Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
25 avril 2008 5 25 /04 /avril /2008 14:39

     Je souhaite d'abord préciser que la force autonome, émanant du pouvoir de la pensée, peut  se présenter de telle manière que nous ayons l'impression qu'elle est la manifestation spirituelle d'un être cher qui évolue de l'autre côté de la Vie.
     Effectivement, j'ai eu l'occasion de voir, sur une photo de mariage, la présence d'une personne disparue et dont l'absence était ressentie très fortement par tous les participants.
     Je crois qu'il est fort possible que cette pensée collective ait créé cet effet. 

     Est-ce à dire que la personne de l'autre côté de la Vie n'aurait participé en rien à cette fête? Pas du tout. Mais d'une autre manière : elle aurait induit, dans la conjoncture, un évènement que nul n'aurait programmé mais qui aurait été significatif de son comportement, ou de ses désirs, et qui aurait impliqué que l'on pense à elle, générant par voie de conséquence, la création de cet égrégore à son image.

     Je crois en la Vie après la Vie et j'ai eu l'occasion d'en expérimenter des manifestations tangibles dont je ne vous citerai que l'une d'entre elles, pour exemple :
     Un ami, que l'on identifiait en disant: " tu sais celui qui fait toujours des blagues", nous présenta sa dernière révérence un triste jour. Il avait un peu plus de 40 ans.
     Voici comment débuta l'office religieux : " Tant que celui qui m'a caché mon missel ne me l'aura pas rendu, je ne commencerai pas la cérémonie".   Puis le prêtre réalisa immédiatement combien sa remarque était déplacée et, bien entendu, célébra la messe.
     Il est évident que, dans la plus grande tristesse, nous n'aurions jamais pu imaginer une telle situation. N'empêche qu'en cet instant il nous fut impossible de ne pas penser collectivement à cet ami que nous étions en train d'accompagner pour son dernier voyage. 
     
     J'ai croisé d'autres témoins, à priori peu enclins à croire en cette existence de la Vie après la Vie, qui ont révisé leurs croyances au vu de phénomènes d'ordre équivalent.

     Si j'ai écrit cet article, c'est :
      - Pour préciser la différence entre cette entité créée par le pouvoir de la pensée et que l'on appelle "Egrégore" et ces présences spirituelles d'êtres de l'autre côté de la Vie qui peuvent nous accompagner et nous aider à franchir certaines étapes de notre parcours.
      - Pour exprimer que ces être spirituels, parfois spontanément, et toujours, sur notre demande, uniront leurs pensées aux nôtres 
         > soit afin de créer une force-pensée, ou égrégore, pour nous servir
         > soit pour créer une force-pensée capable de faire face à des égrégores, créés par d'autres, dont elle devra d'abord nous protéger puis participer à leur transformation pour qu'ils deviennent paradoxalement nos alliés.

         Mais comment unir nos pensées à celles de ces êtres dont le pouvoir est encore plus fort que celui d'une assemblée d'individus concentrés sur des objectifs partagés:
         Tel sera le sujet du prochain article

Partager cet article
Repost0
15 avril 2008 2 15 /04 /avril /2008 11:01
Dieu peut faire des miracles mais les miracles ne créent pas Dieu.
La Foi est génératrice d'égrégores mais l'inverse n'est pas vrai.

Quelles que soient nos croyances, nous ne pouvons remettre en cause notre capacité à creer la Vie, A créer l'électricité, A creer la communication par l'utilisation d'ondes invisibles qui aboutissent sur des récepteurs que nous avons su composer.
Quelles que soient nos croyances, nous ne pouvons remettre en cause notre capacité à utiliser les matériaux physiques ou psychiques, que nous découvrons, et les organiser pour adapter leur finalité à nos attentes.

En matière d'égrégore, c'est du même ordre.

- Certains en créent pour ce qu'ils estiment être le Bien
- Certains en créent pour ce qu'ils estiment être leur bien
- Certains bénéficient des effets de ceux qui en ont créé pour le Bien
- Certains subissent les effets de ceux qui en ont créé pour leur bien, avec une totale indifférence du sort des autres.  

KOUCHOG WANTCHEN, ermite dans le Tibet Oriental, interrogé par Alexandra David-Neel, lui avait répondu, au sujet du pouvoir des EGREGORES, à peu près ces mots :
" D'après vous, ne pas croire à l'existence de tigres, suffirait-il pour empêcher qu'ils vous dévorent si vous passez à leur portée ? " 
 Mais aussi : " Il faut savoir se défendre contre les tigres dont on est le père et, aussi, contre ceux que d'autres engendrent"

"Les tigres dont on est le père" : Ces pensées négatives qui nous agressent et qui prennent leur source soit dans nos craintes (ou peurs) soit dans nos sentiments de culpabilité qui pourraient être l'effet pervers d'égrégores qui ont atteint les buts que nous leur avions fixés et dont les conséquences nous déçoivent.

"Les tigres que d'autres engendrent" : Ces pensées négatives que d'autres ont créé et qui nous emprisonnent, quand ce n'est nous empoisonnent, dans des sentiments de peur, d'impuissance, de dénigrement de nous-même et de nos valeurs...et, même, de culpabilité nous incitant à nous auto-punir, éventuellement à nous auto-détruire.

Alors, on en fait quoi de ces tigres?

D'abord, on les identifie.
Ensuite, on se met à l'abri, le temps nécessaire à se procurer les moyens de les immobiliser.
Une fois en cages, les apprivoiser, puis, équilibrer le rapport en établissant une relation d'amour ou d'amitié qui nous apportera joie réciproque, paix durable et même certitude d'un soutien inconditionnel.

Le programme vous convient-il?

Evidemment, il manque des détails : Une fois les Egrégores, ou tigres, identifiés, ce qui permet déjà d'être conscient de la menace et de choisir la prudence, comment pratiquer pour les autres étapes ?

Ce sera le sujet du prochain article.

A très bientôt

NB: n'hésitez pas à commenter, à offrir vos solutions de dresseurs émérites, de concepteurs d'égrégores secouristes, gardiens, ...








 
Partager cet article
Repost0
8 avril 2008 2 08 /04 /avril /2008 15:36
Voici plusieurs définitions des "EGREGORES" qui ont un point commun, elles évoquent toutes une force puissante engendrée par la pensée.
"- Force engendrée par un puissant courant spirituel et alimentée ensuite régulièrement.
 - Force puissante créée et maintenue en activité par la pensée dominante d'individus unis dans un but commun
...
La puissance de l'égregore est fonction du nombre de personnes qui le maintiennent et de l'intensité de leur engagement dans le projet commun.

Cette force vivante possède alors une forme d'autonomie et de conscience propre"

On a pu observer les effets de cette force lors de plusieurs expériences volontaires dont je citerai ci-dessous 2 exemples :
- Groupes de prières constitués dans des hopitaux: il a été constaté que les malades pour lesquels on priait, sur leur demande, se remettaient beaucoup plus rapidement et avaient des taux de guérison beaucoup plus élevés que les autres.

Très différente cette expérience en labo:
- initiée par un biologiste sur des rats: Sont confiés à un groupe d'étudiants des rats dits "géniaux". Sont confiés à un autre groupe , des rats dits "débiles".
Chaque groupe observe ses spécimens dans un labyrinthe de difficulté équivalente mais le 1er groupe pense que les cobayes sauront s'en sortir et le 2ème pense que les siens aboutiront à un echec.
Les cobayes du 1er groupe trouvent la solution. Ceux du 2ème groupe, effectivement, restent prisonniers.
En fait, tous ces rats étaient aussi ordinaires les uns que les autres.
La différence était ce qu'en pensaient leurs observateurs-managers.

Dans le 1er cas, la volonté du patient est liée à celle du groupe. Leur force s'additionne.
Dans le 2ème cas, la capacité du "patient" est déterminée par celle du groupe.
Le groupe apporte à son représentant la force de sa confiance.

Alors deux questions se posent :
    Est-il possible à un individu de s'opposer à la force pensée d'un groupe, quand celle-ci lui est nocive, sans quitter le groupe ?  Comment ?
    Est-il possible à un individu d'avoir confiance en lui, en l'autre, en la vie s'il évolue dans un contexte où il est soumis à la pensée permanente inverse ?

    Vous pouvez donner vos réponses en commentaires.
    Les miennes feront l'objet du prochain article ... et des réponses à vos remarques.

    A bientôt
Partager cet article
Repost0
1 avril 2008 2 01 /04 /avril /2008 15:49

La 1ère étape nous a permis d’éveiller notre volonté afin de définir l’orientation actuelle que nous souhaitons donner à  notre trajectoire de Vie : nous avons formulé 3 projets et nous nous sommes engagés à  agir afin d’obtenir les résultats que nous avions énoncés comme significatifs de leur réussite.

La  2ème étape nous a permis de vérifier que « tout est bon en nous, il n’y a rien à jeter » à condition de veiller à l’adéquation : Objectif / Qualités à mettre en œuvre.

      En effet, si on ne choisit pas l’outil opportun parmi ceux que nous possédons, sous prétexte qu’il est rangé tout au fond de notre tiroir mémoire, il serait injuste de décider que l’outil utilisé est un outil inefficace ou que le but poursuivi est un but inaccessible, de la même manière qu’il serait injuste, vis-à-vis de la poêle et des spaghettis de les incriminer sous prétexte qu’avec la première on n’a pas su faire cuire les deuxièmes

       La 3ème étape marquera notre premier pas dans l’expression concrète de notre confiance en notre partenaire « La VIE » et dans l’apprentissage à recevoir le présent, tel un cadeau. Ainsi, nous expérimenterons le refus d’utiliser systématiquement le filtre de nos croyances anciennes qui ne laisse passer jusqu’à nous que ce que l’on croit possible donc, à fortiori, ce que l’on redoute.


Cette séance présente un double intérêt :

      a)  Poser le postulat que nous évoluons dans un univers qui n’est pas absurde mais paradoxal. Pour ce faire, nous allons choisir d’accorder notre confiance à des relations de causes à effet déterminées sans appel à notre logique limitée.

      b)  Observer que cette étape s’accompagne d’une modification sensible de notre bien-être. Notre Joie intérieure retrouve sa place. L’adulte, que nous sommes, côtoie avec bienveillance l’enfant que nous sommes aussi car tout état par lequel nous transitons se poursuit éternellement dès qu’il est purifié ou transcendé.

Pour accomplir cette démarche nous allons choisir l’attitude que la PNL (Programmation Neuro - Linguistique) a désigné par : « Faire comme si », abréviation de : comme si tout était possible.

      Je souhaite rappeler à ce niveau, que la discipline, appelée PNL, a été conçue pour modéliser les comportements efficaces de personnes qui avaient été observées parce qu’elles réussissaient à peu près systématiquement à atteindre les buts qu’elles s’étaient fixés, aussi novateurs soient-ils.

En effet, limiter nos attentes, en fonction de nos certitudes ou des circonstances qui correspondent aux plus fortes probabilités, est incompatible avec les changements que l’on projette et pour lesquels il n’existe pas de précédents, en quantité suffisante, permettant d’établir des relations de causes à effets.

 

Pourtant, ces évènements existent. 

La pensée étant créatrice, elle a dû les précéder. Les croyances étant à l’origine des pensées, la loi de causes à effets peut être tout simplement : 

« Crois AVANT à l’existence de ce que tu veux être en mesure d’observer puis tu observeras que ta croyance est justifiée ».  Par contre, si tu ne choisis pas de croire en ce que tu veux, tu ne pourras constater que ce que tu ne veux pas. Normal ! 

 

Seriez-vous de ceux qui vont répliquer : Cette table est rouge, je la veux bleue, me suffit-il de croire qu’elle est bleue pour qu’elle le devienne ?

Ou bien : Je crois que je peux devenir en même temps blond(e)  et brun(e).

Ou enfin : Je crois que je peux voler donc je saute du haut de la colline et je m’envole ?

 

NON !  Pouvoir choisir sa croyance exige 2 conditions :

- Une croyance ne peut être opposée à une certitude vérifiable.

- On ne peut concevoir simultanément des situations incompatibles :

Ainsi, j’ai la certitude que si je n’ai pas au moins 10/20 je ne passerai pas dans la classe supérieure.

Je ne peux donc choisir de croire que:

  «  J’aurai moins de 10 et je passerai normalement dans la classe supérieure. »

Ce choix, sans issue, gaspillerait votre énergie vainement.

 

Par contre, je peux choisir :

   « Faire ma vaisselle favorise ma réussite professionnelle. »

Il n’y a pas d’incompatibilité notoire.

Il suffit de ne pas faire cette vaisselle pendant les heures de bureau (ou de trajet)

           

 J’imagine la réaction de certains d’entre -vous : Quel lien de cause à effet entre « faire sa vaisselle » et devenir « un juriste de valeur » ?  Ne serait-il pas préférable que j’utilise mon temps disponible à étudier en Bibliothèque ?

      Réponse : D’abord il n’y a pas d’incompatibilité entre les deux activités si elles ne sont pas programmées simultanément et puis, si on poursuit votre mode de  raisonnement, on peut aussi réduire le temps du sommeil, des pauses repas, des moments de détente ou de vacances…

Evidemment ces comparaisons ne sont acceptables que si on retient que l’activité « faire votre vaisselle » n’est pas affectée sur votre temps disponible mais devient, dès l’instant où vous choisissez de le croire, un élément de votre rythme de vie,  favorable à votre épanouissement personnel, décidé en alliance avec la Vie.

 On a cependant  la possibilité d’exprimer ses désirs afin d’énoncer les croyances qui permettent d’atteindre les objectifs correspondant:

 En reprenant les exemples ci-dessus :

- Je choisis de croire, que je saurai trouver le moyen pour que cette table bleue devienne rouge

- Je choisis de croire que je serai d’abord blonde puis, si je le souhaite encore, brune.

- Je choisis de croire que j’aurai la possibilité de m’envoler même si ce n’est pas à la manière « oiseau » que j’ai la certitude de ne pas être. 

La découverte de la peinture, de la teinture et de l’aviation en témoignent.

Et, plus gravement mais tout autant sérieusement :

- Je choisis de croire que je peux guérir

Même si les médecins n’ont donné à cette probabilité qu’une valeur infiniment faible (donc pas nulle) car les cas de guérisons inexpliquées justifient leur impossibilité d’avoir la certitude (probabilité nulle) que les observations recensées couvrent l’intégralité des possibilités. 

 

Enfin, je voudrais formuler une recommandation :

Ne pas choisir des croyances ayant pour finalité de modifier un état qui vous convient.

Qui pourrait en avoir l’idée ? Pas vous. Simple vérification.

On est donc bien d’accord, ce que vous aimeriez modifier c’est une situation qui ne vous convient pas, malgré vos stratégies pour l’améliorer, ou vivre un événement qui ne se produit pas ou (et) que vous n’êtes pas arrivé à provoquer.

Revenons à nos références PNL : « Si ce que vous faîtes ne marche pas, essayez n’importe quoi d’autre »

La méthode ACC consiste à remplacer, dans la phrase ci-dessus, « n’importe quoi d’autre » par « choisir la confiance en notre partenaire LA VIE et lui laisser le soin des stratégies, ou relations de causes à effets, qu’elle me propose »

 

Pour ceux qui auraient tendance à interpréter que la méthode ACC consiste, au niveau de cette étape, en une application approchée de la méthode COUE : Il est nécessaire que je mette en évidence les différences :

a)      La méthode COUE respecte des relations de causes à effets familières à notre raisonnement : Je sais que je fais mon travail correctement, en conséquences je suis certain(e) d’obtenir le résultat que je mérite : Elle utilise donc le concept de la pensée créatrice et recommande l’optimisme favorable à la joie de vivre.

 

b)     La méthode COUE est « limitante » puisqu’elle ne retient que des corrélations classiques, que chacun peut concevoir sans surprise - si ce n’est sans réserve -  même quand l’affirmation est aléatoire, du genre : j’organise un repas  dans mon jardin, le 26 Mai et je crée la pensée optimiste que ce jour là sera ensoleillé.

 

 La méthode ACC, quant à elle,  ne présume pas de la conjoncture. Celle-ci n’est ni de notre compétence ni de nos attributions. C’est à notre partenaire « La Vie » de s’en charger.

Lors de cette 3ème étape, nous devons d’abord recenser des tâches « élémentaires » qui nous incombent et que nous trouvons parfois pénibles, rarement enthousiasmantes.

Les assumer, comme si elles étaient exclues de notre partenariat avec la vie, nous  amènerait à les négliger ou à les exécuter en nous gâchant l’humeur du moment et en n’y accordant pas l’attention suffisante exigée pour des résultats satisfaisants.

     Les Bouddhistes recommandent de concentrer l’attention sur l’action du moment, quelle qu’elle soit, comme si elle était l’unique objet de notre réalisation personnelle.

     Mais comment demeurer sincère avec soi-même et déclarer plaisir ce qui est corvée ?

     Y arriver permettrait  effectivement d’accorder à chaque instant l’intérêt qui convient.

     Ne serait-ce pas une façon, en s’assurant ainsi de la qualité du devoir accompli, de neutraliser des sentiments, plus ou moins conscients de culpabilité, que les meilleurs prétextes ne sauraient totalement effacer?

« Je n’ai pas le temps – ce n’est pas important -   … », Je vous laisse compléter.

 

La méthode ACC préconise d’accorder aux tâches quotidiennes la plus grande attention, ce qui présente déjà l’intérêt de ne pas éprouver, contre soi de ressentiments liés à une forme  de « mauvaise conscience ». Ainsi, l’esprit libre de ce type de parasites, nous pouvons nous consacrer à notre mission de vie, ce qui nous plait et nous attire,  totalement.

 

Le respect de nos engagements quotidiens, formes de contraintes sociales, dans le cadre de cette alliance, nous entraine à organiser nos comportements et contribue  à notre joie de vivre en légitimant nos aspirations. La logique retrouve sa place, non de maitre d’œuvre mais de serviteur zélé, car le fait  que soit  récompensée notre participation correspond à ses critères de raisonnement.

 

Sur un plan pratique, voici comment il convient de procéder pour cette 3ème étape:

 

1)                             Vous formulez 7 souhaits numérotés de 1 à 7 et vous créez 7 tickets en papier portant ces numéros mais pliés pour que le chiffre soit caché.

 

2)                             Vous évoquez ensuite 7 obligations journalières, au moins bihebdomadaires, agréables ou pas, que parfois vous négligez un peu.

Pas de mission impossible d’aujourd’hui, bien entendu.

Par exemple, 10 minutes de gymnastique par jour et non 1/2heure si déjà 10 minutes vous demandent un effort de persévérance.

Ces obligations seront identifiées par les lettres A B C D E F G et vous créerez les tickets correspondant, pliés également de façon à ce que la lettre soit cachée.

 

3)                             Ensuite on mélange à part chaque tas de tickets et on tire « au hasard » simultanément un ticket chiffre et un ticket lettre, exemple 1 / C puis on écrit :

Quand je fais C, je sers la réussite du souhait 1. Ce qui peut donner :

   Quand je fais ma vaisselle je sers la réussite de mon projet professionnel. 

        -   Oubliez la question « pourquoi » car les stratégies que vous recevez sont des réponses au « comment » … les réponses au pourquoi, si elles vous intéressent encore, vous les trouverez plus tard comme je l’ai évoqué en début d’ouvrage.  -

 

4)                             A présent écrivez, sous forme de liste, sur une feuille de carnet, ou une demi-feuille de cahier, les 7 affirmations obtenues ci-dessus et posez ce document en évidence de façon à le lire chaque jour en passant devant. Ainsi vous allez peu à peu penser systématiquement à la corrélation entre l’action que vous accomplissez  et le souhait qu’elle favorise, brièvement,  mais au moins 2 fois : avant de commencer l’opération et une fois celle-ci  achevée. 

 

5)                             Vous pouvez-même, pour vous aider à conforter ces croyances et secouer des moments d’inertie, cocher, chaque jour de la semaine à venir, les lignes correspondant aux tâches exécutées et, éventuellement, décider que le lundi vous ferez au moins ceci, le mardi, au moins cela, etc.

                  Au début, vous risquez de ne pas accomplir votre contrat.  Ne culpabilisez pas mais faites en le diagnostic et reconnaissez simplement que construire un palais exige plus de temps que de dresser une tente, donc demande plus de persévérance.

 

Il y a cependant une prescription fondamentale que vous  apprendrez à respecter systématiquement : l’exercice de l’action complète.  En effet, avant d’entreprendre l’une des 7 activités que vous avez sélectionnées, prenez l’habitude de vous fixer les conditions pour que l’action commencée soit menée à terme. Par exemple : « Je fais ma vaisselle » ne sera achevée- pour vous- qu’une fois la vaisselle sur l’égouttoir ou bien une fois la vaisselle essuyée et rangée à sa place ?

    Il convient de le définir préalablement et de tenir votre engagement complètement.

 

    Il est recommandé de poursuivre cet exercice au moins pendant 4 semaines ou, de préférence, jusqu’à ce que les objectifs programmés soient  atteints ce qui peut vous emmener jusqu’à la 9ème étape.

 

      Quand vous évoquerez l’interrelation entre l’action exécutée et le souhait correspondant, si cela vous amuse, amusez-vous en, ça marchera quand même.

 Vous constaterez assez rapidement que vous avez fait « le premier pas » sur le bon chemin. « La joie est le signe » qui vous invite à poursuivre sur ce parcours.

 

De plus, cet exercice permet de retrouver une vérité souvent enfouie au fond des mémoires : un désir qui ne peut être réalisé immédiatement peut aboutir en différé à condition de résister sur la durée. S’il ne résiste pas, il sera alors abandonné sans regret et vous prendrez l’habitude d’évoquer trois délais possibles compatibles avec la réalisation de vos désirs :

Immédiatement, plus tard ou jamais

Et non, seulement deux : immédiatement ou jamais, croyance génératrice d’imprudences et de frustrations.  

     Par exemple : Afin de répondre à un désir, je souhaite lire un ouvrage qui ne sera disponible que dans dix jours. 

    Dix jours plus tard, je constaterai que la conjoncture, m’aura permis de me préparer à une interprétation plus opérationnelle de la lecture différée ou bien que  ce livre, ou cet article, ne  m’intéresse plus, parce que  j’aurai eu l’opportunité de répondre autrement, et mieux,  à mes attentes.

    Une occasion d’exprimer notre gratitude au « chargé de conjoncture » ce qui participera à notre bonne humeur, ingrédient indispensable à notre accomplissement personnel.

 

     A partir de cette étape, vous devriez constater que vous vous sentez mieux dans votre Vie et, pour conforter ce confort, pensez, dès votre réveil que le jour qui commence vous apportera son soutien… et réciproquement.

 

Partager cet article
Repost0
25 mars 2008 2 25 /03 /mars /2008 14:58

Nous nous offusquons, nous crions Justice, Justice! C'est tout à fait insuffisant.
Faisons chacun une petite action, à la place d'un long et tonitruant discours, à la place ou avec -pour ceux qui ne peuvent s'en passer -, et nous observerons rapidement que le pouvoir n'existe pas sans l'assentiment des populations.

Mode d'emploi:
- Que les commerçants indiquent, dans les rayons de leurs boutiques, la provenance de leurs articles - en particulier, ceux qui viennent de Chine.
- Que les clients décident, pendant toute la période des Jeux Olympiques et, au moins pendant 1 mois (j'ignore leur durée) de ne plus acheter de produits venant de Chine.
 Si tous les EUROPEENS s'y mettent, il y a de fortes chances pour que le gouvernement Chinois comprenne qu'il doit réviser son comportement.
 Si tous les citoyens du monde s'y engagent, alors, ce sera aussi efficace qu'un miracle!

Donnons la démonstration que les gouvernements ne peuvent être que l'expression de la volonté des gouvernés. Et, ainsi, affirmons que Nous avons un pouvoir décisionnaire qui dépasse celui que l'on veut bien nous reconnaitre le temps d'une élection ou d'un référendum.

Comment diffuser cette idée afin qu'elle franchisse le cap de l'utopie qui n'est qu'un tremplin :
D'abord, je vais, moi-même, dès à présent me tenir à cette résolution
Ensuite je vous propose à VOUS, les blogueurs de la communauté du "monde spirituel", qui m'a si gentiment adoptée. de relayer l'action ce qui l'amplifiera.
Ensuite, que tous ceux qui sont aussi membres d'autres communautés partagent cette initiative,
Et de fil en fil, de files en files,  "tous les gars du monde" arriveront bien à "se donner la main" au sens d'aider, aussi.

J'ai communiqué cette idée à une radio locale, France-Bleu-Provence, et l'invité du jour pensait que les citoyens ne seraient pas facilement mobilisables.
Je pense que nous sommes sous-estimés. 
Ne perdons pas notre énergie à réfuter ce préjugé. Faisons.
Rien ne vaut un bon constat pour imposer notre engagement.
A + 

Partager cet article
Repost0
21 mars 2008 5 21 /03 /mars /2008 15:15

Oh Combien de gens de biens et combien de mécènes
discuteront encore de l'Amour de la Haine
de l'Art, de la Beauté, de la Propriété
Faisant ainsi l'éloge de l'INEGALITE

Que Nenni, Dieu m'en garde
Diront-ils pour conclure
Nous sommes tous pareils
Tous de même envergure
Et se croyant sincères
Avec les pauvres gens
Leur parleront de Pierre
Eux, ils attendaient Jean.

Que d'incompréhension
Depuis tant d'existences
N'a-t-on pas nos rations
d'idioties, de souffrances
N'est-il pas temps, enfin
De révéler l'Erreur
Qui, depuis l'Origine,
Empoisonne les coeurs.


Je décide que OUI !
Fini la décadence
Les descentes aux enfers
Parfois au pas de danse
Fini de vouloir faire
UN par l'égalité
On peut s'aimer en frères
Mais sans se ressembler 

Vive les différences
Vive l'EQUIVALENCE !

Que la propriété 
Permette la bonté
Que l'imagination
soit source d'évasions

Quelques mots, quelques traits
Des notes, des couleurs
Comment naitre parfaits
Et naitre créateurs

Chacun sa partition
Et ses répétitions
Pour que la symphonie
que nous jouerons ensemble
nous offre l'harmonie,
L'Amour qui nous rassemble

Pourrait -on tout avoir
Et encore recevoir
Dis, que peut-on offrir
Quand les moindres désirs
Ont été assouvis
Tout comme au Paradis?

Je conclue, mes amis
Je vois votre impatience
Notre monde est ICI
Avec nos différences

Le jour où chaque humain
Comprendra que ses peurs
Sont le seul mauvais grain
Vive les Moissonneurs !


C'est pour quand ?
Pas pour hier !
Ouf! On n'a rien raté
Certains chantaient "à Pâques ou à l'Eternité"

Pourquoi pas aujourd'hui
Dèjà pour commencer
Sois sympath, dis moi OUI

Pour rimer : BISOUNIS

A la prochaine fouis

Tu vois, tu m'as compris
Pourtant j'ai pas parli
Comme avant je le fis...

A présent tu souris

A bientôt chers amis

                                                    Françoise A-M

Partager cet article
Repost0
10 mars 2008 1 10 /03 /mars /2008 10:13

              Nous sommes, par essence, créateurs. Les enseignements, et renseignements, qui nous sont proposés élargissent notre champ de vision et ajoutent des moyens à notre disposition. Ni plus, ni moins.
              Restons cependant les décideurs, quand des responsabilités nous incombent, et regardons, dans la batterie de nos possibilités, la meilleure solution qui n'est pas forcément l'une de celles qui nous sont suggérées.
               Illustration : Voici le problème posé : Il convient de vider une baignoire et on vous tend 3 récipients :
Un grand verre, une casserole de taille moyenne, un seau sans anse.
               Vous choisissez ?
               J'aurais pu vous faire attendre la réponse optimum jusqu'au prochain message ?
                Non ! Je n'aurais pas pu vous l'auriez reçue avant la question. Alors ?

                Tout simplement enlever le bouchon qui retient l'eau dans la baignoire .

               
  Ne pas se limiter aux solutions qui nous sont  proposées. 
                 Elles mobilisent notre raisonnement qui, privé de liberté, perd ses capacités d'initiatives, même les plus basiques... ceux qui se sont fait pièger par cette histoire devront bien le constater.

                 Quelle que soit la problématique que nous ayons à résoudre, n'oublions pas que nous disposons de la liberté du choix des moyens à notre disposition et que concentrer notre attention sur ceux que l'on nous présente risque de nous priver de ceux qui ne nous ont pas été désignés, par ignorance ou manipulation,  et qui peuvent être les plus efficaces.

                 "Honnis soient qui mal y pensent" !  Cet article n'est pas en relation avec l'actualité politique... 
                  Du moins,  pas seulement ! 

                   
                

Partager cet article
Repost0
5 mars 2008 3 05 /03 /mars /2008 08:29

     Ne confondons pas Absurde et Paradoxal. C'est un Sophisme :
Raisonnement juste à partir d'une hypothèse fausse

     Je partage la conviction des « existentialistes » quand ils expriment que, sans engagements personnels et sans les actions correspondantes, nous gaspillerions notre temps, celui qui nous a été donné (car nous ne nous sommes pas créés nous-mêmes), pour participer à notre destin, et ainsi, à la destinée de l’humanité. 
   Toutefois, alors qu’ils pensent que l’être humain ne dispose que de ses propres moyens, j’affirme que nous avons un partenaire, 
«  la Vie », qui apportera, au moment opportun, les moyens nécessaires, dont nous ne disposons pas aujourd’hui, ainsi que la conjoncture favorable. 

    En effet, il n’est pas cohérent de considérer que parce que l’homme est totalement libre de ses propres choix, il est le seul responsable du sort de l’humanité, alors qu'il évolue dans un univers qui n’est pas contraint à lui obéir. 
    Par exemple, le meilleur des agriculteurs ne pourra qu’optimiser sa récolte dont le volume dépendra aussi du climat, paramètre sur lequel il n’est pas en mesure d’intervenir.

   Ce serait effectivement un partenariat voué à l’échec, celui qui attribuerait les devoirs à l’un, ici l’homme, et les droits à l’autre (le monde). 

         A mon avis, ou bien il s’agit d’une provocation du genre : 
         « Si tu veux que je croie en ta présence, montre-toi », ou bien, 
         la peur de l’inconnu rend déraisonnable donc « déraisonneur ».
         Choisir la Confiance c'est concevoir
          -  que ce que nous ne sommes pas en mesure de
          comprendre n'est pas absurde mais paradoxal.
          -  que si notre partenaire positionne  un arbre sur notre 
          trajectoire ce n'est que pour nous éviter le précipice quand, 
          par peur, parfois de notre propre vitesse, nous faisons
          une erreur de pilotage.
          - que nous pouvons vouloir et entreprendre l'action qui nous 
          interpelle, en connaissance de nos moyens insuffisants pour 
          assurer sa réussite, puisque ceux-ci nous seront fournis par 
          notre partenaire dès qu'ils seront devenus indispensables.
          Choisir la Confiance c'est apprivoiser l'optimisme.          
         

Partager cet article
Repost0
25 février 2008 1 25 /02 /février /2008 14:12
            Plannings familials pour formation des ados, cours d"éducation sexuelle à l'école, ...  Mais quand verrons-nous programmés des cours d'éducation sentimentale?
          Les sentiments ne s'apprennent pas, ce sont des ressentis .
         J'en connais tout plein d'erreurs de ressentis : Il ne m'aime pas parce qu'il m'a dit ceci ou parce qu'il a fait cela ou par ce qu'il ne m'a pas dit ou parce qu'il n'a pas fait ou parce que j'ai bien trop peur de croire qu'il m'aime et de souffrir encore plus à cause de ma déception...

          Je proclame que de bons cours d'éducation sentimentale où on expliquerait, en utilisant éventuellement l'outil PNL,  (compatible avec toutes les croyances spirituelles), que les comportements ne sont pas standardisés et que l'affection n'utilise pas, pour tous, les mêmes voies d'expression,  seraient tout à fait opportuns. Relations parents-enfants,  enseignants-enseignés, copains-copines, amoureux-amoureuse...
           Et même mon petit chien et moi : Lequel grogne le plus pour la sortie accompagnée de l'après-midi?

           Et puisque l'on y serait on pourrait ensuite évoquer la sexualité amoureuse et la sexualité gourmande, un peu comme on évoquerait l'alimentation bio et la restauration rapide,  avec leurs  effets sur le bien être mais aussi sur le aimer-être.

           Reste plus qu'à trouver des enseignants !!!
            
          On peut rèver!
            
Partager cet article
Repost0
23 février 2008 6 23 /02 /février /2008 11:10
Le Bien est le berceau du Bien, ceci n'est pas un scoop.
Le Mal est aussi le berceau du Bien. C'est déjà plus paradoxal.
Il est évident que
Les mauvais ingrédients ne font pas un bon repas
Les chiens ne font pas des chats... 
Les géniteurs blancs ne font pas des enfants noirs
Pourtant
Le Mal peut être la source du Bien  ( activation de qualités si endormies que présumées inexistantes)
La force de l'adversaire devenir Ma force   ( A la base des arts martiaux )
L'extrême fragilité s'avérer plus mobilisante que la dictature (demande à bébé ..arreu, arreu)
Quelques explications TRES résumées :
Amour ,  Courage, Connaissance
ou (et)
Audace, Créativité, Compassion.
Se reconnaitre partenaire dans son auto-création puis partenaire dans la création de l'univers, c'est avoir la certitude que nous sommes les alliés de la toute puissance ( quel que soit le nom qui lui est donnée ) et que, de ce fait, il est tout à fait cohérent de choisir la confiance et d'accomplir notre propre participation en entrant en action -- dès que nous aurons déterminé ce qui est de notre mission ( chercher dans ce qui nous plait). 
Mais il est plus facile de trouver ce dont on est sûr de l'existence. Ca motive.
Surtout si on sait, que grâce à notre partenaire, on dispose, dès la case départ , de panneaux indicateurs qui nous orientent vers la prochaine étape. 

Si je me rends de Marseille à Paris, je ne m'attends pas à voir le panneau PARIS dès le départ de l'autoroute mais je sais qu'il est souhaitable que je passe par LYON et LYON est déjà indiqué.

Pour ne pas oublier les grands principes...
- "Je suis patriote" :  Je soutiens la République pour qu'elle ne dérape pas .. commence à avoir quelques rhumatismes.
- "La Vie se trouve ( et se mérite) en la donnant": Très bien. Mais pour pouvoir la donner, il me faut d'abord veiller à ne pas la perdre. 
- "La Mondialisation" : Tout à fait d'accord. J'appartiens au monde et le monde m'appartient : Ne touche pas à mes pôtes et mes pôtes ce sont les étoiles, la flore , la faune, les hommes et les femmes de toutes les couleurs, y compris de la mienne.
- Le Maire et le Prefet : les 2 plateaux d'une même balance, appelée "pays".
   Faut surtout pas les mettre du même côté, m'enfin!  Pas besoin d'être énarque pour le comprendre.  

Ni les grands sentiments
-Le travail du Dimanche : C'est une idée nouvelle sauf pour 
       le Paysan qui nourrit ses animaux même ce jour là 
       Le restaurateur 
       Mon épicier du coin
       Mon mari bricoleur
       Son épouse ménagère
       le Curé de ma paroisse
       Et tous ces inconnus de moi qui me pardonneront de ne pas être en mesure de les présenter aussi.
-  Vouloir qu'il n'y ait plus d'échec scolaire : C'est un désir nouveau sauf pour
       Tous les enfants
       Tous leurs parents
       Tous les enseignants
       Et tellement de etc. que je n'arrive pas à concevoir qui je n'ai pas oublié mis à part ceux que j'ai identifiés.

      Ce n'était pas Jacques BREL qui avait écrit 
          "pour faire une bonne dame patronesse  
             ... c' tavec du vieux qu'on fait du neuf"
          Un matcho ce Jacques ... pourquoi une bonne dame patronesse et pas un bon monsieur patron ... 
     
      Mais ceci est une autre histoire... 
      Au fait, ça vous passionne les activités des dames patronesses ? N'empêche que la chanson de BREL était réussie...
      Donc je ne suis pas hors sujet : Tout peut être le berceau du Bien.  

      A bientôt
      Amitié 
      Françoise A-M       
      A Ici ou à http://lesamisdespoetes.over-blog.com/
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de Françoise-Louise A - M
  • : Méthode ACC = Apprendre à Choisir la Confiance. Epanouissement personnel et des collectivités où nous intervenons (familiales, sociales, professionnelles)
  • Contact

Profil

  • Psychologie et Communication
  • Me Praticien en PNL. Parce que le défaut de communication est à l'origine de la plupart des conflits, y compris avec soi-même, J'ai conçu la méthode ACC = Apprendre à Choisir la Confiance

Texte Libre

Recherche