompli une action qui lui pesait mais qu'il estimait être son devoir (dont ses devoirs).

       Punition ou Correction ?  Aussi souvent que possible, faire en sorte que la première ait pour effet la seconde et, si possible, un peu plus.
       Exemple simple: Tu as renversé la bouteille: D'abord tu essuies, ensuite tu remplis la bouteille à nouveau ( si c'est possible) , ensuite tu fixes le souvenir soit par 3 minutes de silence soit en lisant un petit texte pour apprendre à centraliser ton attention (si la faute venait de ta dispersion) etc.
       
        Et qu'en est-il des fautes des adultes, qu'elles soient dîtes volontaires ou dîtes involontaires même si les effets en sont très graves.
       Leur droit à la punition n'en n'est que plus fondamental.
       L'impunité fausse leur participation au sein du partenariat social.
       S'en excluant, ils se sentent alors exemptés de respecter les attentes légitimes de l'Autre car, de toutes façons, par le premier pas qu'ils ont fait en dehors ils ne seront plus jamais "comme avant". Ils ont perdu leur place à jamais.

       La punition doit leur permettre de retrouver une place. Une nouvelle place, sans doute, mais une place quand même.
       La souffrance de leur parcours, en dehors des normes, leur donnant une valeur d'expérience, un ancrage de référence, une caractéristique acquise.
       Pour eux, réparer c'est :
         -leur permettre d'aider ceux qui se sont égarés, comme ils l'avaient fait eux-même, à chercher (et trouver) la sortie de leur labyrinthe.  Ils sont le témoignage que c'est possible.
         -ou bien de conforter dans leur démarche ceux qui sont en difficultés afin qu'ils osent choisir une voie, peut-être fatigante, mais qui leur procurera des satisfactions.  Le contraire d'une stratégie de renoncement qui conduit, dans le meilleur des cas,  à s'installer dans un régime de croisière, sans joie.

       Le pardon n'est pas la résultante de la punition. La punition n'est pas nécessaire au pardon ... par l'autre.  Elle me semble toutefois un préalable au pardon de soi ... par soi.

       Alors, si vous avez le sentiment d'être un coupable impuni, choisissez-vous une punition à votre portée, réparatrice, si possible, d'une manière ou d'une autre, et accomplissez la.
       La joie éprouvée vous permettra de reconnaitre que votre choix était judicieux.

       Ensuite, vous pouvez perséverer mais SURTOUT pas en tant que COMPLEMENT de punition.  Si la tâche que vous avez entreprise vous apporte du Bonheur, soyez conscient que ce n'est que pour cela que vous perséverez. Ne trouvez pas d'excuse à votre plaisir de reconnaître en chacun un partenaire et non plus un ennemi ou, au mieux, un concurrent.
       
      Car notre mission de Vie correspond à nos goûts et à nos compétences. 
      La Vie est un excellent employeur. Elle ne nous  confie que ce qu'elle sait que nous accomplirons bien, ce qui nous plait.
      Mais ceci est un autre sujet... Le prochain, peut-être.
Partager cet article
Repost0
2 juin 2008 1 02 /06 /juin /2008 11:32
   Surtout n'allez pas confondre "victime" et "martyr(e)"
   Ne confondez pas plus "victime" et "aggressé(e)"
   Après avoir entendu cette phrase, j'ai courru jusqu'à mon Enorme dictionnaire en 3 volumissimes et j'ai lu la définition de "Victime" : Personne qui s'offre, qui se dévoue.
Le mot sacrifice signifie simplement le don de sa vie pour ce qu'elle estime plus important qu'elle-même.
Voici ce que la définition n'est pas: personne qui se trouve sous l'emprise d'un bourreau qui la contraint à souffrir.
Le vocabulaire "policier" ne nous avait pas habitué au sens originel.
Le vocabulaire "populaire" non plus.
Ceci
explique, à mon avis, que certains croyants aient pensé qu'on ne pouvait acceder à l'état de "victime" sans passer par l'état de "souffrant" et que si la vie ne leur procurait pas d'occasion il leur fallait se les créer (flagellations...).
L'intention était bonne mais signe d'ignorance du caractère paradoxal de notre existence.

   En fait, ce statut de victime de l'Amour est celui de ceux qui vivent de l'amour qu'ils captent, par ce qu'ils ressentent en provenance des uns, et qu'ils distribuent aux autres (et aux uns, cela va de soi). Le partage ayant un effet multiplicateur, plus ils en donnent plus ils en ont à donner.
Offrir sa vie présente d'autant plus d'intérêt, à ceux qui la reçoivent, que celle-ci est agréable et durable.
Il serait absurde de croire qu'une vie de douleur et brusquement interrompue avec violence soit le cadeau préféré émanant de la volonté de l'Amour.
Aimer est un plaisir en soi.
Etre aimé aussi. Cela en est un autre.
Mais nous ne sommes pas dans le domaine des transactions ni même des partages dits équitables.
Le domaine de l'amour c'est celui où qui a beaucoup faim prendra une grande part et qui est déjà rassasié se contentera d'un tout petit encas, juste pour participer.
Revendiquer le statut de "victime de l'Amour" c'est nous reconnaitre dévoué à ses attentes, soumis à sa volonté, et ne pas accepter de servir d'autres intérêts, d'autres mesures.

Cette phrase m'avait interpellée car je n'aurais pas su la concevoir.
Je remercie la Vie de me l'avoir apportée même si à la première écoute je ne l'avais pas ressentie agréablement.
Qu'il en soit de même pour toi, cher bloggueur qui promène du côté de chez "authenticienne".
Partager cet article
Repost0
30 mai 2008 5 30 /05 /mai /2008 15:19

Je ne vous apprendrai rien si je vous dis que l'autopsie est impraticable sur un être vivant.
En effet, cela le tuerait.
Vous apprendrai-je quelque chose si je vous dis qu'une relation est un organisme vivant?
Je ne crois pas.
Aussi, si vous souhaitez qu'elle perdure demandez-vous ce dont elle a besoin et non de quoi elle est constituée. Pas d'eau fraiche, vous y êtes presque. d'Amour. Gagné !
 

Partager cet article
Repost0
26 mai 2008 1 26 /05 /mai /2008 12:14
"Dans un grain de blé habitent le Nouveau et l'Ancien. Ne coupez pas. semez" (D.A)
et vous moissonnerez
Partager cet article
Repost0
20 mai 2008 2 20 /05 /mai /2008 09:42
Le courage est une stratégie.
Il est donc nécessaire d'en faire l'apprentissage tout comme il est indispensable d'apprendre à choisir la confiance.
Balayons d'abord les idées reçues de ceux qui nous les ont envoyées, soit par calcul soit par naïveté, et constatons que :
Le courage n'est pas incompatible avec la prudence
Le courage n'est pas incompatible avec la peur
Le courage n'est pas incompatible avec la sérénité
Le courage n'est pas obligatoirement une manifestation d'altruisme, ce peut être simplement une exigence de respect.
...
Il est aisé d'apprendre tout ce qu'il n'est pas.

Les stratégies de comportements courageux étant multiples, il est plus difficile d'exprimer les différentes formes sous lesquelles elles se manifestent.
Il y a plus de 60 ans, en EUROPE, se produisait une guerre à peu près tous les 20 ans, soit une ou deux par génération. Réflexes de survie, les individus se regroupaient par courant de pensée et l'apprentisage du courage, sous l'impulsion de la conjoncture, avait un caractère collectif.
En temps de paix, l'apprentissage du courage quotidien n'est pas prévu dans les programmes.
Il n'y a d'alternative à l'obéissance récompensée que la désobéissance punie.
Or le courage au quotidien est souvent une forme de désobéissance à des règles, non dites, qui sont suivies par la majorité et qui, par effet d'égrégore, prennent force de Loi.

Elaborer une stratégie c'est : Fixer un objectif puis déterminer les moyens à mettre en oeuvre pour atteindre celui-ci.
                                        Il peut y avoir d'ailleurs, différentes hypothèses évoquées qui, chacunes, à leur manière, aboutiraient à la réalisation attendue.
Le comportement courageux consiste à ne pas renoncer à un objectif, si la seule raison est que nous ne disposons pas, aujourd'hui, de tous les éléments nécessaires pour garantir sa réussite. 
Si nous gardons notre confiance dans le bien-fondé de notre quête, nous aurons la certitude que notre partenaire "La Vie", qui est tout autant que nous concernée par la réussite de notre parcours, génèrera la conjoncture qui servira notre démarche.
Ce qui nous revient c'est d'avoir l'audace d'affirmer notre participation
- en pensée
- en paroles
- en actions
Car ce qui est efficace pour créer le mal (si ces affirmations vous rappellent certaines prières collectives) est tout autant efficace pour créer le bien. L'outil est unique (notre humanité) .
La manière de l'utiliser fait toute la différence.
Il nous faut :
- Apprendre à affirmer notre volonté et la mission individuelle et sociale à laquelle elle est reliée.
- Apprendre les mots pour la dire afin qu'elle soit entendue telle que nous la pensons.  
- Apprendre à choisir la Confiance afin de voir en chacun le partenaire qu'il est (cela lui permettra, simultanément, de voir le partenaire que nous sommes)
     Commençons par des situations simples puis de plus en plus complexes par le contexte social qu'elles impliquent.
     Voici comment s'éduque la stratégie du courage.

      Bien entendu, certains naissent avec des facilités en ce domaine, comme d'autres naissent avec des dispositions artistiques ou mathématiques... Mais il y a un minimum commun et, la Vie, partenaire de tous, n'attend de chacun que le niveau de pratique compatible avec ses dispositions naturelles. Cependant, elle attend de tous une attitude respectueuse tout autant avec les autres qu'avec soi-même et ... elle n'abandonne pas.

     Pour terminer je vais vous donner un exemple que j'ai vécu et qui m'a demandé, en un instant, de manifester toute la capacité de courage que je n'étais même pas sure d'avoir.
     La disproportion entre le risque encouru et mon ressenti du moment peut vous amuser.
     Je vous raconte cet épisode de "courage au quotidien" pour vous inviter (comme me le disait, un jour, un ami)  à ne pas rester suspendu inconfortablement à la rembarde d'un balcon alors que vous n'êtes qu'au rez de chaussée et qu'il vous faudrait très peu de recul ( la vision d'un autre) pour vérifier qu'il n'y a que 50cm entre vos pieds et le sol.  
 
     Récréation :
     C'était un Dimanche de Pâques dans une grande Eglise, pleine à craquer:
     J'étais dans les premiers rangs et, sur le côté, se trouvait un homme, en fauteuil roulant, qui semblait tout à fait impliqué par l'office.
    Arrive le moment de la communion. Toutes les personnes avancent vers l'autel et l'homme reste seul à sa place.
     Je me dis: "Ce n'est pas possible. Le prêtre le plus proche de lui ne voit-il pas ce que je vois?  Je vais attendre, pour passer la dernière et si rien n'a été fait je demanderai à l'officiant de se déplacer. 
     A partir de là, j'avais le coeur battant comme si j'avais parcouru 1000m en 50 secondes (je suppose)...Et arrive mon tour. Toujours rien.
J'ose parler au prêtre qui me confie 2 hosties- tout se passant très vite- 
(je n'en demandais pas tant car comment réagirait cette personne qui ne m'avait rien demandé). Je regarde sa place: Vide. 
                    Il y avait encore UNe personne derrière moi : C'était LUI.  
                   Totalement affolée je rends l'hostie supplémentaire au prêtre qui reste interloqué et je retourne vite à ma place avec des palpitations telles que mon voisin de banc, un autre inconnu, me demande si j'ai un malaise!  Un peu remise je luis fais part de mon initiative et ... il m'en a félicitée.  Quelque temps plus tard, moi aussi.

     Je vous ai offert cette mini-aventure non dangereuse, en partage.
     Le trac n'est pas objectif. Il est compatible avec les petits challenges.
     C'est une excellente méthode d'apprentissage des stratégies de courage.
     Recherchons, et, en tant qu'éducateur, provoquons, les situations à trac: l'estrade (école) la scène ( théatre) ... 
     Cultivons cette discipline nécessaire à notre épanouissement personnel et à l'accomplissement des collectivités auxquelles nous sommes rattachés (famille, travail,cité, patrie, univers...) .

      A une prochaine fois ... 
      N'oubliez pas les commentaires qui sont votre voie d'expression sur ce blog. Courage!
Partager cet article
Repost0
12 mai 2008 1 12 /05 /mai /2008 08:03

    Impossible de conclure sur les EGREGORES sans observer les conséquences des affirmations précédentes dans le domaine de la santé :
      
En effet, mon besoin de logique me pousse à accepter
- soit ce dont je comprends les relations de causes à effets,
- soit ce que je constate (et que je ne sais pas encore m'expliquer).
   En effet, dans le cas où l'observation et l'extrapolation théorique semblent en contradiction, je choisis les conclusions de l'observation et recherche l'erreur de raisonnement (insuffisance de données, le plus souvent) qui a pour conséquence la conclusion théorique fausse.

   Tout cela pour évoquer les résultats de l'homéopathie :
   On ne peut éviter d'observer que ces "médicaments" aux dilutions extrêmes, infiniment plus que les liquides "vaisselle" résiduels sur les couverts, ont cependant des effets incontestablement curatifs.
    Effet "placebo"? Sur les adultes, pourquoi pas. Mais sur les enfants tout est placebo.   Ce n'est donc pas l'explication.
    Effet "EGREGORE" ?  Là je vois une piste sérieuse.
    N'oublions pas que les Egregores créés par les Uns peuvent agir sur les Autres et ceci, d'autant mieux que, par le phénomène "Confiance", l'Autre est tout à fait perméable à la force de la pensée des Uns.
    Toutefois, on a vu précedemment que l'effet "confiance", et même "affection", n'est pas un anti-égrégore en soi. C'est vrai sur le plan de la nuisance. C'est donc vrai aussi sur le plan du soutien.
    Ainsi, l'homéopathie, par l'effet de masse de tous ceux qui l'ont chargée du pouvoir de la pensée  "traitement efficace", pensée entretenue tous les jours par des millions d'esprits inconsciemment reliés, génère un EGREGORE qui ne peut être qu'opérationnel et qui se conforte à chacun des résultats positifs qu'il induit.
    Ceux qui ne peuvent en bénéficier sont ceux qui, comme dans les autres cas de résistance, bâtissent des égrégores "opposés" d'autant plus puissants qu'ils ont pour fondation un raisonnement étayé qui a déjà fait ses preuves... Un raisonnement juste.
    Mais un raisonnement sophiste car il manque une information dans leur énoncé : Le pouvoir de la pensée collective.

   Pour ces raisons, quand un élément est chargé du pouvoir d'un EGREGORE qui ne peut vous être que favorable, ne le rejetez pas sous prétexte que cet Egrégore n'est pas visible. Vous ne mettriez pas vos doigts dans une prise de courant électrique. C'est du même ordre.
    Si non comment expliquer les techniques d'électroencéphalogrammes?

  ATTENTION : Je n'ai pas écrit que l'homéopathie doit être un traitement exclusif et suffisant pour toutes les situations.
  Parfois ce sera le cas,
  parfois il interviendra en partenariat avec d'autres techniques,
  parfois il ne pourra être administré ou n'existera pas en la matière.
  Les progrès de la science, bien souvent dérivés d'égrégore diffus appelés "présomptions", ne sont pas des hasards.
  Ce sont des rendez-vous (Comme l'évoquerait Paul ELUARD). 
  N'opposons pas le corps et l'esprit car nous avons une preuve incontestable de leur partenariat paradoxal opportun : Notre Vie.

    A présent,  je considère avoir fait le tour du sujet, le 1er tour d'une vaste spirale, sans doute, mais au moins la base d'une trajectoire que vous pourrez explorer, j'en sème une graine d'égrégore, pour votre plus grand bien, notre plus grand bien.

    A bientôt

Partager cet article
Repost0
5 mai 2008 1 05 /05 /mai /2008 14:44

 Comme Bruno BETTHELEIM l'avait remarqué, le milieu dans lequel nous évoluons, que nous l'ayons choisi ou non, a un effet sur notre comportement qui, lui-même, détermine notre évolution.
 Quand nous traversons des moments difficiles, il est essentiel de différer la question: "Pourquoi" et de rechercher le "Comment" se servir de la conjoncture.

 * La première pensée que nous devons énoncer, puis ancrer en notre esprit, en quelque sorte la gardienne de notre camp, c'est : J'aurai les moyens de franchir ce cap car je recevrai ce dont j'ai besoin et cet enrichissement je le garderai. 
 Afin de donner à celle-ci toute la puissance nécessaire à sa fonction, il est souhaitable de la partager avec un esprit ami, un être cher de l'autre côté de la Vie, un Saint, et ceci tous les matins et(ou) tous les soirs, même brièvement.
 Puis trouver une phrase courte encourageante, comme : "J'ai confiance"  -
 "Chaque instant est mon allié" - " Je suis protégé(e) de la contagion des pensées négatives".
et l'écrire sur un papier, posé en évidence ou affiché, de façon à le lire quotidiennement.
 Une fois que vous l'aurez totalement intégrée, au point que nul ne saurait la fragiliser, vous partagerez cette évidence avec des amis, des parents, des relations et ceci la renforcera.
 Vous aurez ainsi créé un EGREGORE qui sera à la fois votre protecteur et votre meilleur ami.

 Il est essentiel de savoir que les EGREGORES les plus virulents sont les incitations, verbalisées ou suggérées, à l'auto-dévalorisation.
 De plus, nous pouvons en être les co-auteurs, si nous acceptons d'obéir à des peurs qui auraient dû rester nos serviteurs.
 J'avais entendu " Celui, qui veut tuer son chien, dira qu'il a la rage".
Manière symbolique d'exprimer :
  Celui qui veut se débarrasser-plus ou moins consciemment- d'un compagnon de route (conjoint, employé, subordonné, et même, patient...), le convaincra qu'il n'a pas les qualités minima (intellectuelles, morales, ou physiques) requises pour la position qu'il prétend maintenir.
  Les façons de procéder seront soit directes soit sournoises. Elles ont en commun l'expression de la négligence de l'identité de l'autre, la violence d'un comportement irrespectueux.

   Reconnaissant les manoeuvres, et en connaissance des effets de l'auto-dévalorisation (la cause première des maladies), le vaccin est de veiller à ne pas succomber à la tentation de laisser à d'autres la faculté de penser à notre place.
   Modalités pratiques:
   effectuer toutes actions, quel qu'en soit le domaine, ayant pour finalité de maintenir et cultiver notre confiance en notre propre jugement.
  Ensuite on donnera à notre avis personnel la force dont il a besoin pour, si ce n'est s'opposer, du moins résister, en procédant comme il est conseillé ci-dessus (*).
  Et on fera confiance à la conjoncture pour créer les évènements adéquats, à l'instant opportun.
  L'important est de rester dans le jeu jusqu'à la prochaine distribution des cartes, celle qui nous permettra d'affirmer notre personnalité authentique, de pousuivre notre mission de vie.
  A ce moment là, se présenteront nos nouveaux partenaires, ceux qui correspondent à notre savoir faire acquis au cours de l'expérience. C'est alors que nous aurons l'explication du "Pourquoi".

  Les Egrégores, tels des mirages, n'ont de pouvoir qu'à travers l'incapacité de nos propres croyances à les démystifier.
  Unissons nos pensées à celles que nous savons à la fois fortes et bienveillantes à notre égard, et les images que nous redoutions s'effaceront d'elles-même, car nous aurons désillusionné ce qui n'était qu'illusions.

 J'ai cloturé, quant à moi, avec ce 5ème article, mon exposé sur les Egrégores.
 Je confie à vos commentaires le soin d'apporter les précisions que vous jugeriez souhaitables.

 A la prochaine fois.

Partager cet article
Repost0
28 avril 2008 1 28 /04 /avril /2008 11:30

   Corps et Pensées ne peuvent coexister qu'en symbiose. S'ils trouvent un terrain d'Entente, c'est déjà bien. S'ils trouvent un terrain d'Amour, il leur reviendra de le cultiver afin de partager les moissons de ce sol fertile.

   Evoquer que le corps puisse abandonner totalement ses exigences, dans le cadre de son partenariat avec l'esprit, c'est oublier que sans corps il n'y a plus de vie et que sans vie il n'est plus possible de mener à bien une mission qui nous engage au-delà de nous-même.
   Que notre pensée permanente soit : qu'une action réfléchie ne sera engagée que si elle garantit une utilité au moins équivalente à l'amputation qu'elle pourrait impliquer.  
   Ceci est particulièrement vrai quand il est question de renoncer à la Vie. Un sacrifice n'est pas un abandon et encore moins un gaspillage (vient de pillage).
   La fuite n'est pas une attitude répréhensible quand elle est la seule protection efficace, au contraire.
   Mais la fuite ne peut être qu'une stratégie temporaire.
Comme une main que l'on retirerait d'une plaque électrique brulante... le temps que la plaque refroidisse.
Ensuite, s'il faut nettoyer la plaque, il conviendra d'accomplir la tâche qui nous a été confiée.

   L'héroïsme inutile, qui consiste à vouloir accomplir une fonction sans tenir compte de la conjoncture et en prenant des risques mutilants, est plus qu'un manque d'intelligence, c'est un manque de respect.
   Respecte ton corps et celui de l'autre. Respecte tes pensées et celles des autres.
   Si une partie de ton corps est malade, soigne-le et si un acte chirugical s'impose, entreprends-le.
   Qu'il en soit de même pour tes pensées.

   "Aime ton prochain comme toi-même"           signifie :  "Que ta vie soit Amour".
  "Tend la joue droite si on te giffle la gauche"  signifie :  "Ne renonce pas" 
Mais il n'est pas écrit, ce que certains ont parfois l'impression d'avoir lu,
"Aime ton prochain comme toi-même est aimé de lui"
Ni "Fais-toi giffler la joue droite par celui qui t'a gifflé la gauche".

  Quel est le rapport de tout cela avec le sujet "Les Egrégores" ?
  Juste une mise au point, avant de continuer : Le pouvoir que tu accordes à ta pensée ne doit pas porter atteinte à ton intégrité, ne soit-elle que corporelle, ni à celle des autres.
  Réciproquement, Tu ne dois pas accepter que des pensées d'autres portent atteinte à ton intégrité, ne soit-elle que corporelle, et, si la fuite s'avère provisoirement la seule protection il est de ton devoir, tout autant que de ton intérêt et de l'intérêt collectif de choisir cette stratégie. Que cette fuite soit au propre ou au figuré.

  Comment savoir si notre fuite est une stratégie ou si nous obéissons à une peur qui a pris le contrôle de nos pensées ?
  Très simple : Il suffit d'identifier le danger: s'il porte atteinte à notre intégrité, la fuite est la solution d'urgence. Si tel n'est pas le cas, c'est la fuite qui portera atteinte à notre intégrité. 
                                                           

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de Françoise-Louise A - M
  • : Méthode ACC = Apprendre à Choisir la Confiance. Epanouissement personnel et des collectivités où nous intervenons (familiales, sociales, professionnelles)
  • Contact

Profil

  • Psychologie et Communication
  • Me Praticien en PNL. Parce que le défaut de communication est à l'origine de la plupart des conflits, y compris avec soi-même, J'ai conçu la méthode ACC = Apprendre à Choisir la Confiance

Texte Libre

Recherche