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13 septembre 2008 6 13 /09 /septembre /2008 08:33
Où ?  Quand ?  Pourquoi ?

Réponses d'un clic sur 
http://lesamisdespoetes.over-blog.com/

"Dépêche-toi, dépêche-toi...."
Amicalement à toi, qui que tu sois

Françoise A-M

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4 septembre 2008 4 04 /09 /septembre /2008 06:56

RECREE ANNONCEE OU PRE-RENTREE

                            A VOS MARQUES  !

Que ton Passé
Ne soit que l'alphabet
De l'Ecrivain      et que
Tes souvenirs
Ne soient que les soupirs
Du musicien
        On choisit la maison
        Sans voir les fondations
        Faut-il le rappeler
        Le valet performant
        Se fera transparent
        A l'heure du banquet
                               Cicatrices de l'âme
                               Cicatrices du corps
                               Eclairez le voyage
                                       Mais
                                              Votre place est dehors

Donne au passé
Le sens de l'alphabet
Pour l'écrivain      et à
Tes souvenirs
La place des soupirs
Du musicien
        Le biberon bâclé
        N'a plus grand intérêt
        Tes goûts sont différents
        Le jouet fraccasé
        Par un père énervé
        N'était qu'un accident
                            Cicatrices de l'âme
                            Cicatrices du corps
                            Passez par les nuages
                             Car
                            Ca brûle un peu trop fort
Laisse au passé
Ton premier alphabet
Il est le sien        laisse
A l'avenir
Tes raisons de languir
D'être à demain
         Ton rendez-vous urgent
         Est avec le présent
         Un roi ça n'attend pas
         Tu supplierais en vain
         Il te crierait de loin
         A la prochaine fois
                             Cicatrices de l'âme
                             Cicatrices du corps
                             Pour marquer nos bagages
                             Tant qu'on avance encore

                              Cicatrices de l'âme
                              Cicatrices du corps
                              S'effacent du visage
                              Toutes
                                   De l'enfant qui s'endort


                                                                Françoise A-M
                              
       PRETS ! REDEMARREZ !         BONNE RENTREE !

                  Je vous invite, dèjà, 
                  A programmer vos récrées, 
                  Et à rejoindre les amis des Poètes pour vos pauses, 
                  De cours d'année
                           sur http://lesamisdespoetes.over-blog.com/ 
                   
                  Les Poésies y sont souvent en "commentaires" 
                  Des articles d'atelier.
                  Ici ou là-bas.
                           Amitié
                                          F.A-M





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3 juillet 2008 4 03 /07 /juillet /2008 10:34
" Le glaive ne s'abat que sur celui qui a peur car c'est de la peur que nait le glaive"
extrait du "Dialogue avec l'Ange" souvenir que les "fulgurances" de Marc ont réveillé.

  Et j'ajouterai que le pouvoir déstabilisant d'une étincelle sur les ténèbres est nettement supérieur à celui de 100 lampadaires éteints sur une journée ensoleillée.
  
Pause amicale

Françoise
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13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 10:43
        Punitions, pénitences, peuvent apaiser l'esprit de ceux qui ont été blessés, les aider à pardonner, mais la raison d'être essentielle de ces mesures est de permettre aux coupables de sortir de l'impasse "remords" afin d'intégrer le champ des regrets qui, lui, peut être constructif.
       J'ai souvent observé une confusion entre "vengeance" et "punition".
       En particulier, au niveau de l'éducation des enfants, par ceux qui prônent que plutôt que de punir, il faudrait expliquer. Comme si l'alternative était obligatoire.
       Expliquer n'exclue pas punir. D'ailleurs, parfois, l'enfant a très bien compris qu'il faisait une bêtise et son action a pu être la résultante de son choix.
       D'autres fois, et cette excuse perdure, le fautif affirme : "Je ne l'ai pas fait exprès". 
       Je lui réponds: Heureusement! Si non ce serait une manifestation pathologique.
       Alors, dans un contexte social où l'indulgence a parfois tendance à s'érriger en qualité de l'indulgent, en sa capacité à garder son sang froid, à pardonner, je souhaite exprimer que l'indulgence est aussi une solution de facilité.
       Parfois, je reconnais que j'ai du mal à en adopter une autre. Le désagrément que je lui impose, en punissant l'enfant, je le subis également. Mais dois-je sacrifier ses droits à mon confort ?
       Ses droits? Oui. Ses droits à recevoir une punition qui lui permet 
       - d'évaluer le malaise ou traumatisme généré par son initiative
       - de créer une corrélation entre l'intérêt personnel et l'intérêt collectif 
       - de créer un ancrage d'expérience
       - de se pardonner lui-même en accomplissant sa punition.
       Et, effet induit, d'être fier de lui quand il a accompli une action qui lui pesait mais qu'il estimait être son devoir (dont ses devoirs).

       Punition ou Correction ?  Aussi souvent que possible, faire en sorte que la première ait pour effet la seconde et, si possible, un peu plus.
       Exemple simple: Tu as renversé la bouteille: D'abord tu essuies, ensuite tu remplis la bouteille à nouveau ( si c'est possible) , ensuite tu fixes le souvenir soit par 3 minutes de silence soit en lisant un petit texte pour apprendre à centraliser ton attention (si la faute venait de ta dispersion) etc.
       
        Et qu'en est-il des fautes des adultes, qu'elles soient dîtes volontaires ou dîtes involontaires même si les effets en sont très graves.
       Leur droit à la punition n'en n'est que plus fondamental.
       L'impunité fausse leur participation au sein du partenariat social.
       S'en excluant, ils se sentent alors exemptés de respecter les attentes légitimes de l'Autre car, de toutes façons, par le premier pas qu'ils ont fait en dehors ils ne seront plus jamais "comme avant". Ils ont perdu leur place à jamais.

       La punition doit leur permettre de retrouver une place. Une nouvelle place, sans doute, mais une place quand même.
       La souffrance de leur parcours, en dehors des normes, leur donnant une valeur d'expérience, un ancrage de référence, une caractéristique acquise.
       Pour eux, réparer c'est :
         -leur permettre d'aider ceux qui se sont égarés, comme ils l'avaient fait eux-même, à chercher (et trouver) la sortie de leur labyrinthe.  Ils sont le témoignage que c'est possible.
         -ou bien de conforter dans leur démarche ceux qui sont en difficultés afin qu'ils osent choisir une voie, peut-être fatigante, mais qui leur procurera des satisfactions.  Le contraire d'une stratégie de renoncement qui conduit, dans le meilleur des cas,  à s'installer dans un régime de croisière, sans joie.

       Le pardon n'est pas la résultante de la punition. La punition n'est pas nécessaire au pardon ... par l'autre.  Elle me semble toutefois un préalable au pardon de soi ... par soi.

       Alors, si vous avez le sentiment d'être un coupable impuni, choisissez-vous une punition à votre portée, réparatrice, si possible, d'une manière ou d'une autre, et accomplissez la.
       La joie éprouvée vous permettra de reconnaitre que votre choix était judicieux.

       Ensuite, vous pouvez perséverer mais SURTOUT pas en tant que COMPLEMENT de punition.  Si la tâche que vous avez entreprise vous apporte du Bonheur, soyez conscient que ce n'est que pour cela que vous perséverez. Ne trouvez pas d'excuse à votre plaisir de reconnaître en chacun un partenaire et non plus un ennemi ou, au mieux, un concurrent.
       
      Car notre mission de Vie correspond à nos goûts et à nos compétences. 
      La Vie est un excellent employeur. Elle ne nous  confie que ce qu'elle sait que nous accomplirons bien, ce qui nous plait.
      Mais ceci est un autre sujet... Le prochain, peut-être.
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2 juin 2008 1 02 /06 /juin /2008 11:32
   Surtout n'allez pas confondre "victime" et "martyr(e)"
   Ne confondez pas plus "victime" et "aggressé(e)"
   Après avoir entendu cette phrase, j'ai courru jusqu'à mon Enorme dictionnaire en 3 volumissimes et j'ai lu la définition de "Victime" : Personne qui s'offre, qui se dévoue.
Le mot sacrifice signifie simplement le don de sa vie pour ce qu'elle estime plus important qu'elle-même.
Voici ce que la définition n'est pas: personne qui se trouve sous l'emprise d'un bourreau qui la contraint à souffrir.
Le vocabulaire "policier" ne nous avait pas habitué au sens originel.
Le vocabulaire "populaire" non plus.
Ceci
explique, à mon avis, que certains croyants aient pensé qu'on ne pouvait acceder à l'état de "victime" sans passer par l'état de "souffrant" et que si la vie ne leur procurait pas d'occasion il leur fallait se les créer (flagellations...).
L'intention était bonne mais signe d'ignorance du caractère paradoxal de notre existence.

   En fait, ce statut de victime de l'Amour est celui de ceux qui vivent de l'amour qu'ils captent, par ce qu'ils ressentent en provenance des uns, et qu'ils distribuent aux autres (et aux uns, cela va de soi). Le partage ayant un effet multiplicateur, plus ils en donnent plus ils en ont à donner.
Offrir sa vie présente d'autant plus d'intérêt, à ceux qui la reçoivent, que celle-ci est agréable et durable.
Il serait absurde de croire qu'une vie de douleur et brusquement interrompue avec violence soit le cadeau préféré émanant de la volonté de l'Amour.
Aimer est un plaisir en soi.
Etre aimé aussi. Cela en est un autre.
Mais nous ne sommes pas dans le domaine des transactions ni même des partages dits équitables.
Le domaine de l'amour c'est celui où qui a beaucoup faim prendra une grande part et qui est déjà rassasié se contentera d'un tout petit encas, juste pour participer.
Revendiquer le statut de "victime de l'Amour" c'est nous reconnaitre dévoué à ses attentes, soumis à sa volonté, et ne pas accepter de servir d'autres intérêts, d'autres mesures.

Cette phrase m'avait interpellée car je n'aurais pas su la concevoir.
Je remercie la Vie de me l'avoir apportée même si à la première écoute je ne l'avais pas ressentie agréablement.
Qu'il en soit de même pour toi, cher bloggueur qui promène du côté de chez "authenticienne".
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30 mai 2008 5 30 /05 /mai /2008 15:19

Je ne vous apprendrai rien si je vous dis que l'autopsie est impraticable sur un être vivant.
En effet, cela le tuerait.
Vous apprendrai-je quelque chose si je vous dis qu'une relation est un organisme vivant?
Je ne crois pas.
Aussi, si vous souhaitez qu'elle perdure demandez-vous ce dont elle a besoin et non de quoi elle est constituée. Pas d'eau fraiche, vous y êtes presque. d'Amour. Gagné !
 

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26 mai 2008 1 26 /05 /mai /2008 12:14
"Dans un grain de blé habitent le Nouveau et l'Ancien. Ne coupez pas. semez" (D.A)
et vous moissonnerez
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20 mai 2008 2 20 /05 /mai /2008 09:42
Le courage est une stratégie.
Il est donc nécessaire d'en faire l'apprentissage tout comme il est indispensable d'apprendre à choisir la confiance.
Balayons d'abord les idées reçues de ceux qui nous les ont envoyées, soit par calcul soit par naïveté, et constatons que :
Le courage n'est pas incompatible avec la prudence
Le courage n'est pas incompatible avec la peur
Le courage n'est pas incompatible avec la sérénité
Le courage n'est pas obligatoirement une manifestation d'altruisme, ce peut être simplement une exigence de respect.
...
Il est aisé d'apprendre tout ce qu'il n'est pas.

Les stratégies de comportements courageux étant multiples, il est plus difficile d'exprimer les différentes formes sous lesquelles elles se manifestent.
Il y a plus de 60 ans, en EUROPE, se produisait une guerre à peu près tous les 20 ans, soit une ou deux par génération. Réflexes de survie, les individus se regroupaient par courant de pensée et l'apprentisage du courage, sous l'impulsion de la conjoncture, avait un caractère collectif.
En temps de paix, l'apprentissage du courage quotidien n'est pas prévu dans les programmes.
Il n'y a d'alternative à l'obéissance récompensée que la désobéissance punie.
Or le courage au quotidien est souvent une forme de désobéissance à des règles, non dites, qui sont suivies par la majorité et qui, par effet d'égrégore, prennent force de Loi.

Elaborer une stratégie c'est : Fixer un objectif puis déterminer les moyens à mettre en oeuvre pour atteindre celui-ci.
                                        Il peut y avoir d'ailleurs, différentes hypothèses évoquées qui, chacunes, à leur manière, aboutiraient à la réalisation attendue.
Le comportement courageux consiste à ne pas renoncer à un objectif, si la seule raison est que nous ne disposons pas, aujourd'hui, de tous les éléments nécessaires pour garantir sa réussite. 
Si nous gardons notre confiance dans le bien-fondé de notre quête, nous aurons la certitude que notre partenaire "La Vie", qui est tout autant que nous concernée par la réussite de notre parcours, génèrera la conjoncture qui servira notre démarche.
Ce qui nous revient c'est d'avoir l'audace d'affirmer notre participation
- en pensée
- en paroles
- en actions
Car ce qui est efficace pour créer le mal (si ces affirmations vous rappellent certaines prières collectives) est tout autant efficace pour créer le bien. L'outil est unique (notre humanité) .
La manière de l'utiliser fait toute la différence.
Il nous faut :
- Apprendre à affirmer notre volonté et la mission individuelle et sociale à laquelle elle est reliée.
- Apprendre les mots pour la dire afin qu'elle soit entendue telle que nous la pensons.  
- Apprendre à choisir la Confiance afin de voir en chacun le partenaire qu'il est (cela lui permettra, simultanément, de voir le partenaire que nous sommes)
     Commençons par des situations simples puis de plus en plus complexes par le contexte social qu'elles impliquent.
     Voici comment s'éduque la stratégie du courage.

      Bien entendu, certains naissent avec des facilités en ce domaine, comme d'autres naissent avec des dispositions artistiques ou mathématiques... Mais il y a un minimum commun et, la Vie, partenaire de tous, n'attend de chacun que le niveau de pratique compatible avec ses dispositions naturelles. Cependant, elle attend de tous une attitude respectueuse tout autant avec les autres qu'avec soi-même et ... elle n'abandonne pas.

     Pour terminer je vais vous donner un exemple que j'ai vécu et qui m'a demandé, en un instant, de manifester toute la capacité de courage que je n'étais même pas sure d'avoir.
     La disproportion entre le risque encouru et mon ressenti du moment peut vous amuser.
     Je vous raconte cet épisode de "courage au quotidien" pour vous inviter (comme me le disait, un jour, un ami)  à ne pas rester suspendu inconfortablement à la rembarde d'un balcon alors que vous n'êtes qu'au rez de chaussée et qu'il vous faudrait très peu de recul ( la vision d'un autre) pour vérifier qu'il n'y a que 50cm entre vos pieds et le sol.  
 
     Récréation :
     C'était un Dimanche de Pâques dans une grande Eglise, pleine à craquer:
     J'étais dans les premiers rangs et, sur le côté, se trouvait un homme, en fauteuil roulant, qui semblait tout à fait impliqué par l'office.
    Arrive le moment de la communion. Toutes les personnes avancent vers l'autel et l'homme reste seul à sa place.
     Je me dis: "Ce n'est pas possible. Le prêtre le plus proche de lui ne voit-il pas ce que je vois?  Je vais attendre, pour passer la dernière et si rien n'a été fait je demanderai à l'officiant de se déplacer. 
     A partir de là, j'avais le coeur battant comme si j'avais parcouru 1000m en 50 secondes (je suppose)...Et arrive mon tour. Toujours rien.
J'ose parler au prêtre qui me confie 2 hosties- tout se passant très vite- 
(je n'en demandais pas tant car comment réagirait cette personne qui ne m'avait rien demandé). Je regarde sa place: Vide. 
                    Il y avait encore UNe personne derrière moi : C'était LUI.  
                   Totalement affolée je rends l'hostie supplémentaire au prêtre qui reste interloqué et je retourne vite à ma place avec des palpitations telles que mon voisin de banc, un autre inconnu, me demande si j'ai un malaise!  Un peu remise je luis fais part de mon initiative et ... il m'en a félicitée.  Quelque temps plus tard, moi aussi.

     Je vous ai offert cette mini-aventure non dangereuse, en partage.
     Le trac n'est pas objectif. Il est compatible avec les petits challenges.
     C'est une excellente méthode d'apprentissage des stratégies de courage.
     Recherchons, et, en tant qu'éducateur, provoquons, les situations à trac: l'estrade (école) la scène ( théatre) ... 
     Cultivons cette discipline nécessaire à notre épanouissement personnel et à l'accomplissement des collectivités auxquelles nous sommes rattachés (famille, travail,cité, patrie, univers...) .

      A une prochaine fois ... 
      N'oubliez pas les commentaires qui sont votre voie d'expression sur ce blog. Courage!
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21 mars 2008 5 21 /03 /mars /2008 15:15

Oh Combien de gens de biens et combien de mécènes
discuteront encore de l'Amour de la Haine
de l'Art, de la Beauté, de la Propriété
Faisant ainsi l'éloge de l'INEGALITE

Que Nenni, Dieu m'en garde
Diront-ils pour conclure
Nous sommes tous pareils
Tous de même envergure
Et se croyant sincères
Avec les pauvres gens
Leur parleront de Pierre
Eux, ils attendaient Jean.

Que d'incompréhension
Depuis tant d'existences
N'a-t-on pas nos rations
d'idioties, de souffrances
N'est-il pas temps, enfin
De révéler l'Erreur
Qui, depuis l'Origine,
Empoisonne les coeurs.


Je décide que OUI !
Fini la décadence
Les descentes aux enfers
Parfois au pas de danse
Fini de vouloir faire
UN par l'égalité
On peut s'aimer en frères
Mais sans se ressembler 

Vive les différences
Vive l'EQUIVALENCE !

Que la propriété 
Permette la bonté
Que l'imagination
soit source d'évasions

Quelques mots, quelques traits
Des notes, des couleurs
Comment naitre parfaits
Et naitre créateurs

Chacun sa partition
Et ses répétitions
Pour que la symphonie
que nous jouerons ensemble
nous offre l'harmonie,
L'Amour qui nous rassemble

Pourrait -on tout avoir
Et encore recevoir
Dis, que peut-on offrir
Quand les moindres désirs
Ont été assouvis
Tout comme au Paradis?

Je conclue, mes amis
Je vois votre impatience
Notre monde est ICI
Avec nos différences

Le jour où chaque humain
Comprendra que ses peurs
Sont le seul mauvais grain
Vive les Moissonneurs !


C'est pour quand ?
Pas pour hier !
Ouf! On n'a rien raté
Certains chantaient "à Pâques ou à l'Eternité"

Pourquoi pas aujourd'hui
Dèjà pour commencer
Sois sympath, dis moi OUI

Pour rimer : BISOUNIS

A la prochaine fouis

Tu vois, tu m'as compris
Pourtant j'ai pas parli
Comme avant je le fis...

A présent tu souris

A bientôt chers amis

                                                    Françoise A-M

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10 mars 2008 1 10 /03 /mars /2008 10:13

              Nous sommes, par essence, créateurs. Les enseignements, et renseignements, qui nous sont proposés élargissent notre champ de vision et ajoutent des moyens à notre disposition. Ni plus, ni moins.
              Restons cependant les décideurs, quand des responsabilités nous incombent, et regardons, dans la batterie de nos possibilités, la meilleure solution qui n'est pas forcément l'une de celles qui nous sont suggérées.
               Illustration : Voici le problème posé : Il convient de vider une baignoire et on vous tend 3 récipients :
Un grand verre, une casserole de taille moyenne, un seau sans anse.
               Vous choisissez ?
               J'aurais pu vous faire attendre la réponse optimum jusqu'au prochain message ?
                Non ! Je n'aurais pas pu vous l'auriez reçue avant la question. Alors ?

                Tout simplement enlever le bouchon qui retient l'eau dans la baignoire .

               
  Ne pas se limiter aux solutions qui nous sont  proposées. 
                 Elles mobilisent notre raisonnement qui, privé de liberté, perd ses capacités d'initiatives, même les plus basiques... ceux qui se sont fait pièger par cette histoire devront bien le constater.

                 Quelle que soit la problématique que nous ayons à résoudre, n'oublions pas que nous disposons de la liberté du choix des moyens à notre disposition et que concentrer notre attention sur ceux que l'on nous présente risque de nous priver de ceux qui ne nous ont pas été désignés, par ignorance ou manipulation,  et qui peuvent être les plus efficaces.

                 "Honnis soient qui mal y pensent" !  Cet article n'est pas en relation avec l'actualité politique... 
                  Du moins,  pas seulement ! 

                   
                

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Présentation

  • : Le blog de Françoise-Louise A - M
  • : Méthode ACC = Apprendre à Choisir la Confiance. Epanouissement personnel et des collectivités où nous intervenons (familiales, sociales, professionnelles)
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  • Me Praticien en PNL. Parce que le défaut de communication est à l'origine de la plupart des conflits, y compris avec soi-même, J'ai conçu la méthode ACC = Apprendre à Choisir la Confiance

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