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19 juillet 2011 2 19 /07 /juillet /2011 09:19

Par la PNL, on observe que la négation n'existe pas.

Mais la négation ne s'exprime pas que par l'expression "ne pas". Certains verbes sont particulièrement performants pour la manifester tout autant.

Exemple : "Je ne veux pas ceci" est l'équivalence adoucie de "je refuse ceci"

Le vrai refus consiste en l'effacement et ce qui est effacé n'est plus visible comme l'aurait sans doute remarqué mon correcteur préféré.

 

"Réduire" fait partie du vocabulaire "négatif".  En moins optimiste ou plus pessimiste (PNL).

 Je réduis votre temps d'attente car je n'ai pas la croyance que je peux l'annuler.

 

Il est important de faire ce que l'on dit et j'étais sur le chemin de dire ce que j'allais faire !!!

Trève de batis follages pluvieux, je vous invite à cliquer sur le lien ci-dessous pour lire la suite car :

   J'ai choisi de la traiter sur le blog opérationnel et de vous l'annoncer par ce blog informationnel !!!

 

L'ouvrage d'où est extraite la citation ci-dessus est "Nous les Dieux" de Bernard WEBER.

Un peu déjanté, comme d'hab, et même plus que d'hab !!!  Néanmoins avec des reflexions percutantes :

   Bernard WEBER ?  "Notre Jules VERNE de l'exploration du temps". 

"" Car cette définition n'engage que son auteur , moi-même, à ma connaissance.

   Bon voyage :

http://choisirlaconfiance.over-blog.com/article-objectif-reduire-son-malheur-ou-construire-son-bonheur-79746050.html

 

Françoise

http://choisirlaconfiance.over-blog.com/

http://lesamisdespoetes.over-blog.com/

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11 avril 2011 1 11 /04 /avril /2011 07:13

On trouve cette stratégie dans certaines applications de l'outil PNL (Programmation Neuro-Linguistique).

 

J'ai découvert aussi, grâce à Guy CORNEAU reportant les recommandations de Pierre LESSARD, une démarche du même ordre dans le "Dialogue avec les cellules souche" qui sont les cellules réparatrices de notre corps physique.

 

Guy CORNEAU a témoigné avoir expérimenté cette procédure pour se guérir d'un cancer métastasé et il estime qu'elle est un des meilleurs adjuvants au traitement classique (chimio et cie qu'il estime tout autant indispensables).

En fait, si une pendule retarde ou avance, il faut évidemment la remettre à la bonne heure ( fonction médicale) mais il faut également découvrir la cause du dysfonctionnement et la traiter (fonctions des adjuvants au traitement) pour qu'une fois le symptôme neutralisé, il ne se reproduise pas.

 

J'ai trouvé intéressant de rapprocher les 2 procédures afin d'obtenir une combinaison qui me parait optimum.

Vous trouverez, néanmoins, en fin d'article (où vous pouvez vous rendre tout de suite si votre curiosité est envahissante), les références du site où vous pourrez expérimenter la visualisation guidée par Guy CORNEAU ( 20 minutes) qui nous offre cette opportunité en partage.

 

En PNL, un problème de santé peut être interprété comme une attitude antagoniste de différentes parties de nous-même qui ne sont pas d'accord sur les moyens à employer pour atteindre leur objectif commun : Notre "Etre Bien".

Un Bien -Etre qui n'est pas le résultat confortable d'un compromis mais celui, nettement plus réjouïssant, qui se révèle quand on réalise notre désir fondamental, notre participation consciente à notre mission de Vie.

Pour ceux qui ne l'ont pas encore expérimenté - ne serait-ce qu'en pointillés - un état proche de l'état amoureux.

 Question :  Notre mission de Vie ? 

 Réponse : Le moyen dont nous disposons pour concilier notre épanouissement personnel et celui du milieu dans lequel nous évoluons. Se comporter en  "Alliance avec la Vie".

 

Pour en revenir au problème médical nous pouvons considérer que les parties en présence sont :

- Le cerveau droit , grand décideur de la stratégie de survie du patient, et ses assistants qui sont les organes malades.

- Le cerveau gauche, copilote désorienté, et ses assitants les organes sains et leur désir de le rester.

 

Après s'être "décontracté" éventuellement accepté de participer au "jeu" où on ne peut que gagner ou faire match nul

On commence la partie en

- Chassant les pensées parasites dont on peut établir un listing

   *Tu es ridicule (pas grave, je suis seule ou avec d'autres qui font comme moi)

  * Tu perds ton temps (j'ai réglé les urgences et m'offre une récrée)

  * Ca ne sert à rien (Je vérifie)

- On affirme les droits de nos 2 autres "interprètes" : La créativité qui devra définir les phrases du dialogue et La persévérance (ou l'opératrice) qui fixera une durée maximum pour l'exercice. Elle peut s'aider d'un minuteur ou réveil qui sonnera au départ dans 15 minutes, puis 20 minutes puis 30 minutes et en dernier lieu, si la journée prévoit d'autres activités, 45 minutes.

- On respire à fond 3 fois ( toc, toc toc sur l'estrade du théatre de notre vie) et on commence :

 

Je pense, en toute sincérité - car objectivité je ne peux en être sûre - que l' entretien préalable ci-dessous fait partie de la stratégie totale du retour à la bonne santé.

 

  Le Cerveau Gauche (Cg) demande au Cerveau droit (Cd) : Pourquoi ce coup de frein brutal dans le rythme de notre quotidien ?

 Réponse Cd : Parce que tu passes à côté de notre trajectoire d'épanouissement

 Cg : Mais j'y étais sur cette voie.

 Cd : Certes, seulement là il y a un tournant et tu continuais tout droit.

 Cg : Pourquoi voudrais-tu que je modifie ma trajectoire ou mon allure? Ma situation est relativement confortable ?

 Cd : Pour la même raison qu'un excellent élève doit changer de classe ou qu'un excellent étudiant doit entrer dans le milieu professionnel alors qu'en redoublant il serait encore plus à l'aise qu'avant.

Cg : L'élève ou l'étudiant doit désormais appliquer ce qu'il a appris. Cela a toujours été son objectif.

Cd : C'est l'objectif permanent de toute notre Vie.  Pas que de l'époque enfance et adolescence.

        Evidemment plus on avance, moins c'est présenté avec autant de détails. Il faut s'habituer à devenir celui qui ouvre la marche et qui est chargé d'avancer en éclaireur.

Cg : Tu considères donc que la période écoulée correspond à un enseignement assimilé qu'il faut désormais utiliser autrement.

Cd : Effectivement

Cg : Comment ?

Cd : Quand tu l'auras découvert, on pourra sortir de cet état de maladie car la santé sera un de nos meilleurs atoûts pour réussir.

Cg : L'imagination c'est ta spécialité. Donne-moi des indices pour trouver.

Cd : Les signes c'est : Ce que tu aimerais faire

Cg : A condition que j'en ai les moyens

Cd : Tu retombes dans tes faiblesses. Ne te préoccupe pas des Moyens. Considère ce que tu aurais le désir de faire, si tes moyens étaient illimités

Cg : Ils ne le sont pas !

Cd : En prenant conscience de ton Alliance avec la Vie, ils le sont : Elle les mettra à disposition au juste moment. C'est sa part. Choisis la confiance.

Cg : D'accord. Je choisis déjà de ne plus continuer comme avant. Ca te convient ?

Cd : C'est déjà un premier pas mais je ne peux m'en contenter. je freine la solution "pathologie" mais je la garde en position de veille.

Cg : Je fixe dès à présent des objectifs que j'avais laissés (parfois abandonnés) en sommeil. 

      Je cherche comment démarrer. Evidemment j'ai besoin du paramètre "durée" donc nous devons être en bonne santé.

Cd : Je te l'accorde. Je vais démobiliser les cellules anciennes, qui montaient la garde, afin qu'elles trouvent enfin un repos bien mérité et je vais mobiliser les cellules souches réparatrices pour qu'elles entrent en scène.

Cg : Très bien et moi je vais "apprendre à choisir la confiance" et mettre en place les projets qui nous permettront de nous épanouir et qui répondront aussi aux attentes de notre partenaire la Vie.

Cd : Pour le moment, tu récrées, le temps que je participe au "Dialogue avec les cellules" en cliquant sur le blog de Guy Carneau ci-dessous

http://www.toslog.com/guycorneau/637/blogs/Guy-Corneau-DIALOGUE-AVEC-LES-CELLULES-PARTIE-2?vuser_id=guycorneau%2f637  

Cg : OK. J'attendrai mon tour et dans 20 minutes je commencerai la méthode ACC exposée sur l'ouvrage "Apprivoiser l'Optimisme" en lisant déjà le mode d'emploi sur le blog qui lui est associé.

http://choisirlaconfiance.over-blog.com/

 

Et toi, cher lecteur, je te recommande, si ton souci de santé n'est pas en relation avec des cellules qui refusent de "partir", mais seulement une dégradation de certains organes qui s'usent un peu vite, de t'adresser directement aux cellules souche qui sont les réparatrices "maison" en leur donnant des raisons d'intervenir qui dépassent ta seule exigence de confort personnel.

N'oublie pas que si le "A vos marques ! " est de notre compétence, "Prêtes et  Démarrez" est de celle de notre partenaire "La Vie".

 

Avec mes sincères encouragements.

Bon travail !

Françoise

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5 avril 2011 2 05 /04 /avril /2011 22:00

Et souvent on a l'agréable surprise de se plaire

En tous cas c'est ce qu'il arriva à GEDON

 

                                    L’Histoire du Roi  Gédon  de  LAVI

 

                  Il était une fois un Prince qui devint roi parce qu’il était né pour et qu’il prenait à cœur ses activités de roi. Celles-ci consistaient essentiellement à veiller à la sauvegarde du patrimoine de son Royaume.

                        Par moments, il se reposait en allant se promener dans la colline mais quand il rencontrait un étranger de passage et qu’il se présentait il ne disait pas « Je suis Gédon de LAVI » mais « je suis le Roi » ce qui pour un PNListe était significatif d’une confusion entre son identité et son rôle professionnel. Sans doute n’avait-il pas croisé de PNListe.

                        Pourtant, quand il marchait dans la colline, il avait parfois le sentiment de cette confusion et il retournait vite à ses occupations royales pour se « retrouver. »

                        Un jour, pendant qu’il randonnait, un violent orage éclata.

            Après le déluge : Plus de palais, plus de sujets. Il dut constater qu’il restait seul avec, pour seule compagnie, un petit rosier, un petit chat, une brebis et un gamin qui devait bien être le plus pitoyable de tous ses sujets car il s’était perdu là, mais comme personne ne l’avait cherché il se nourrissait d’herbes et, de temps en temps, profitait de la charité des pies voleuses et du lait de la brebis.

                        Notre roi découvrait ce petit monde et cette autre forme de vie où l’aspect matériel était largement  accessoire et où il ressentait des émotions nouvelles essentielles dont la fragilité des supports l'angoissait :

                        Un rosier qui s’agenouillait au moindre souffle du vent, l’enfant qu’il retrouvait parfois en haut d’un arbre en situation périlleuse, la brebis qui s’approchait bêtement des précipices, attirée par un brin d’herbe, quant au chat, on ne savait jamais où il était jusqu’à ce qu’il décide de se manifester.

                         Gédon de LAVI apprenait à vivre au présent.

            A  sa grande surprise, il aimait  beaucoup ces nouvelles conditions de vie, dès qu’il refusait de s’inquiéter.

                        Petit à petit, il découvrit que l’extrême fragilité était un autre aspect de la force.

                       Soudain un grand sentiment de colère l’envahit : Pourquoi ai-je perdu tant de temps à mes occupations de Roi alors que j’aurais pu, tout de suite, choisir ce mode de vie ?

                        Tu n’as pas perdu ton temps, lui chanta un oiseau de passage, tu as appris ce dont tu as besoin aujourd’hui pour aimer aujourd’hui et ce dont tu auras sans doute besoin demain pour ce que tu auras à faire demain. Il fallait que tu commences par cette expérience, parce que si tu avais été directement dans la situation présente, et que tu aies eu la chance de l’apprécier, sans point de comparaison, tu n’aurais jamais voulu connaître ton enseignement d’ hier qui nous sera nécessaire pour demain

                        Et qu’aurais-je à faire demain ?

                        Mais l’oiseau s’était envolé… et, en plus, à cause du petit chat qui, décidemment n’était jamais à la place que l’on aurait choisie pour lui.

                        Alors, Gédon de LAVI pensa qu’il n’en savait pas encore assez  pour comprendre la réponse qu’il attendait et la petite brebis lui souffla : « Fais confiance. »

                        Il fut tout étonné de comprendre le langage des brebis et cette découverte le remplit de joie ainsi que de la certitude qu’il avait encore beaucoup d’enseignements à recevoir.

                        Joyeusement il mangea un bout de fromage et celui-ci lui parut vraiment excellent.

  

                        Bon appétit

                        A bientôt

                        Françoise

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8 mars 2011 2 08 /03 /mars /2011 13:34

Olivier GRANDRIE exerce une profession "principale" de vétérinaire. Il est également Ecrivain.

La preuve : Posez son nom sur le Net et le programme de recherche l'identifiera en premier lieu, comme tel.

 

Sa curiosité existentielle (D'où viens-je ? pourquoi suis-je ? Comment suis-je ? Où vais-je ?) l'a emmené à étudier les croyances de différentes cultures et civilisations, les enseignements appliqués correspondant, et d'aboutir à ses convictions actuelles dont il situe la source aux observations qu'il a été en mesure de constater, à la limite de vérifier.

 

Aujourd'hui il pratique également les médecines dites douces et celles dites énergétiques trouvant leur fondement essentiellement en Orient. : Acupuncteur, Energéticien, Homéopathe, Ostéopathe, Radionicien, Ethologue.

 

Il a attribué l'efficacité de ces disciplines à leur axiome commun : Tout est en reliance avec tout.

Evidemment, plus on est proche, plus la connectivité est grande et en cas d'un souci ou problème particulier, l'organe le plus sensible s'avèrera aussi le plus fragile et réagira en "éclaireur" donc "au front"  à l'agression d'une situation que l'on a le sentiment de vivre malgré soi, contraint par la conjoncture.

 

Notre cerveau droit est incapable de compartimenter afin de pièger la problématique, le temps nécessaire à sa résolution.

Il est dominant chez les animaux.

Notre cerveau gauche : Tout le contraire. Mais en compartimentant trop il ne saisit pas la correspondance entre un effet observé sur un plan physique spécifique, appelé symptôme, et la cause qui se situe à un autre niveau.

Ne cherchant à neutraliser que le symptôme il défie notre "intelligence" globale qui va s'exprimer sous une autre forme si celle choisie initialement est devenue inaccessible.  Notre cerveau n'étant pas maso, son premier choix était souvent plus facile d'accès aussi bien en interne qu'en externe donc plus facile à corriger (soigner).

 

Et l'animal ?

Notre animalité (existante même chez les plus sages) se prolonge par lien affectif jusqu'aux cellules de notre animal favori. Plus on est proche, plus c'est vrai.

Par télépathie il ressent nos ressentis parfois même avant que nous-même en ayons eu conscience.

Alors son corps réagit exprimant, suivant l'organe touché , le malaise et les peurs de son Maître.

Il est possible que le maître connaisse déjà des troubles du même ordre. Cela signifie que le corps physique du Maitre en est à ses débuts de réaction.

 

Et comment on fait pour stopper le phénomène, soigner et guérir le fauve, désamorcer la pathologie de l'humain associé ?

D'abord, on identifie la phénomène. En effet, on ne peut intervenir que si on est conscient du danger.

Ensuite, on part en exploration de soi-même pour découvrir les croyances obsolètes dont on doit se débarasser car si elles ont été utiles un jour elles deviennent des handicaps quand on n'en n'a plus besoin. Pollution, freins, ...   

Il y en a des pires : Celles que l'on a pu nous inculquer et qui ont généré en nous des croyances d'échelles de valeurs dont on se situerait au niveau des premiers barreaux. Auto-dévalorisation ...

Et on entreprend non pas un lavage de cerveau mais une révision de la nature et de la valeur des critères qui nous attaquent en révisant notre perception de la réalité.

 

Pour reprendre une image d'Olivier GRANDIE, l'enfant croit souvent que l'adulte sait tout ou presque. Puis il constate les faits à la lumière de ses connaissances acquises et modifie son opinion. 

En général cela n'influence pas notablement, sur la durée, l'affection sincère qu'il porte au parent.  

Sur la durée parce qu'il lui faut parfois le temps de comprendre que nul n'a essayé de le berner. Son ignorance intrinsèque était la seule explication à sa perception initiale.

"Faut-il qu'adulte les modèles de représentation du monde soient invariables ?" O.G.

La réponse serait oui si on stoppait notre apprentissage ce qui n'est pas possible qu'on le veuille ou non.

Alors autant vouloir rester dans le courant pour participer à notre devenir, suivant nos attentes aussi.

L'impermanence du contexte nous oblige à modifier notre position d'équilibre donc à évoluer ou à chûter.

Or tant que l'on évolue de ce côté de la Vie c'est que nous ne chûtons pas et augmentons nos capacités de perception-réaction.

 

Modifions nos croyances, nous aurons d'autres ressentis et nos animaux aussi.

On soignera le symptôme (ça le médecin nous aidera à faire) et on neutralisera la cause (cela est de notre compétence) ce qui nous permettra de renoncer à trouver un autre arme-maladie puisque nous ne nous sentirons plus agressés.

On parlera alors soit de guérison soit de rémission suivant le degré de confiance déjà acquis mais le terme choisi se traduira par la même réalité de l'instant présent.

Quant à l'instant futur il dépendra de notre rapidité à choisir la confiance en la Vie devant des situations qui nous surprennent et qui, à ce titre, nous inquiètent au lieu de nous réjouïr en tant qu'indicateurs de l'élévation de notre niveau d'évolution.

 

Pour conclure ce résumé de ce que j'ai retenu, je vous rapporte ces affirmations :

"L'homme est un être de projet (L'inaction est cause de maladies quand elle n'est pas choisie)  

  Nos croyances deviennent notre réalité (Apprenons à les  filtrer avec discernement) ...

 Pour exister personnellement le "oui" et le "non" sont nécessaires" Et, à ce niveau, j'ajoute : à condition qu'ils ne soient pas l'expression d'un comportement soumis ou agressif.

 

Pour en savoir plus et de manière directe je vous invite à découvrir la démonstration offerte sur le Net par le site :

Musée EVY - Qui sommes-nous ? 

 

En ce qui me concerne j'ai découvert avec joie que mon ouvrage "Apprivoiser l'optimisme en 9 étapes" n'est jamais en contradiction avec ces affirmations. Et parfois en symbiose, même si l'expression est simplifiée.

 

D'après carl JUNG, d'abord, Olivier GRANDIE et ses enseignants tout autant, il existe une conscience collective qui explique que les connaissances acquises par les uns semblent transiter par télépathie jusqu'aux autres (découvertes simultanées en sciences par exemple).

Nous avons dû nous servir à la même palette pour les couleurs même si mon dessin est plus élémentaire car il laisse apparaitre les lignes de sa construction ... pour que vous les utilisiez aussi, bien sûr.

 

Amicalement

Françoise

http://choisirlaconfiance.over-blog.com/ 

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5 janvier 2011 3 05 /01 /janvier /2011 14:36

Dernièrement j'entendais une interview de Lionel NACCACHE, à la radio.

Il était question de son ouvrage "Le Nouvel Inconscient".

Lionel NACCACHE est chirurgien neurologue et chercheur en neurosciences cognitives.

J'ai retenu en particulier son affirmation qui rejoint le principe fondamental de la PNL :

 "La conscience de l'individu ne lui donne pas d'amblée des informations objectives du monde. Elle lui permet seulement de créer un monde virtuel où il se positionne"

A rapprocher de l'expression : "chacun établit sa propre carte du monde"

La carte sur laquelle il notera les éléments qu'il a choisis pour repères et fera l'impasse de ceux qu'il estime sans intérêt significatif et qui surchargeraient son dessin, diminuant la clarté des trajectoires fondamentales qu'il a identifiées.

 

Mais pour en revenir plus précisément au titre de l'article, L.N. a évoqué qu'il n'existait pas UNE mémoire mais un système "Mémoire" comprenant au moins 12 éléments, ce qui peut expliquer qu'en cas de détérioration partielle ou d'hypoactivité de l'un ou l'autre de ses composants, l'ensemble peut garder un fonctionnement cohérent et très opérationnel.

Reste à savoir même si la diminution de tel ou tel centre n'implique pas la suractivité d'une partie des autres.

Puisque sur le plan organique (niveau reins, par exemple) le phénomène, nettement plus facilement observable,  a été remarqué.

On a d'ailleurs observé que ceux, dont un sens affaibli ne peut alimenter la zone mémoire correspondante, développent une hypersensibilité d'un autre sens en compensation. (vue, ouïe, toucher, odorat...)

 

Le souvenir étant le résultat du processus de mémorisation, L.N. nous rappelle les 3 étapes de la démarche. Et je rajoute mon grain de sel comme d'habitude...

 

1ère étape : L'encodage qui implique la saisie de l'information.

Il est évident que la concentration ou l'attention apportée à l'évènement que l'on souhaite retenir permettra de mieux cerner l'information choisie.

 2ème étape : Le stockage organisé pour permettre de retrouver le souvenir quand besoin sera

3ème étape : Le rappel ou chemin permettant de réactiver le souvenir

 

La 3ème étape se prépare dès les 2 précédentes.

      Au moment de l'encodage, se mettre en attitude volontaire.

      Je veux retenir cette information donc

         - Pour mobiliser mes facultés "cerveau gauche", je crée des associations :   par exemple 06 28   je pense code du téléphone portable et jours de février.  etc. j'en passe et des meilleures car plus personnalisées

         - Pour mobiliser mes facultés "cerveau droit" j'associe la participation d'un autre sens à celui sollicité en priorité: exemples : "écrit sur un panneau bleu, en haut de la page," . je remarque la présence de X co-apprenant, je répète 2 fois genre "refrain" ou je trace un trait avec mon stylo sur la feuille....

   Au moment du stockage : Je choisis la place près d'autres information de nature équivalente

         Je remarque ressemblances et différences.  Eventuellement je révise, à ce niveau, la qualité de la perception initiale en faisant ces rapprochements.

   Au moment du rappel : Je considère que les codes déterminés antérieurement (autres étapes) sont les clefs des tiroirs à souvenir.

   Ceci explique une réflexion d'un étudiant : "J'ai tout appris et j'ai l'impression de ne plus rien savoir."

    Et la réponse de l'enseignant : "Une maison rangée parait vide et on y retrouve tout. Une maison en désordre parait déborder de tas de choses et on perd du temps à découvrir ce que l'on cherche... en supposant que cela y soit."  

Votre impression de vide est bon signe. Vous retrouverez facilement ce dont vous aurez besoin."

 

    Néanmoins, sur le plan évènementiel, si vous ne vous rappelez pas précisément une situation : C'est normal.

    Nos souvenirs sont vivants et à ce titre évoluent avec nous.  Nous n'avons plus les mêmes mains que celles de notre époque enfant. Elles ont grandi avec nous.

    Eux aussi.  

    Il est fréquent de remarquer que parfois un moment énervant se rappelle à nous sous forme d'une scène qui nous amuse, à postériori.

   Il a été déchargé de son agressivité ponctuelle et il en reste seulement la gestuelle qui, vue comme un film, est divertissante.

  D'autre fois c'est notre maturité qui nous permet d'interpréter autrement une situation antérieure.

 

  Une fois" l'optimisme apprivoisé", le ressenti d'évoluer en "alliance avec la vie" nous permet de revisiter les moments douloureux stockés pour les transformer à la lumière de notre regard actuel.

  Et sans doute d'appliquer cette recommandation lue dans le "Dialogue avec l'ange".

  "Ne corrige pas le mauvais mais augmente le bon. Il absorbera le mauvais qui s'y dissoudra ... comme les ténèbres s'effacent à la lumière"

 

   Ici ou là, à bientôt

   Françoise

   http://choisirlaconfiance.over-blog.com/

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4 décembre 2010 6 04 /12 /décembre /2010 07:18

En fait, s'il est vrai que chaque couple correspond à une entité spécifique et non standardisée ou standardisable, il y a cependant des "opérations" incontournables qui me semblent être des fondations de caractère universel.

 

pour prendre un exemple basique, TRES BASIQUE, incontestable tout autant que culinaire :

  - Quelles que soient les préparations, la farine ne devient comestible qu'après cuisson.

  - Quelles que soient les préparations, l'excès de sel les rend imangeables et le manque les rend fades (les mesures d'excès et de manque demeurant subjectives)

  - Quelles que soient les préparations, le mode d'utilisation et de préparation des ingrédients rendent le résultat unique même si les matériaux de base sont souvent les mêmes.

 

Si cette démonstration vous a convaincus que l'expérience des Uns (vision panoramique) peut apporter un enseignement qui permettra aux Autres, dont soi, de comprendre certaines erreurs de comportement que la vision zoomée sur son cas ne met pas en évidence, je vous invite à poursuivre votre lecture d'un clic sur le témoignage de Juliette de Roméo que vous découvrirez sur :  http://choisirlaconfiance.over-blog.com/

 

Aujourd'hui il s'agit de l'article le plus récent. L'accès sera donc direct.

 

Pensées amicales

 

Françoise 

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12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 05:55

Cet article m'a été "suggéré" par la lecture du document identifié ci-après et dont le titre était :

"L'Esprit distrait ... rend triste ... et d'après les recherches, ce n'est pas la tristesse qui est la cause de l'esprit distrait."

http://lci.tf1.fr/science/sante/2010-11/avoir-l-esprit-distrait-rend-triste-6140188.html#voir_commentaires

 

Les 2 affirmations ci-dessus, étant des généralisations, sont contestables.

Même si on les affecte d'un indice de probabilité qui en diminuerait la portée, en prévoyant des exceptions que les auteurs prendraient comme confirmation de "leur règle", donc une forme d'argumentation paradoxale.

 

En fait l'Esprit distrait a essentiellement pour effet de rendre absente de la situation du moment  une personne physiquement présente.

Cela peut rendre triste l'entourage qui ressent l'éloignement, sans préavis ni aurevoir, de la personne censée être en sa compagnie, et, dans le pire des cas, causer un ressenti d'autodévalorisation à celui qui estime que le manque d'intérêt qu'il suscite en est la cause.

 

Faisons la liste non exhaustive, mais déjà plus développée que celle identifiée ci-dessus, des explications possibles de l'esprit Distrait.

Si je me fie déjà à mes observations (des distraits de ma compagnie mais aussi de moi-même, cobaye permanent) les motifs de distraction sont nombreux :

 

 - Certains doivent cet état à un phénomène d'addiction à la résolution de problèmes rencontrés jusqu'à satisfaction de la réponse trouvée. Dans cette catégorie on trouve bon nombre de chercheurs ou de gestionnaires qui emportent chez eux et en tout lieu leur "travail" immatériel.

 

- Certains sont des "voyageurs" attirés par le monde immatériel de leur imaginaire, serviteurs de leur inspiration. Or celle-ci est parfois tyranique et se manifeste spontanément sans souci de politesse qui lui ferait attendre son tour.

 

-  Certains sont en déphasage, souvent par manque de confiance, et se projettent d'avance, pendant l'instant présent,  dans la situation future, croyant ainsi s'y préparer.

 

Certains trouvent désagréable (pas forcément triste) l'instant présent et s'en évadent psychiquement faute de pouvoir le faire totalement

 

Certains ont une mémoire sélective qui les empêche de fixer le souvenir d' actions qu'elle estime "sans importance" comme "poser les clefs" une fois la porte ouverte (les clefs deviennent alors totalement inutiles pour l'instant présent)

 

   Qui plus est, on peut très bien avoir l'esprit distrait pour plusieurs des motifs évoqués ci-dessus car ceux-ci ne sont pas incompatibles et peuvent  se relayer au sein d'un même esprit.

 

   Il est cependant une remarque qui s'applique à tous les cas : La personne distraite ne s'immerge pas totalement dans l'instant présent et, de ce fait, se prive de l'aspect physique de sa réalité qui constitue un élément de son intégrité.  Cette privation peut devenir enfermement dans le "out" ou exclusion puis isolement d'où il est si difficile de s'évader que la distraction devient stratégie de consolation.

 

 La distraction peut donc être acceptée comme récréation ou activité spécifique, une fois le diagnostic établi. (c'est facile et les autres nous aident). En effet il est opportun d'en rester le décideur et de lui accorder sa place, seul moyen pour qu'elle ne se manifeste pas anarchiquement et nous prive de l'instant vécu.

 

 Au départ, comme en toute opération d'éducation, il convient de rester vigilent. Indulgent mais pas laxiste. Pardonner avec gentillesse mais corriger le pilotage. Peu à peu, sa discipline devient habitude et la Joie qui accompagne le ressenti de vivre totalement les secondes qui se suivent et ne se ressemblent pas, confirme le succès de l'organisation.

 

 Mode d'emploi : Lui accorder des créneaux et charger notre "censeur naturel" de la repousser quand elle se manifeste spontanément en dehors, sauf cas d'urgence (J'ai oublié d'éteindre le feu sous la casserole).

                         Etre attentif à notre présence à l'instant présent  c'est à dire à l'autre qui nous accompagne, que cet autre soit une personne, un animal, un objet (inanimé qui révèlera alors son âme), un lieu.  Cette attitude mobilisera notre volonté tant qu'elle n'aura pas atteint son statut d'inné complémentaire. 

 

Un moyen  : Pour commencer cette rééducation, si vous estimez intéressant de l'entreprendre : fixer déjà par écrit le programme de la journée (éventuellement de la semaine) et soit au fur et à mesure, soit en fin de journée, faire le point, également par écrit - ce qui contraint à la présence - de l'application de vos résolutions.

Ce point peut se limiter à un "pointage" sous forme de OK ce qui est mieux qu'un signe non rédactionnel, sur le plan efficacité et présence déjà à soi-même.

 

Remarque : Ce moyen est d'ailleurs une stratégie opérationnelle pour toute rééducation de la Volonté face à des addictions mutines.

 

Ya plus qu'à... commencer.

Amicalement

 

Françoise

 

 

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20 septembre 2010 1 20 /09 /septembre /2010 17:23

C'est à dire quand les autres, nettement moins désagréables, n'ont pas su retenir notre attention et nous permettre de choisir le comportement opportun.

On trouve cela "naturel" sur le plan physique :  On est occupé, on a soif, on ne prend pas le temps d'arrêter ses activités pour prendre un verre d'eau. Peu à peu la soif va s'imposer et elle finira par générer une souffrance que la satisfaction du besoin (ou manque) effacera.

Sur le plan psychique, une fois encore cela fonctionne pareil. La différence fondamentale est que, dans cette dimension, on refuse parfois d'identifier la nature exacte du problème (évitement) et que n'ayant pas le bon énoncé on n'est pas en mesure de fournir la bonne solution.

L'évitement le plus difficile à neutraliser est celui qui consiste à se reconnaitre responsable, et raison de plus coupable, d'une faute dont les conséquences nous paraissent  tout autant inévitables que dramatiques.

Que faire, en effet, quand on estime avoir eu un comportement impardonnable et, circonstances aggravantes, irréversible?

D'abord, un bilan sincère de l'état présent et du constat de la faiblesse dont on a fait preuve vis à vis de notre propre éthique (car il peut s'agir d'un abus de pouvoir).

Le passé ne se recommence pas mais on peut parfois infléchir la nouvelle trajectoire.

Si tel est le cas : Reconnaitre la case départ de la nouvelle situation créée, et rechercher l'attitude à adopter pour obtenir un état désiré plus conforme à la satisfaction de nos exigences morales, est le premier pas inévitable de la réconciliation entre "Moi Je" et "Moi Nous". ( Moi , dans mes aspirations individuelles, et Moi, dans mes aspirations de réparation de la relation blessée)

Ensuite, si un tiers est concerné par ma "faute", il sera nécessaire de rentrer en contact avec celui-ci et de lui proposer de travailler en commun pour réparer ce qui peut l'être ou pour optimiser le futur comme s'il dépend d'un partenariat qui peut être créé dans ce but.

Evidemment, l'autre peut refuser son "pardon".  Il n'est pas possible de l'obliger à accepter.

Néanmoins il demeure possible de réparer quand même ce que l'on peut exécuter sans sa participation.

Et si celui qui a été lésé affirme : "Tu fais cela seulement parce que tu as des remords".

Choisir la sincérité et ajouter : C'est vrai et  je ne savais pas que c'était autant douloureux de t'avoir blessé et de me sentir responsable, ou coupable, de tes soucis. Je souhaite sincèrement que tu sois aidé et je ne connais personne d'autre que moi aujourd'hui à solliciter pour  te soutenir. Ta colère est légitime puisque je suis moi aussi en colère contre moi.

Enfin (en fin), accepter de renoncer à ce qui échappe à notre contrôle en se disant que nos intentions sincères seront sans aucun doute le déclencheur d'une intervention de la conjoncture qui, en tant qu'alliée, créera les conditions qui permettont de transformer en opportunité, plus tard (donc au-delà de l'horizon de notre perception immédiate) l'initiative que nous avons sincèrement regrettée et tenté de corriger.

 

Plus la conséquence immédiate est lourde, plus les fondations de l'objectif louable en formation seront solides et la création à venir sera à grande échelle.

 

Il n'existe quasiment plus ce que les chrétiens appelaient "la confession".

Mais le repentir, lui, ne disparaitra que lorsque nous serons parfaits !!!   Donc il existe encore et tant mieux car il est le seul remède à la souffrance dont l'origine est la conscience malade.

J'aurais pu donner pour titre, à cet article : "La procédure pour créer un repentir réparateur"

Et résumer l'ensemble par cette phrase entendue un jour sur les ondes et dont je n'ai pas su garder en mémoire le nom de l'auteur : "Quand il n'existe plus de justification à la souffrance, la guérison est immédiate."

 

A bientôt

Françoise - L.

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13 septembre 2010 1 13 /09 /septembre /2010 10:24

La mémoire doit être le lieu de rangement, et non seulement de stockage,  de nos connaissances acquises.

Quand tout est posé à sa place, on a parfois une impression de vide, en fait c'est comme une maison où tout est rangé dans les placards appropriés : En fonction du besoin on retouve avec aisance ce que l'on recherche.

Exemple basique : l'alphabeth à disposition de l'écrivain.

Exemple moins évident : L'étudiant, devant la question posée sur son épreuve d'examen, interroge sa mémoire et pourra restituer les connaissances qu'il y a stockées ou les utiliser comme un outil pour traiter un problème physique ou virtuel.

Pourtant au moment où il attend le sujet, il a souvent l'impression de ne plus rien savoir.

S'il sait que cette impression est un critère de rangement opérationnel, il sera rassuré et son émotivité interviendra comme un catalyseur de l'action ordonnée et efficace.

 

L'oubli n'est pas l'effacement de la mémoire mais la difficulté d'accès. 

Soit on ne sait plus dans quelle armoire on a placé ce dont on a besoin,  soit on  le sait  mais on n'arrive pas à en ouvrir la porte.

Ce peut être le cas, quand les connaissances archivées sont restées longtemps inutilisées, surtout si on n'a pas eu l'occasion d'en stocker de nouvelles, ce qui génère des reclassements permanents pour réorganiser l'agencement du tout.

On constate donc le paradoxe suivant : Plus on stocke, plus on a des facilités à retrouver un élément au sein de l'ensemble constitué.

 

Le pardon n'est pas l'effacement d'un évènement mémorisé. Il est sa "décontamination" qui lui enlèvera son agressivité et sa nocivité.

Comme pour une opération qui concernerait un champ "physique", cela demande un "uniforme approprié" , afin de protéger l'individu pendant l'opération, ainsi que le respect d'une procédure spécifique.

On  ne côtoie pas un souvenir douloureux  sans précaution préalable. Cela se fera après, une fois le terrain déminé.

Quand on ne sait pas faire, il est souhaitable de se faire assister pour réussir l'opération. 

Ce peut être une intervention simple et rapide qui évitera des dégats plus difficilement réparables. 

En fait le pardon comprend 2 éléments :

         Pardonner à soi-même sa propre "faiblesse" ou "vulnérabilité" ponctuelle.

         Pardonner à ceux dont le comportement nous a blessés

        Quand la 1ère condition est remplie, on devient capable de traiter aussi le 2ème élément tout autant que l'Autre, en cause, en fasse la demande.

         S'il ne fait pas cette démarche, c'est comme un convive qui ne vient pas au repas, il n'est pas possible de le servir et il serait absurde d'en culpabiliser l'hôte, c'est à dire soi-même.  

 

         Par contre, quand le pardon est accessible, il rapproche ceux que la discorde avait éloignés. 

         je vous offre cette image adaptée d'une remarque que j'ai entendue lors d'une émission Télé ce Dimanche matin :

         Quand une personne donne un "coup de canif" dans le contrat moral qui la relie à une autre, le pardon qui implique la reconstitution du lien, nécessite que les 2 bouts du cordon qui les liaient soient réunis à nouveau.

        Le noeud qui permet la reconstruction du lien a pour effet d'en diminuer la longueur.Les personnes se retrouveront donc plus proches après qu'avant.

         Et le noeud leur servira de "pense-bête" , c'est bien connu.

         D'où l'expression : "Pour ne pas oublier de faire ceci ou cela, fais un noeud à ton mouchoir".

 

         A bientôt

 

         Françoise

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26 août 2010 4 26 /08 /août /2010 08:33

  Qui franchit les frontières qui délimitent  les différentes disciplines

  Qui franchit AUSSI  les frontières qui délimitent les différentes générations

 

   Sous l'aspect de l'évolution des aspirations sociales de l'individu  j'ai abordé ce thème sur mon blog controledegestion et malgré les conseils éclairés d'Agnès je ne sais pas vous y inviter à partir d'un mot.

   J'utilise donc la voie de la référence complète à portée de clic.

http://controledegestion.over-blog.com/article-24137511.html

 

   Sous l' aspect de l'évolution de l'identité psychique de l'individu le déroulement de la progression peut également suivre ces 5 étapes

   Avant d'évoquer cette classification, il me semble nécessaire de préciser la différence entre ce qui est un   "Besoin" et ce qui est un "Désir"
   Le Besoin
est une exigence de survie de la personne. 

   Les Désirs ne sont que des moyens que l'on présume capables d'améliorer notre quotidien.

   A ce titre, ils sont substituables et même instables. S' ils deviennent "besoins" ils actionnent la volonté de l'individu 

     Voici donc les 5 niveaux identifiés :

 
     Le 1er 
exprime les besoins d'ordre physiologique : 
    
Respirer, manger, éliminer, dormir :  Aucune loi n'est en mesure de limiter ces droits.

 
     Le 2ème niveau exprime les besoins de sécurité :
    L
ogement, se sentir protégé en cas de soucis de santé, d'accidents.. 

                 La protection des Uns étant intimement liée à celle des Autres, le 2ème niveau est d'ordre tout autant collectif qu'individuel. Il doit constituer une priorité législative

 
   
Le 3ème niveau exprime le besoin de reconnaissance et d'appartenance sociale 
     Se sentir intégré dans son milieu social (travail, famille, groupes relationnels), éprouver le ressenti d'être reconnu et respectéTel est le rôle fondamental qui sera dévolu à l'Education.

 

   Le 4ème niveau exprime le besoin d'estime 
    S'épanouir dans des activités valorisantes qui nous donnent l'impression de "grandir" et de réaliser notre projet de Vie.  Pour atteindre ce niveau, la personne doit avoir accepté la rencontre avec elle-même, "elle m'aime".

     Savoir ce que l'on aime nous rapproche de la connaissance de qui on Est et du passage à l'Action opportune.

 

   Le 5ème niveau : Besoin d'altruisme    
     Besoin de participer à l'amélioration des conditions de vie de ses contemporains, à la sauvegarde des générations à venir et d' influencer, par son comportement, l'évolution favorable de l'univers :

     Elaboration et mise en oeuvre de projets prenant en compte des objectifs qui répondent à la fois à la consolidation du 4ème niveau, à titre personnel, et à l'évolution favorable de la collectivité, représentée par notre partenaire La Vie.
           Ce n'est qu'une fois atteint le 5ème niveau que l'on peut descendre cette échelle sans souffrance afin d'aider ceux, qui se situent encore au niveau des premiers "barreaux", à grimper pour accomplir leur part. 
 

            En effet, avant celui-ci, quand la conjoncture ne nous permet plus d'avancer verticalement, c'est sans doute pour nous obliger, non pas à redescendre mais à explorer les chemins de traverse, horizontalement, ce qui développe notre créativité et nous permetta de compléter nos bagages avant de poursuivre le parcours.   

 

           Quand les théories économiques, physiques ou mathématiques trouvent également leur application pratique dans le domaine de la psychologie et de la communication, il est fort probable que des valeurs spirituelles soient à l'origine de leur conception.

           Les observations qui justifient ensuite les affirmations sont alors les relais, appelés preuves. 

           Elles permettent de rendre tangibles, par matérialisation, pour le plus grand nombre, des vérités de portée universelle.

 

           Françoise-L.

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