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11 octobre 2009 7 11 /10 /octobre /2009 07:21
Seront-elles glorieuses ?  Seront-elles ascendantes?  ...  les 30 prochaines années ?

Remarque : J'avais fini la rédaction de cet article quand pour une raison que ma raison ne comprend pas, j'ai été déconnectée et, mis à part le titre et la 1ère ligne, tout s'est effacé.

Quand ma raison ne comprend pas, ceci ne me parait plus le signe d'une absurdité mais la manifestation d'une intelligence supérieure qui peut être celle du coeur.

Etais-je trop directive ?
J'ai tendance (déformation professionnelle) même si je m'en soigne.


Faites donc ce que votre conscience vous proposera. Je vous invite seulement à prendre connaissance de 2 autres articles :
1) Mon témoignage d'une conférence où les Grands Formateurs des Grandes Ecoles ont exposé leur vision du futur
     d'un clic sur :
http://responsabilitesocietale-dd.over-blog.com/

2) Ma perception de la trajectoire sociétale que nous devrons emprunter, seule voie vers le futur, et des équipements en "désobéïssance", à devenir de créativité, dont nos enfants auront besoin.
     d'un clic sur : http://controledegestion.over-blog.com/

     Avant que mon ordinateur ne me rappelle ses exigences
     Amitié et A bientôt
  
     Françoise-L.
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17 février 2009 2 17 /02 /février /2009 11:48

En commençant par cette histoire vraie où j'ai participé, d'ailleurs bien malgré moi, mais qui reste un souvenir, tout autant ordinaire qu'inoubliable.

C'était en 1999, j'étais hospitalisée et mon moral n'était pas au beau fixe. 
Quelqu'un frappe à ma porte. C'était un monsieur âgé qui venait me rendre visite.
Il se présente, ce qui me permet de constater qu'il ne s'est pas trompé de chambre : Il est prêtre (retraité +++) et vient rendre visite aux personnes hospitalisées de cet hôpital.
Il avait l'air tellement gentil et tellement certain qu'il était réconfortant pour les patients que, pour ne pas le décevoir, j'ai eu envie de le recevoir agréablement et que nous avons bavardé un moment.
A vrai dire, nous avons parlé de la vie quotidienne, de mes craintes qu'il a balayées en me disant que
"lui-même avait été très malade à une époque et que ce n'était qu'un souvenir lointain... Puis qu'à présent il me disait aurevoir car il se rendait en gérontologie, au chevet d'une arrière grand-mère qui dormait presque toute la journée."
Je lui réponds alors spontanément - et ceci n'avait de question que l'allure car j'avais le sentiment d'avoir déjà la réponse -:
A quoi ça sert de vivre ainsi, en dormant sans arrêt dans un hôpital !

Il me dit : "Elle est heureuse de vivre car, lorsqu'elle ne dort pas elle prie pour ses proches, ses moins proches et même la terre entière.
Et quand je lui rends visite, nous prions ensemble."

Cette répartie a marqué ma mémoire.

Cette femme avait trouvé sa raison de vivre ... le plus longtemps possible. Pas pour elle. Pour les autres,  Par elle.

Je n'ai pas retenu le nom de ce Prêtre, il ne me l'a dit que pour se présenter et je l'ai oublié sur l'instant.  Néanmoins, aujourd'hui je me demande si cette raison - que certains appeleraient "déraison" - qu'elle avait su voir au coeur de son brouillard, ne lui était pas apparue grâce à la lumière apportée par cet homme, aux allures si laïques, dont le regard était si lumineux.

 Je me souviens de ce moment quand j'entends évoquer la possibilité de légaliser l'euthanasie - ce qui était le cas, sur les ondes, ce matin.
Alors, je crains que certains la souhaitent  parce qu'ils se voient écrasés dans le miroir du regard de l'autre. inutiles, pire, pesants : plus assez dignes pour vivre.
    
Faut-il être valide pour être "digne" ? Je connais des valides dont  je trouve les comportements indignes.

Pour ces raisons, si je ne peux  accepter que des personnes ne soient pas soulagées de leurs souffrances,  je ne peux pas accepter, non plus, que d'autres ne soient pas encouragées dans la mission de Vie si difficile qui est la leur, difficile à concevoir d'abord, puis à mener à bien, ensuite.

Mais celui qui, lui-même, ne croit pas au sens de chaque instant de la Vie, comment pourrait-il communiquer cette certitude en soutien ? Comment pourrait-il la recevoir ?
Et celui que n'a pas cette croyance, comment pourrait-il l'acquérir ?

Pas par le raisonnement purement "céphalique". Il n'est pas fait pour ça.
Par le dépassement de celui-ci :
          Même s'il ne comprend pas pourquoi - de toute façon il ne sait pas démontrer non plus pourquoi il   présumerait le contraire - qu'il choisisse la confiance.

Alors, le ressenti de joie éprouvée - totalement inexplicable, car out of nos limites structurelles présentes,  sera le "signe" qui lui montrera que, s'il ne voit pas encore la Vérité perchée au sommet, il est au moins sur un chemin qui y conduit :
 puisqu'Il en entend déjà l'écho.


Amicalement

Françoise-L.

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6 février 2009 5 06 /02 /février /2009 13:38
Parce que la Stratégie Politique me concerne, et qu'en cette période elle fait partie des urgences.
      La société est malade d'elle même mais la société malade d'elle m'aime et réciproquement.

Alors, je vous invite à me rejoindre, le temps d'un article, sur l'autre blog que j'anime en corrélation avec mes expériences professionnelles.
L'article concerné est : "
A lire avant le 18 Février 2009"
le blog est :
http://controledegestion.over-blog.com/

A très bientôt

Amicalement vôtre

Françoise-L. A-M
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2 janvier 2009 5 02 /01 /janvier /2009 10:28
Marc a évoqué ces 3 paramêtres et il m'a semblé utile d'en approfondir le sens et la portée :

    Intention
=  Etat d'esprit, de l'ordre du souhait. C'est l'objectif qui est visé, les moyens restant à définir et à programmer.
   Désir        = Expression d'un besoin non assouvi.
   Volonté   = Préalable incontournable à l'action qui, inévitablement, ne peut en être que le prolongement.

   Tant que la Volonté n'a pas été activée, L'Action librement choisie ne pourra être exécutée.

   Les meilleures intentions peuvent s'avérer stériles, ou pire, à l'origine de moyens dont les effets néfastes se situent aux antipodes des objectifs formulés.
   J'ai déjà lu :" L'enfer est souvent pavé de bonnes intentions"
   J'ose vous réconforter : Le chemin du Paradis est aussi, parfois pavé, de mauvaises intentions"

   Les Désirs, avouables ou inavouables, sont des indicateurs d'impuissance ponctuelle, de manques plus ou moins douloureux et temporaires. Ils s'avèrent le plus souvent substituables et n'impliquent aucun changement tant qu'ils ne sont pas soutenus par l'émergence d'une volonté qui prendra leur relai.

  La Volonté est l'engagement irréversible de l'individu sur la route de l'action. Elle, seule, permet la réalisation ou le renoncement définitif lequel s'apparente à la destruction tout autant du projet que de celui qui le porte.
  La Volonté a la force d'un réflexe de Survie dont l'efficacité est multipliée par la réflexion préalable, ce qui n'est pas le cas de la réaction exclusivement instinctive. 
Elle est la supériorité de l'esprit humain sur l'esprit animal.

 Si le rire est le propre de l'homme, la volonté est sa compagne.

 Alors, amusons-nous et n'ayons aucune crainte, il n'est nul besoin d'être triste pour être volontaire.
 Au contraire.
 La joie éprouvée est un signe  d'efficacité constatée. La volonté n'exige pas de s'imposer avec brutalité. Elle se suffit car son autorité n'a pas de concurrence.

  Je vous souhaite une excellente année (telle est mon intention)
  Remplie de Bonheur (selon vos désirs compatibles avec ceux de vos compagnons de route)
  Et de Réalisations qui vous sont chères : qu'il en soit fait selon vos volontés, en accord avec la volonté Universelle ( puisque volonté = survie)

  Vive l'an NEUF de 2000, appelé , cette année là : 2009
   Bises à tous

   Françoise -L. A-M
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22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 07:52

     Fatales pour celui qui les fait, bien sûr.

     Leur principale caractéristique est qu'elles ont une portée, ou un interlocuteur, universel(le), ce qui signifie que celui qui les entend se sent agressé ou humilié ou en danger et sans recours, quel qu'il soit.

    Evidemment, pour que ce phénomène puisse se produire il faut que l'orateur s'adresse, de façon directe ou indirecte, à une collectivité.

   Je choisirai donc mes exemples dans le milieu politique ainsi, chers lecteurs, vous pourrez  éprouver le ressenti, à nouveau, de ces griffures qui cicatrisent plus ou moins bien suivant l'individu et qui, de toutes façons, créent un réflexe de méfiance, ou seulement d'antipathie, chronique.

 

   Ceci étant, la collectivité peut-être moins large : famille, voisinage, groupe, entreprise.

   Plus la taille de celle-ci est grande, moins il est facile de rattraper car au sein d'un petit groupe on peut présenter des excuses individuelles qui s'étendront rapidement par osmose.

   Quand l'auditoire s'agrandit, si on est conscient de la portée de ses paroles (ce qui n'est pas systématique) il faut avoir le courage de l'autocritique publique ce qui suppose un affrontement risqué avec ceux qui perdent un argument faisant partie de leur batterie d'atoûts et qui joueront leur rôle de victimes intransigeantes, conscients que votre deuxième prestation restera soudée à la première dont elle neutralisera progressivement les effets, le temps de la supplanter dans les mémoires, éventuellement.

 

     Je vous offre des phrases "témoin" et, si je ne cite pas les auteurs, certains les reconnaîtront sans difficulté.

    J'ai choisi à droite et à gauche - aucune communauté ne détenant l'exclusivité du bien comme du mal.

    En fait, si je vous laisse le soin d'oublier les auteurs c'est pour leur laisser, à eux, une chance de formuler leurs excuses, seule antidôte au poison qu'ils ont avalé avec leur salive, fluidifiant de leur déclaration essentiellement idiote et accessoirement cynique :

 

1) Parlant des entreprises en difficultés, à une époque où le phénomène - en tant que collectif - était nouveau, un personnage politique

  n'a pas évoqué : "Réfléchissons pour mettre en oeuvre des moyens de soutien"

            mais     : "Il faut supprimer les canards boiteux."

 

2) Pas beaucoup plus tard, lors d'un débat télévisé, entre deux responsables de partis politiques auxquels nous étions tous conviés par la voie des ondes,

un personnage politique a demandé à l'autre : "Quand vous me répondez, appelez -moi Monsieur le ministre"

Comme si son poste était un critère de supériorité. Nous, nous avons entendu :

"Et vous, peuple, raison de plus"

 

3) Nettement plus récent, mais sans trop, cette phrase qu'il sera difficile d'oublier car les infinis se rejoignant l'extrême tragédie prend des allures comiques :

"Les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent"

 

4) Et enfin, voisinant l'actualité : 

"Quand j'ai promis que si j'étais élu(e) je porterais le SMIG à 1500 euros, je savais que je ne pourrais pas tenir cet engagement".  A mon avis, une interprétation à la lettre de l'affirmation de son prédécesseur (3).

 

     Certains trouveront sans doute que j'en ai oubliées, et des meilleures. qu'ils n'hésitent pas à les évoquer en "commentaires". 

     

Pour votre sélection, vérifiez préalablement que la déclaration a une portée collective et n'est pas limitée à une maladresse occasionnelle ciblée et d'origine émotionnelle ( car l'élu(e) - rappelons-le, ne devient pas génial ou divin du fait de sa prise de fonctions - voir (2) -).

 

    En effet, Cet article et ses commentaires n'ont pas la prétention de s'engraisser au point d'atteindre la taille d'un dictionnaire présenté en une série de 10 volumes, dont Un, au moins, reporterait les cris de colère d'un certain homonyme de notre père Noël International.

 

    A vos claviers et agréable week-end.

 

     Françoise -L 

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15 novembre 2008 6 15 /11 /novembre /2008 09:36

 Le Lieutenant-Colonel Driant 
Un officier « courage », témoin de son temps 

     Le 23 décembre 1905, Malgré une longue série d'appréciations élogieuses décernées par ses supérieurs,  il ose formuler cet adieu de l'armée avant d’entrer dans le combat politique :
« 
J'appris qu'on allait m'envoyer dans un régiment  sous les ordres d'un colonel qui avait reçu mission de m'achever. » 
   On retrouve cette attitude, adaptée à la société de ce début de siècle, par des observations très audacieuses même s’il ne s’en veut que le porte-parole et les présente comme des arguments opposées par d’autres (Il eut fait un bon modèle pour nos concepteurs de la PNL) : 
En fait,s’il n'avait pas su les exprimer ainsi, personne n’aurait pu l’entendre, et cette affirmation ne serait même pas parvenue jusqu’à nous : « 
Je dis que le soldat français, le premier du monde, … commence à douter … ce petit soldat se demande s'il ne moud pas à vide dans cette grande machine où il est engrené et s'ils n'ont pas raison, les tentateurs qui lui soufflent à l'oreille : " …   Tous les peuples sont frères et si l'on te commande de marcher à la frontière, rappelle-toi que l'ennemi, c'est l'officier qui te montre la route ! »  
Ce commandant « courage », puisqu’il ne pouvait leur éviter l’épreuve, a cependant choisi de reprendre du service, a préparé son Grand départ (protection de ses papiers, de ses chevaux..) et s’est retrouvé le temps d’un souffle sur le front de VERDUN. 
Au niveau de la « mondialisation » voilà ce qu’il écrit : 
1)Politique extérieure : -  Evoquant les propos des Musulmans aux fins de convertir les Africains et de les rattacher à leur cause contre les colonialistes de tout bord :"Au nom de l'humanité, vous supprimez l'esclavage chez les Noirs, mais vous leur apportez l'alcool, qui décime la tribu en deux générations. Au nom de la civilisation, vous construisez des chemins de fer, vous entreprenez de grands travaux, mais c'est pour engraisser des actionnaires qui habitent Londres ou Berlin,
(n’oublions pas qu’il est lui-même Français et doit témoigner, indirectement, de son patriotisme) non pour améliorer les conditions de notre existence.
D'ailleurs, ces conditions, nous ne tenons pas à ce qu'elles changent; nous sommes heureux sous la tente, avec nos troupeaux, ayant devant nous les vastes espaces et la liberté. Nous sommes sans besoins et nous ne voulons pas de votre civilisation étriquée et accapareuse."
Et ils concluent logiquement, "Restez chez vous !"  
Qui pourrait les en blâmer ? […]
                 
-
Evoquant les entretiens de ClEMENCEAU avec le gouvernement Marocain, il écrit :En un mot, là comme dans toutes les grandes pensées du régime, nous sentons la corruption et la vénalité : on ne fait plus de la politique française, on fait des affaires.   

2) Politique intérieure :
  Il écrit : l'égalité absolue des conditions sociales n'est pas compatible avec le fonctionnement d'une société organisée, ( le mot équivalence n'était pas de son temps) mais atténuer l’inégalité dans une large mesure, en élevant ceux qui ne possèdent pas, en leur facilitant l'accession à la propriété et au capital.  Mon but est que cette évolution s'accomplisse sans guerre de classes, sans expropriation, sans violence, par l'éducation des forces sociales en présence, par leur collaboration intelligente et féconde aux réformes que réclament les idées supérieures de justice et de progrès   « Tant qu'il y aura des écoles officielles, j'y réclamerai la sincère observation de la neutralité, car je trouve intolérable qu'on impose aux enfants une éducation morale contraire aux croyances et aux traditions de leur famille. »

Enfin, Particulièrement  visionnaire, le roman social de DANRIT ( alias DRIANT) : « La Révolution de demain » . Il fut publié en 1910 avec la collaboration d'Arnould Galopin :  C'est la grève générale et insurrectionnelle, le rôle néfaste des financiers apatrides, l'emploi de l'armée contre l'émeute. Adversaires d'un moment, mais Français d'abord, tous se retrouveront finalement unis pour s'opposer à l'invasion allemande. ( Un ennemi fort à propos mais un dénouement inconcevable, aujourd’hui)

Pour en savoir un peu plus sur ce colonel  :  http://controledegestion.over-blog.com/   
Et pour en savoir beaucoup plus, sur ce même site, en fin d’article, vous trouverez mes sources sur le Net.

A bientôt.
J'ai réglé mes comptes avec ce 11/11 qui, plus que la Paix, me rappelle tant de sacrifices humains 

 

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15 octobre 2008 3 15 /10 /octobre /2008 11:28

      Sur l'article "je ricoche", j'avais, suivant la règle expliquée par Marc, proposé un extrait de texte découvert à la 5ème ligne de la page 123 d'un ouvrage.
     Avant de trouver une 5ème ligne à ma convenance, j'avais feuilleté 4 ou 5 pages 123 de ma bibliothèque mais, mis à part le 1er extrait qui se tenait si ce n'est qu'il était peu de circonstances,  les autres passages, hors leur contexte,  manquaient de cohérence.
Aujourd'hui je ne peux résister au plaisir de vous parler du 1er extrait :
J'avais choisi pour ouvrage : l'Evangile
Et page 123 de mon volume, 5ème ligne : c'était la parabole des petits pains et des poissons en quantité totalement insuffisante pour nourrir la foule.
Jésus les a multipliés, comme la plupart d'entre vous l'ont lu, et chacun a pu être rassasié.

Cette leçon symbolique je ne l'ai comprise qu'à travers les textes auxquels je me suis interessée suite à la crise financière.  "Le Saint Esprit ne souffle pas systématiquement dans les tuyeaux qu'on lui présente" avait dit un prêtre de mes connaissances. Je me suis souvenue de sa remarque.

  L'Etat, notre Nous collectif, peut multiplier les ressources nécessaires pour assouvir notre faim légitime.
  Ne lui en demandons pas plus, mais exigeons cela. 
  Des boulimiques se sont gavés pendant que certains devaient se rassasier de leurs miettes.
  La crise c'est encore ces boulimiques qui nous menacent en affirmant: "Si nous ne nous gavons plus vous n'aurez même plus nos miettes et Votre faim sera le début de Notre fin (à tous).

  Nous ne voulons pas d'une redistribution à l'ancienne, mais à l'antique.
  Puisque c'est l'instant T de la redistribution, que les ex-boulimiques soient accompagnés pendant leur traitement mais que les petits pains et les poissons soient offerts à la foule entière.

  Ce sera imparfait, il n'y a qu'UN Jésus. Mais on sera sur la bonne voie.

 Voilà. Je n'ai pas d'autres pages 123 ligne 5 à commenter. 
  
         F-L  A-M

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11 octobre 2008 6 11 /10 /octobre /2008 10:10
Chers amis,

C'est le moment de sortir de vos piscine, l'océan vous attend.
Ce n'est plus le temps des jeux olympiques mais celui des manoeuvres politiques.
Ils se préparent a faire la planche...
à billets.
Vu la quantité qui va être créée, et vu qu'ils souhaitent un "étalon" nouveau, et non plus le vieux canasson "or" retenu pour BRETTON-WOODS, à mon avis, ils risquent de choisir la mer. 
Vous imaginez, dans ces conditions, les effets de la moindre fausse note. Il faut veiller, si ce n'est au blé, du moins au son.
En effet, puisque le monde entier est endetté qui pourrait prêter à qui ? 
Alors, voyez-vous, moi je ne suis pas contre le fait de créer de la monnaie pour que les endettés remboursent leurs dettes, les ex-prêteurs encaisseraient leurs créances et retrouveraient ainsi leur bonne santé économique.
Ayant retenu la leçon,  ce qui serait la moindre des choses, vu le prix,  les gestionnaires du futur seraient choisis en fonction de leurs compétences plus que de leurs appétences.
Il ne resterait plus qu'à  instaurer, parmi les facteurs-clés de succès de l'entreprise, les valeurs spirituelles dont je vous ai déjà parlé et dont je vous parlerai encore.
Ainsi, nous pourrions brasser et embrasser joyeusement, à nouveau.
Mais ne vendons pas la charrue en gardant les boeufs!
Surveillons attentivement nos vilainsplanchistes qui pourraient bien avoir tendance à créer des réserves du genre : 1 pour tous, 3 pour moi. 
C'est pour cela que je vous invite à sortir de vos piscines et, puisque vous n'avez plus que le maillot sur la peau, à vous jeter dans l'océan et non dans la mare de TOUTSA.

Si vous avez souri, vous êtes sur la bonne voie mais ce n'est pas une raison pour y camper.
A vos bouées, prêts, plongez!

Amitié

         Françoise-L   A-M 
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8 octobre 2008 3 08 /10 /octobre /2008 10:25

Je vais vous raconter 2 histoires.

Si je n'ai su vous convaincre, vous pourrez toujours vous rendre sur mon blog "controledegestion", en lien, pour trouver un développement plus mathématique (tout demeurant très relatif).

1ère histoire :
   Une personne, qui vous est chère, est malade, un truc sournois qui ne se voit pas vraiment de l'extérieur.  Comme  sa valeur fondamentale est son look, elle refuse un traitement, dont les premiers effets affecteraient  celui-ci,  mais qui pourrait la soigner, la guérir, et lui permettrait même d'obtenir ensuite, aussi, l'apparence qui lui est si chère.
   Un jour, parce que la dégradation de son état  influence son teint, elle décide de se  soigner.
   N'auriez vous pas tendance à dire : Enfin !
   Enfin une chance (même si ce n'est une certitude) pour qu'elle retrouve la santé.

2ème histoire :
   C'est une mère de famille qui tient très propre son appartement à un détail près : Après avoir balayé le sol, elle met la poussière sous le tapis (sur lequel elle passe l'aspirateur régulièrement).
   Evidemment, les microbes se développent sous le tapis et la santé des habitants se détèriore car, tout le monde sait bien que les microbes sont assez petits pour passer à travers les mailles du meilleur tapis qui soit.
   Les habitants incriminent leur nourriture, puis leur manque de sportivité. Ils réagissent et leurs efforts augmentant leur résistance, les microbes augmentent leur artillerie.
   les habitants prennent alors des médicaments mais les microbes s'en vaccinent et l'aggression se poursuit.
   Jusqu'à ce que le tapis commence à s'effilocher, l'attaque apparaissant en surface.
   Alors, la cause de tous ces désagréments se révèle avec évidence. La solution aussi.
   Enfin!
   Et tout le monde se portant bien, chacun se met à travailler avec enthousiasme et gagne plein de sous ce qui permet d'acheter un beau tapis, nettement mieux que le précédent et de ne plus renouveller l'erreur de jadis.

   Cher Marc, ce n'est pas de l'optimisme, c'est de la lucidité.

   Si les 2 "enfins" de mes histoires vous paraissent justifiés, celui du titre vous le paraitra aussi.
    Amicalement

   A bientôt
   Françoise-Louise A-M
  
 

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16 juin 2008 1 16 /06 /juin /2008 12:48
         Nous ne pouvons choisir la spiritualité pour fuir la réalité. Au contraire.
       Je vous invite à retrouver, sur le blog des Amis des Poètes, l'article que j'ai reporté et qui vous convaincra de relayer cette action, de la déployer, de participer à la sauvegarde des générations futures et cela, pas seulement parce que nombreux sont ceux qui ont la conviction qu'ils en seront AUSSI et que leurs enfants en sont DEJA, mais parce que notre démarche est incompatible avec une indifférence provisoirement confortable.

Je ne sais pas faire l'opération dite trackback alors je procède en artisanal.

RVs sur
http://lesamisdespoetes.over-blog.com/

       Amitié

       Françoise
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  • : Le blog de Françoise-Louise A - M
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